Leyde

3 : Tableau regroupant les différents indicateurs environnementaux du modèle CML 2000 pour 1 kg de polystyrène expansible (calculés à partir de l’inventaire du cycle de vie complet) Le Modèle CML a été mis au point par l’Université de Leiden (Leyde) au Pays-Bas. http://www.leidenuniv.nl/interfac/cml/ssp/projects/lca2/index.html Il existe de nombreux modèles différents, établis par des centres de recherches ou des groupes d’experts internationaux... Liste non exhaustive de méthode

système économique. L'exclusion des femmes. Métiers = moyen efficace refouler femmes. Grande raréfaction femmes pouvant entreprendre seules. ╘> XVIème s. Lyon: crises = origine la plus probable dispositions exclusion femmes. ╘> 1563 Leyde: toiliers comptent 5 maîtresses dans leurs rangs. / 1568: plus aucune. Hormis dans cas où veuves assument direction ateliers après mort mari, maîtrises RAREMENT accessibles aux femmes. ╘> Issue normale pour veuve = remariage (en général très

que l’encyclopédie serait publiée dans la langue de donateurs, c'est-à-dire en anglais, allemand et français. La première version a été publiée en 4 volumes entre 1913 et 1936, la seconde date de 1954 jusqu’à nos jours. L’imprimerie de la ville de Leyde en Hollande était chargée de l’édition. Le Chiisme ou Shiisme. C’est l’un des 1ers mouvements politique de l’Islam. C’est une minorité toujours très active, le pays chiite du XXème siècle est l’Iran. Le terme chiisme, la définition est, un

Bèze, le conseil municipal de Genève reprit progressivement le contrôle de fonctions auparavant dans le domaine ecclésiastique. La sécularisation fut accompagnée d'un déclin de l'église. Même l'académie de Genève fut éclipsée par les universités de Leyde et d'Heidelberg qui devinrent les nouveaux bastions des idées de Calvin, qualifiées de calvinisme pour la première fois par Joachim Westphal en 1552. En 1585, Genève, auparavant la source du mouvement réformé, était simplement devenu son symbole108

1960, après deux ans passés dans un grand cabinet d’avocats internationaux. Il n’a cessé depuis lors de militer en faveur d’un rapprochement entre les universités des deux côtés de l’Atlantique et commença par créer le programme d’été de Columbia à Leyde. Puis, venu à Paris 1 à plusieurs reprises pour y enseigner dans le cadre d’un master recherche, il joua un rôle crucial dans la mise en place du double diplôme en droits français et américain (cf. Le fil de Par1s N°17). Il était aussi un praticien

luthériens quittèrent la ville, remplacés par des Anabaptistes venus de tous les coins de Hollande et d’Allemagne. Jan Matthys de Haarlem venant d’arriver s’imposa bientôt comme le prophète inspiré de la révolution avec ses partisans dont Bockelson (Jan de Leyde). Au matin du 27 février 1534, les Luthériens et les Catholiques furent expulsés. Le 28, le siège de la ville par l’évêque commença. La ville dut organiser sa défense en même temps que s’ébauchait une révolution sociale : la propriété privée de l’argent

Un dipôle historique Le condensateur est le plus ancien dipôle utilisé en électricité. Après sa découverte fortuite en 1745, les propriétés de la bouteille de Leyde furent utilisées pour des démonstrations de physique spectaculaires, mais elle servit également d’outil expérimental et de base de réflexion aux physiciens. La bouteille de Leyde est un récipient de verre – isolant – à l’intérieur duquel est placé un conducteur au contact des parois. Le conducteur, initialement de l’eau, fut ensuite remplacé

spectaculaires se multiplient. Benjamin Franklin montre en 1752 l'existence de l'électricité atmosphérique en captant celleci avec un cerf-volant. Le hollandais Musschenbroek invente en 1746 le premier condensateur électrique (appelé la bouteille de Leyde) et le français Coulomb énonce les premières lois physiques sur l'électricité. En 1800, la première pile électrique est créé par l'italien Volta, ouvrant la voie aux progrès décisifs du XIXe siècle. 2.3.- La naissance de la chimie moderne Une théorie

jamais amasser plus de mille livres en or, mais aussi les noms attribués 66. Cf. « Luciani compluria opuscula ab Erasmo et Thoma Moro interpretibus optimis in Latinorum linguam traducta », in K. Kumaniecki, R.A.B. Mynors, C. Robinson, J.H. Waszink Leyde (éd. & notes), Opera Omnia Desiderii Erasmi Roterodami I, 1 : Ordinis primi tomus primus, Amsterdam, North Holland, 1969 et C.R. Thompson, The Translations of Lucian by Erasmus and St. Thomas More, Ithaca (New York), Cornell University Press, 1940

dénommé par les Gaulois -dunum (colline, colline fortifiée), rate, "forteresse", briga (mont, mont fortifié), utilisés comme suffixes de toponymes précédés par un adjectif ouun autre substantif : Lugdunum (“fort du dieu Lug” : Laon, Lyon, Laudun, Leyde (NL), etc.), Virodunum (“lefort des hommes” (Lambert 1994, p. 183) : la série des Verdun), Noviodunum (Nyon, Nyons,Nevers), Uxellodunum (“haut-fort” : Puy d'Issolu, Issoudun, Exoudun). Argentorate (Strasbourg), Carpentorate (Carpentras), etc.