Leyde

réalité la main du cadavre dont la dissection est d’une précision rigoureuse quant à l’insertion des tendons fléchisseurs. Tulp, l’anatomiste, est en quête de gloire et de considération éternelle ; les conception vésaliennes transmises par son maitre de Leyde, Pieter Pauw lui même élève de Vésale, lui sont familières. Son rival dans l’histoire de l’anatomie est donc Vésale qui s’est fait représenter sur le frontispice de son opus majeur « De humani corporis fabrica » debout, à côté d’un avant-bras et d’une

venons de la voir, Vermeer est intégré dans un réseau, réseau au sein duquel il est « celui qui réagit, transforme par soustraction » (Blaise Ducos). De fait, la réaction de Vermeer est avant tout une réaction de rejet, envers la peinture fine de Leyde et celle de Gerard Dou particulièrement. A ce titre nous pouvons citer La laitière (Vermeer, vers 1660, Rijksmuseum) dont le précédent manifeste est le tableau de Gerard Dou, La cuisinière hollandaise (Musée du Louvre, vers 1640) : le précédent

par la maxime suivante (Papyrus Prisse) : « Tu dois aimer ta femme de tout ton cœur, [...], fais plaisir à son cœur aussi longtemps que tu vis ». Le romantisme est présent dans la littérature égyptienne, par exemple, dans un papyrus du musée de Leyde : « Je t'ai pris pour femme lorsque j'étais un jeune homme. J'ai été avec toi. Puis j'ai conquis tous les grades, mais je ne t'ai pas abandonnée. Je n'ai pas fait souffrir ton cœur. Voilà ce que j'ai fait lorsque j'ai été jeune homme et quand j'exerçais

Les Vanités David Bailly (1584-1637) Vanité aux portraits, 1620, huile sur bois, 90 * 122 cm. Stedelijk Museum « De Lakenhal », Leyde. Première touche U n jeune homme nous accueille du regard. Confortablement assis, une baguette à la main, comme pour mieux nous montrer tout ce qu’il y a à voir : il nous attendait. C’est lui qui va faire la visite tant il est vrai que cette profusion d’éléments disposés sur la table nécessite explication… Et s’il s’apprête à nous faire la leçon, c’est qu’un

suit une troupe de comédien errants «studiosus medecine». En 1613, avec Guez de Balzac, il gagne les Provinces Unies. Affaire obscure où Balzac reçoit du bâton et où de Viau donne de l'épée. Ce qui provoque la rupture et le départ du duo. Retour à Leyde en 1615, Théophile de Viau devient secrétaire poétique pour le comte de Candale. Dès lors, il connaîtra les fortunes les plus diverses grâce à des féodaux plus vulnérable que ses maîtres. Peu après son voyage en Angleterre, De Viau confesse

l’ouvrageAchevée ensuite à Rome, peu avant sa mort, vers la fin des années 170Date de publication bien plus tardive1ère réalisée à Rome, en 1469, par Giovanni Andrea BussiAutres éditions aux XVIe et XVIIe siècles1ère édition critique par Jakob Gronovius, à Leyde, en 1706Importante édition par Martin Julius Hertz, à Breslau, en 1883/1886ContexteSujet : l’expansion romaine en Italie durant la période médio-républicaineIVe-IIIe avant JC : Italie encore une mosaïque de peuples et de cités aux statuts juridiques

Van Doesburg, Eric Wichman et Louis Saalborn fondent l’association artistique De Anderen. mai : Van Doesburg rencontre les architectes Jacobus Johannes Pieter Oud, Jan Wils et le peintre Bart Van der Leck. Ils fondent ensemble le club artistique de Leyde De Sphinx dont le but est de promouvoir les relations entre la peinture et l’architecture. C’est le début d’une période de coopération entre le peintre et les architectes pour lesquels il élabore des vitraux et la mise en couleurs d’espaces intérieurs

diffuse sa doctrine en Hollande, revient à Strasbourg en 1533 où il est emprisonné, et il meurt en prison en 1543. Deux de ses disciples, Jean Matthijs et Jean de Leyde, lèvent une troupe d’anabaptistes qui prend la ville de Münster en 1534 afin qu’elle devienne une nouvelle Sion ; en attendant, elle subit la dictature de Jean de Leyde. La ville est reprise en 1535 et les anabaptistes sont massacrés. Leur message est cependant repris et propagé, mais dans un pacifisme radical, aux Pays-Bas, par Menno

1630, à Leyde. Après un retour à Amsterdam, il s’installe à Deventer (1632). En 1633, il est encore à Amsterdam, mais, en 1635, il se trouve à Utrecht. Il revient à Leyde avant de s’établir, en 1637, à Santport, et nous le verrons encore, par la suite, changer souvent de résidence. Encore ne pouvons-nous suivre tous ses déplacements, car, « lorsqu’il écrivait à ses amis… il datait ordinairement ses lettres non pas du lieu où il demeurait, mais de quelques villes comme Amsterdam, Leyde, où il

Paris pendant l'hiver 1628, puis s'installe définitivement en Hollande au printemps 1629. Sa vie est entièrement consacrée à l'étude. Il s'inscrit à l'Université de Franeker. Il continue pourtant de se déplacer (de 1629 à 1633 : Franecker, Amsterdam, Leyde, Deventer, Egmond). Souhaitant ne pas être dérangé, il n'indique jamais sur ses lettres le vrai lieu où il se trouve, mais donne le nom de quelques villes. À Amsterdam, Descartes vit au centre de la ville, dans la Kalverstraat, le quartier des bouchers