Léviathan

paradoxalement l'homme n'est pas fait pour vivre en société car il a une tendance à entrer en rivalité et en concurrence avec les autres A) L'homme est mauvais avec les siensRéférence philosophique : Hobbes, Le Léviathan  : « l'homme est un loup pour l'homme » Hobbes présuppose un état de nature susceptible de dégénérer en état de guerre, conséquence de l'égalité naturelle entre les hommes car si deux hommes souhaitent obtenir le même objet, ils

au zénith un nuage se troue, Un peu de jour lugubre en tombe, et, sur la proue, Une lueur, qui tremble au souffle de l'autan, Blême, éclaire à demi ce mot : LÉVIATHAN. Puis l'apparition se perd dans l'eau profonde ; Tout fuit. Léviathan ; c'est là tout le vieux monde, Âpre et démesuré dans sa fauve laideur ; Léviathan, c'est là tout le passé : grandeur, Horreur. * Le denier siècle a vu sur la Tamise Croître un monstre

abandon. Cette entité est le Léviathan. Le Léviathan est dans l’Ancien testament est un animal monstrueux et tellement puissant qu’il est en capacité de tout détruire. Le Léviathan est la puissance publique. Les individus s’engagent à se soumettre d’une manière absolue au Léviathan. Il l’appelle aussi la personne unique car il concentre en lui tous les droits et toute la puissance de tous les individus. Il est aussi appelé aussi puissance suprême. La volonté du Léviathan est indépendante de celle

LE LEVITHAN (=l’État, la puissance publique). Ce Léviathan conserve en lui la puissance de tous les individus réunis. Il est institué pour contraindre les hommes à respecter la vie en société. Hobbes l’appelle aussi « la personne unique » qui détient un droit absolu sur toute chose dorénavant. Il a un pouvoir monstrueux Léviathan= nom d’un monstre qui ressemble à un hippopotame, il détient le pouvoir suprême, chacun doit lui obéir. Ce Léviathan, d’après Hobbes, s’inscrit malgré tout dans une perspective

is a play within a play - comical break : we mock them, but we are able to identify with them more likely than with the fairies or the royal people II The symbolic meanings A) The lion : beast within ourselves, danger ( minotaur, leviathan….) B) The oak : link between humans (the earth, the roots) and the gods ( branches, sky Act II scene I I Folklore A) puck : Robin Goodfellow ( in English folklore Entertainer, jester( tricks on people

plus ? N´est-ce pas un organe de répression qui ne laisse pas aux individus être libres ? Au contraire, on peut penser que si il n´y avait pas d´État la loi du plus fort règnerait sur la terre, c´est l´État de nature dont parle Thomas Hobbes dans le Léviathan. Ceci attaque la liberté puisque les intérêts particuliers se choqueraient entre eux et il y aurait toujours quelqu´un de plus fort qui nous contraindrait d´agir en bénéfice de notre volonté. L ´homme est un loup pour l´homme et il vaut mieux qu´il

justement grâce à un processus de distinction qu’il en prend conscience. L’homme se sert de son âme. Il la développe dans un but de « perfectibilité ». En effet, nous pouvons relier cette idée à l’hypothèse d’  « état de nature » de Thomas HOBBES dans Léviathan (1659). C’est l’état dans lequel l’homme aurait été avant de vivre en société. Les êtres humains n’ont pas conscience les uns des autres et ne connaissent pas le bien et le mal. Dans ce cadre là, l’homme ne connait qu’une réalité : le rapport de

humaine Force / Intelligence Gorgone Tête femme / chevelure de serpents Force du regard pétrification Dragon Griffes de lion / ailes et queue de serpent Gardien vigilant et farouche d’un trésor Ange Corps d’enfant / ailes Messagers des dieux Léviathan Dragon / Serpent / Crocodile Cataclysme terrifiant

sa propre loi. Dans le mythe de l’attelage ailé (Phèdre), Platonmontre qu’il faut limiter de l’extérieur les désirs pour devenir libre, pour se libérer. Le désir devrait être soumis à une loi. C’est ce que laisse entendre Hobbes au chapitre VI du Léviathan parexemple. De même on pourrait distinguer les désirs que nous subissons (qui viennent de causes extérieures) et les désirs dont nous sommes pleinement responsables (Spinoza, Éthique, III ou Traitépolitique, II). De même peut-être conviendrait-il

Thomas Hobbes (1588 – 1679). De la condition naturelle des hommes en ce qui concerne leur félicité et leur misère (Léviathan, livre I, ch. 13.) Texte intégral La Nature a fait les hommes si égaux pour ce qui est des facultés du corps et de l'esprit que, quoiqu'on puisse trouver parfois un homme manifestement plus fort corporellement, ou d'un esprit plus vif, cependant, tout compte fait, globalement, la différence entre un homme et un homme n'est pas si considérable qu'un homme particulier puisse