Les Yeux Des Pauvres

fait sansaucune pitié. Cela m’est apparu lors de mon arrivée au Surinam, lorsque devant mes yeux grands ouverts, je fus soumis à une abomination. A mes pieds, était étendu un pauvre homme a qui on avaitcoupé la jambe gauche et la main droite. Il ne portait plus que la moitié d’un habit. Je vous raconte ceux-ci afin de vous ouvrir les yeux sur ce qu’est véritablement l’esclavage. Deviné ce que m’adit ce pauvre homme quand je lui ai demandé pourquoi était-il ici dans cet état des plus horrible ? Il

garçonnet ouvrit les yeux et s’écria : « Ah ! maman... – Mon enfant, dit tendrement l’apparition, ton père t’aime moins que ta sœur. Si tu restes ici-bas, tu souffriras ! veux-tu venir avec moi ? – Oui, répondit-il sans hésiter, je veux bien. – Prépare-toi donc à me rejoindre, reprit l’ombre. Je te prendrai bientôt... » Et elle disparut. L’Anglais, d’abord pétrifié, regarda son fils en se demandant s’il n’était pas le jouet d’un rêve fantastique... Celui-ci avait les yeux grands ouverts.

mal qu’il endure, Son triste sort est le plus beau. J’aime encore mieux notre torture Que votre métier de bourreau. Alfred DE MUSSET Poésies nouvelles (1839) A NINON I Si je vous le disais pourtant, que je vous aime, Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez ? L'amour, vous le savez, cause une peine extrême ; C'est un mal sans pitié que vous plaignez vous-même ; Peut-être cependant que vous m'en puniriez. Si je vous le disais, que six mois de silence Cachent de longs

même idéalisée d’une situation qui fait partie d’un jour de fête de la vie parisienne, mais avec des éléments bien réels, comme « une odeur de friture » comparé à l’encens. Le ton du poème change radicalement avec l’apparition d’un personnage : un « pauvre saltimbanque » décrit horriblement comme « une ruine d’homme » installé à côté de sa cahute, une cahute aussi « misérable ». Il s’agit d’une image absolument effrayante qui nous donne un contraste radicale avec la fête qui nous vient d’être décrite

MAUPASSANT (1850 - 1893) UNE VENDETTA (Une Vendetta a paru dans le Gaulois du 14 octobre 1883 puis dans Les Contes du Jour et de la Nuit en 1885) <!-- athena texte --> La veuve de Paolo Saverini habitait seule avec son fils une petite maison pauvre sur les remparts de Bonifacio. La ville, bâtie sur une avancée de la montagne, suspendue même par places au-dessus de la mer, regarde, par-dessus le détroit hérissé d'écueils, la côte plus basse de la Sardaigne. A ses pieds, de l'autre côté, la contournant

prononcé contre ce changement. Quant à l'épisode du comte de Glocester, Shakspeare l'a imité de l'aventure d'un roi de Paphlagonie, racontée dans l'Arcadia de Sidney ; seulement, dans le récit original, c'est le bâtard lui-même qui fait arracher les yeux à son père, et le réduit à une condition semblable à celle de Lear. Léonatus, le fils légitime, qui, condamné à mort, avait été forcé de chercher du service dans une armée étrangère, apprenant les malheurs de son père, abandonne tout au moment

Préparation du commentaire de texte sur l’incipit de la nouvelle « Comment Wang-Fô fut sauvé ». · Le plan adopté sera le suivant  : AXE 1 : « Des compagnons de voyage » : 1- Portrait de Wang-Fô2- Portrait de Ling3- Une rencontreAXE 2 : « Un discours sur l’Art »1- Une passion.2- Une vision idéalisée du réel. · Nous avions donné des exemples d’analyse et d’exploitation de certaines phrases en classe :Vous continuerez à relever

une forme classique avec ses vers en alexandrin. 3. les rimes des deux premières strophes, sont des rimes croisées (abab) allant de rimes riches pour celles en « a » à pauvres pour celles en « b ». 4. Ensuite, les deux strophes sont en rimes suivies (aab-aab) allant de rimes riches pour celles en « a » et en rimes suffisantes/pauvres pour celles en « b ». Tristesses de la Lune Ce soir, la lune rêve avec plus de paresse; Ainsi qu'une beauté, sur de nombreux coussins, Qui d'une main distraite

pour appuyer les hypothèses, ainsi cela devient moins abstrait. L’auteur nous pose une problématique sérieuse, et peut-être avant-gardiste. Faut-il dès aujourd’hui, commencer à s’adapter à une pauvreté émergente ? Pour cela il définit, ce qui à ses yeux, est la pauvreté, et comment s’en servir comme un atout. Nous pouvons dire que cette problématique est aujourd’hui refusée, et ignorée dans notre société actuelle, et l’auteur vient la rendre positive, et peut-être mieux nous là faire accepter. Une

ne soit que roses. Poème n°2 Jean de La Fontaine, La mort et le bûcheron. Un pauvre Bûcheron tout couvert de ramée,Sous le faix du fagot aussi bien que des ansGémissant et courbé marchait à pas pesants,Et tâchait de gagner sa chaumine enfumée.Enfin, n'en pouvant plus d'effort et de douleur,Il met bas son fagot, il songe à son malheur.Quel plaisir a-t-il eu depuis qu'il est au monde ?En est-il un plus pauvre en la machine ronde ?Point de pain quelquefois, et jamais de repos.Sa femme, ses enfants