Lettre Intime

jeunes. Tout, d'abord, ce qu'il faut savoir c'est que l'auteur de ce journal ( car s'est un journal intime ) est morte après avoir arrêter de le tenir, qu'elle avait 15 ans au début du livre, que son nom est inconnu mais que son prénom est Alice et que c'est une histoire vraie. Bon, je commence ( désoler si c'est long ! ) : L'histoire commence le jour où Alice décide d'acheter un journal intime car le garçon qu'elle aime le + au monde vient de lui demander de sortir avec lui, malheureusement pour

point de vue interne puisque le récit est à la première personne du singulier et s’apparente à un journal intime. Les phrases sont réduites à la plus simple construction grammaticale : sujet – verbe – complément. B-Une rupture avec les codes traditionnels du roman On a aucune descriptions physique ni moral des personnages et de son environnement en raison de la technique du journal intime, pour laisser travailler l’imagination du lecteur et pour qu’il puisse s’identifier à n’importe qui. Seul

c’est à cause de tout cela sans doute, ajouté aux cahots, à l’odeur d’essence, à la réverbération de la route et du ciel, que je me suis assoupi ».Ccl : personnage médiocre, passif, faible = antihéros.2. C’est un journal intime sans intimitéa. Ecriture mimant le journal intime- Personnage-narrateur : je- Récit au passé composé avec référence au temps pour préciser la chronologie des faits comme pour relater une journée : « J’ai pris l’autobus à deux heures. »b. Un je quasi objectif.- Ecriture bornée

l'autobiographie : les mémoires ; l'auteur se fait le témoin et le juge des événements historiques de son temps (auxquels il a souvent été mêlé de près) ; c'est le cas, par exemple, de Chateaubriand dans les Mémoires d'Outre-tombe (1809) ; le journal intime : à la différence de l'autobiographie, il est écrit au jour le jour, de façon parfois fragmentaire, et n'a pas forcément vocation à être publié. Le récit de la vie quotidienne du diariste peut aboutir à une véritable introspection, ou au contraire

lequel se déroule l'action , les éléments temporels , les lieux , les saisons , ne sont jamais vraiment précisé . Dans Le Horla de Maupassant, l'écrivain ne prend même pas la peine de préciser le lieu , on sait le jour grâce à l'indication du journal intime , mais c'est tout . Dans la nouvelle Ce jour là on ne connait pas le contexte historique , il faut avoir un bon esprit de déduction pour comprendre que l'histoire ce passe durant la seconde guerre mondiale , que les parents sont des résistants …

laisse craindre que son propriétaire n’ait sombré dans la folie. Le Horla marque les prémices de la folie de son auteur, Guy de Maupassant, qui, après avoir fait une tentative de suicide, meurt le 6 juillet 1893. Le livre se donne comme un journal intime, le narrateur s'y exprimant à la première personne. Il rapporte ses angoisses et troubles par une sorte de journal : il sent autour de lui la présence d’un être invisible qu’il nomme le « Horla ». Au début lucide, il sombre peu à peu dans la folie

« Un livre est une fenêtre par laquelle on s’évade » Julien Green Il nous arrive souvent dans nos moments de solitude de nous munir d’un livre d’un livre par lequel nous nous évadons un moment de la réalité. Ce moment fatidique nous est profitable car il nous permet de nous remettre en question et de rééquilibrer nos propos et nos pensées les plus fondamentales. Comme l’observe Julien Green dans son journal « Un livre

comparé à un « vampire » (p. 29) ; comme ce monstre, le Horla n’a pas de reflet. II. Le Horla, seconde version 6. Sous quelle forme se présente cette seconde version du Horla ? _____/ 1 Cette seconde version se présente sous la forme d’un journal intime (date indiquée à chaque début de paragraphe, déroulement chronologique, expression à la première personne…). 7. Dans quelle région se passe l’action ? Près de quelle grande ville habite le narrateur ? _____/ 1 L’action se passe en Normandie

c’est ce qu’on appellel’incipit, mot qui vient d’une formule latine « Incipit liber... » ( le livre commence... ). L’extrait ne semble pas être fantastique. Il n’y a, en apparence, nul événement surnaturel. Ce texte se présente comme le journal intime d’un homme qui y exprime ses sentiments de bonheur, de satisfaction ( voyez les phrases exclamatives : « Quelle journée admirable ! », « Comme il faisait bon ce matin ! » ). Cet homme apparaît au centre d’un univers dont il est le centre. On remarque

redresseurs de torts ou faillis de haut vol. Un démiurge amoureux Pourtant, dès que Billot déplace la caméra, rivée depuis 1856 sur la jolie peau blanche d’Emma, Charles Bovary s’anime. Le maladroit se délie, le benêt prend de la consistance. Un journal intime produit par Billot nous permet d’entrer dans le for de cet homme silencieux, souffrant mais fin observateur. Qu’un médecin ait le don du diagnostic n’est pas pour nous surprendre. Ainsi la soirée au château de la Vaubyessard, Bovary le diariste l’analyse