Liber-Raisons d'agir

soit verbalement, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. » Le mouvement surréaliste repose donc sur la volonté de libérer l’homme des morales qui le contraignent et des académismes qui l’empêchent d’agir, c’est-à-dire nuisent à la force créatrice. Souvent, les écrivains surréalistes se libèrent de la contrainte du sens dans leurs productions littéraires ;

satisfaire le désir car ce dernier renaît toujours de ses satisfactions éphémère (= qui dure peu de temps). II- Le désir n’est pas que l’expression d’un manque A) Affirmation de soi * Dans le théâtre Descartes montre la catharsis (on se libère de nos passions). Tous les hommes désirent mais chacun à sa manière, singulièrement. On peut ainsi faire la différence avec la dictature qui est un régime totalitaire où le désir de chacun est brisé. Le désir se manifeste de manière positive comme

est influencé par tout ce qui est extérieur à lui mais nous savons en premier lieu que le propre de l’hommes est d’être un être de raison et donc un être pensant, ce qui implique l'idée de réflexion et de connaissance. L'homme est donc capable, intérieurement, de connaître la vérité et d'y faire face, mais il semble qu'il ne la désire pas toujours. C'est pour cette raison que l'on peut se demander s'il est préférable pour l'homme de se cacher la vérité ou de se l'avouer pleinement pour atteindre son

requit: "Philosophie Terminale L"Alain Marchal) I\ Désir et sensibilité 1\ Sensibilité irascible et sensibilité concupiscible Platon dans ''Le mythe de l'attelage ailée du Phèdre'' propose une division en trois partie de l'âme humaine avec la raison (Nous) comme cocher, le cœur (Thumos) siège de la volonté et du courage symbolisé par un cheval blanc relativement docile et enfin la sensibilité désirant (Epithumia) à l'origine des mouvements désordonnée de l'attelage représenté pour sa part part

pasteurs. Après avoir renoncé à la carrière de pasteur, Friedrich Nietzsche étudie la philologie et s'intéresse à Arthur Schopenhauer. Il devient professeur de philosophie en 1869 à l'université de Bâle, mais il doit s'arrêter d'enseigner en 1879 pour raisons de santé. Nietzsche se lie d'amitié avec Richard Wagner avec lequel il finira par se brouiller. Sa pensée philosophique est portée par la passion, au risque de parfois s'égarer. Elle ne s'embarrasse pas de théories ou de systèmes démontrés. Le

nous un étranger qui se manifeste de temps en temps dans nos gestes , nos rêves , nos manies ou dans nos actes manqués ; cet étranger qui est donc l’inconscient. Freud disait : « je ne suis pas maître dans ma propre demeure », pour lui il y a des raisons aux conduites les plus déraisonnables et un sens derrière nos rêves seulement ces explications nous échappent, c’est que certaines pulsions, certains désirs incompatibles ont été refoulés hors de notre conscience, mais continuent cependant de se manifester

Cette état d’esprit n’est pourtant pas inné à l’homme, être de passion, qui, sans cesse traversé par de nouveaux désirs, serait plus enclin à tendre vers ce qui l’habite plutôt que de devoir y renoncer. Aussi pour que la raison prenne le pas sur les passions il faut que l’homme prenne conscience de leur vanité. Après que Calliclès ait expliqué que les passions étaient, selon lui, nécessaires puisqu’elles permettaient à l’homme qui parvenait à les assouvir d’être heureux

verbalement, soit de tout autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. » Le mouvement surréaliste repose donc sur la volonté de libérer l'homme des morales qui le contraignent et des académismes qui l'empêchent d'agir, c'est-à-dire nuisent à la force créatrice. Souvent, les écrivains surréalistes se libèrent de la contrainte du sens dans leursproductions

alors qu’il ne fait peut être qu’imiter les désirs de son voisin. Cette phrase est composée de mots clés comme « on », « libre », « tout » et « faire ». On, pronom indéfini indique d’une manière vague des personnes. Le mot libre vient du latin « liber » signifiant couramment « sans chaînes », « sans entraves ». Pour le définir, c’est un être qui n’est pas captif, pas esclave et qui ne dépend que de lui même et non des autres. L’expression qui peut s’y rattacher est « libre comme le vent » Tout

énumérer « une longue suite d’images » des « images du fléau » va s’en suivre une énumération de termes appartenant aux champs lexicaux de la mort, de la peste, de la maladie, associé à des villes. 2ème étape : Rupture, le doute se transforme en raison. Après l’accumulation d’image, synonyme d’angoisse, son esprit divague ; vient une rupture par l’interjection « Non » synonyme ici d’auto-conviction. Il essaie de chasser la peur en regardant l’environnement (reflet du Mal et du Bien) « seule la mer »