Lettre à Schuller

La lettre à Ménécée Epicure Premier axe : La religion Q1 : Il est question de « croyances religieuses » dans ce texte, durant les passages [4] et [5] En effet, l’auteur y évoque plusieurs fois « Dieu », ou « les Dieux » et leur existence. Selon Epicure, les hommes ont des croyances religieuses pour deux raisons principales. Tout d’abord, les Hommes craignent les Dieux. En effet, ils les jugent responsables « du mal qui advient aux méchants et du bien répandu sur les bons » et savent

femmes, aux courtisanes et aux esclaves. L'école passait, à tort d'après ce qu'on sait, pour un lieu de débauche. C'est pourquoi Plutarque qualifia de pourceaux les disciples d'Épicure et d'ailleurs le langage courant prend encore l'épicurisme pour une recherche de la jouissance. On a comparé le Jardin à l'Académie de Platon et au Lycée d'Aristote. Épicure écrivit 300 livres dont la quasi totalité a disparu. Il ne nous reste de lui que trois lettres et quelques maximes. Présenter Epicure Épicure est

inaltérable. On remarque, en outre, que le bonheur est une notion relative c’est-à-dire que les modalités de sa réalisation varient d’un individu à l’autre. Le verbe « dépendre » fait, quant à lui, signe vers l’idée que le bonheur résulterait d’un acte de volonté qui nous est propre et non d’une cause extérieur ou d’une cause sur laquelle nous n’aurions aucune prise, quelle qu’en soit la nature. On a communément tendance à penser que la satisfaction totale des désirs apporte le bonheur et nous fais

du latin « bonus » ( «  bon » ), et de « heur », qui signifie «  destin favorable », le terme de bonheur signifie à l'origine le bon augure, c'est-à-dire la bonne fortune, la chance. Il désigne en général un état de pleine satisfaction dans lequel réalise ses désirs et ses aspirations, et qui se manifeste par la jouissance de vivre et la confiance en l'existence, à l'opposé du malheur et de la souffrance. Mais le bonheur ne serait-il pas avant tout un désir ? On est donc en présence d'un

Lettre à Ménécée d’Epicure Introduction : Epicure (341 à 270 av JC) est un philosophe grec né à Samos. Il est notamment le créateur d’une école de philosophie à Mytilène (en -311). Le philosophe post-socratique fonde « le Jardin ». Il professera la philosophie avec ses élèves dans son jardin. Sa philosophie est matérialiste. Son but est l’accès au bonheur. Pour lui, toute connaissance passe par les sensations. Il est fondateur de l’épicurisme. Souvent associé à Ronsard et son invitation

Nathan. Relire l'ensemble de la lettre en vous assurant que vous la comprenez grâce au commentaire de Jean Salem et aux explications de votre professeur. Découper la lettre en 6 textes: -Le préambule (jusqu'à "pour bien vivre".) -Ne pas craindre les dieux (jusqu'à "qui s'en écarte"). -Ne pas craindre la mort (jusqu'à "qu'il dût ne pas être") -Distinction des désirs /On peut supporter la douleur (jusqu'à "comme un bien") -On peut atteindre le (jusqu'à "et à part des vertus") -Conclusion

dire qu’à son âge, il a tout de même connu le bonheur. Créon met en garde Antigone de ce qui n’est pas le bonheur. Pas d’héroïsme, pas de bataille pour des grandes idées. Créon sait que cette conception de bonheurn’est pas idéale. Il sait en avance qu’Antigone sera contre ses idées (l.9 „Tu vas me mépriser encore“). On vera que la vision de bonheur de Créon est assez limitée. Comme cela on peut dire que sonbonheur est une facon pour lui de se rassurer, de se dire qu’à son âge, il a tout de même connu

l'esprit [1] Vaine est la parole d'un philosophe qui ne guérit aucune souffrance de l'homme. Car de même qu'il n'y a aucun profit dans la médecine si elle ne chasse pas les maladies du corps, de même il n'y a aucun profit dans la philosophie si elle ne chasse pas les souffrances de l'esprit. Lettre à Ménécée [2] Épicure à Ménécée, salut. Même jeune, on ne doit pas hésiter à philosopher. Ni, même au seuil de la vieillesse, se fatiguer de l'exercice philosophique. Il n'est jamais trop

Épicure - Lettre à Ménécée1 Epicure est un philosophe grec du III° siècle avant Jésus-Christ. Ses principaux domaines de réflexion sont la physique (où il se fait partisan de l’atomisme), la théorie de la connaissance (où il se fait partisan de l’empirisme) et l’éthique (où il considère que le souverain bien est le plaisir). Il est l’auteur d’une oeuvre abondante dont la plus grande partie a été perdue. Il ne reste que trois lettres, dont celle-ci, adressée à Ménécée. Ménécée semble être un

Le Bonheur est-il l'unique fin désirable ? Le bonheur est souvent conçu comme étant une fin ultime de l'homme, c’est à dire l'eudémonisme. Dans la mesure où le bonheur est défini comme le souverain bien, il se distingue des fins partielles, des fins qui deviennent des moyens pour atteindre des fins plus élevées, comme la richesse. Le bonheur est la fin la plus haute, une fin que l’on recherche pour elle-même, une fin en soi. Mais nous ne connaissons rien de la nature du bonheur. Selon l'opinion