Lettre 8 Parlement Voltaire

l'abolition. En 1908, Aristide Briand, garde des Sceaux du gouvernement Georges Clemenceau, soumet aux députés un projet de loi visant à abolir la peine de mort. Malgré l'appui de Jean Jaurès qui s'oppose à Maurice Barrès, ce projet est repoussé le 8 décembre par 330 voix contre 201. Les exécutions capitales reprennent dès 1909 Milieu du XX siècle, beaucoup de changement sur cette peine capital Le 24 juin 1939, le président du Conseil Édouard Daladie promulgue un décret-loi supprimant

polémique • Multiples pronoms de la 2e personne. Impératif final – questions rhétoriques ; – organisation des phrases opérant un renversement appelant les hommes à réagir. • Recours aux questions rhétoriques, interpellant les du rapport sujet/objet. 8 Les mouvements littéraires Les ArticLes du Rabelais des origines Peut-on encore lire rabelais aujourd’hui ? Michael screech l’affirme avec force. à condition de rendre l’écrivain à son siècle. Rabelais de Michael screech. traduit de l’anglais

s’oppose a l’absolutisme du roi d’Angleterre Stuart (catholique alors que Angleterre est anglicane) déclenchant un mouvement de contestation car Charles I à imposer des taxes sur les marchandises portuaires. Début d’une guerre civil, a la tête le Parlement, contre le roi avec une armée finissant par triompher, notamment sous la direction de Cromwell. S’en suit un procès qui se conclu par la mise a mort du roi en 1659. Début donc de la révolution anglaise, de la Restauration. Les Stuart remontent sur

de 1787 n’a jamais été remis en cause, la France, quant à elle, a expérimenté plus de 18 constitutions car nous avions un certain nombre d’idéaux souvent tiré des idées des lumières et des différentes théories souvent concurrencés et télescopés. Voltaire, Rousseau, Montesquieu ou J. Locke sont les premiers théoriciens constitutionnels et ont proposé un certain nombre de conception des pouvoirs : la souveraineté nationale, la souveraineté populaire, certains prônent la confusion des pouvoirs au moins

l’éloquence et l’histoire, vouées à rendre compte de faits ou de situations particulières »8. La fiction retrouve donc tout son crédit au XVIIe siècle et cela jusqu’à nos jours, d’autant plus que les philosophes du siècle des lumières s’en servent pour véhiculer leurs pensées. Au XIXe siècle, la plupart des formes littéraires l’utilisent et au XXe siècle, « elle est devenue un argument de l’unité du monde des lettres »9. La fiction a été parfois identifiée à la littérature. C’est l’idée que toute littérature

tentation de voir le droit comme un commandement qui vient d’en haut, à savoir une loi; la voix du titulaire de la souveraineté : l’état. Dans les états modernes, le droit de l’état s’exprime le plus souvent dans une loi, une loi votée dans un parlement, dans une assemblée politique par des députés élus par le peuple. Pourtant ces rapports ne sont pas aussi simple que cela. Le droit ne s’est pas toujours exprimé dans la loi, n’en a pas été ainsi pendant la plus grande partie de l’histoire

Brahman (prêtres), guerrier (travailleurs), artisans-commerçants, ouvriers-travailleurs. Civilisation Chinoise : Elle va développer une grande civilisation grâce aux idéogrammes (40 000 idéogrammes), il fallait connaître 10 000 signes pour être « lettré ». Cette écriture n’a pas évoluée depuis sa création. C’est une civilisation centrée sur la famille, les ancêtres, le culte des ancêtres, la femme est soumise et ne possède rien. Le remariage est interdit pour une veuve. Civilisation technique :

l’église. Tout comme l’adultère. Cette séparation entre droit et religion semble être nette en France puisque la loi a séparé l’église et l’Etat en 1905. Conséquences : -les rabbins, prêtres… ne sont plus payer par l’Etat et -les lois voter par le parlement n’ont plus à respecter les préceptes religieux puisqu’il n’y a plus de religions d’Etat. *Article 1 de la constitution de 1958 : la France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale, elle assure l’égalité devant la loi de tous

 VOLTAIRE (1756) ESSAI SUR LES MŒURS ET L’ESPRIT DES NATIONS Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration

ouvrage « Politique tirée de l’écriture sainte ». La personne du roi est sacrée. Bossuet dit : « Il faut lui obéir (au roi) par motif de religion. » Le roi n’a pas à demander l’approbation de quelque autorité que ce soit. Face à la contestation des parlements, de la noblesse, le roi peut toujours opposer que ce qu’il décide est pour le bien du royaume car c’est Dieu qui l’inspire. Le roi peut donc décider ce qu’il veut. Les 2 seules limites à son pouvoir sont des limites objectives, « les lois fondamentales »