Liber-Raisons d'agir

durant laquelle se succèdent des événements de la naissance à la mort. Donc, chaque journée est l’occasion de faire une nouvelle expérience mais aussi une journée de moins à vivre. Ainsi, sommes-nous nécessairement victimes du temps ? Le temps nous libère-t-il ou nous enferme-t-il ? La vie doit-elle être vécue comme une fatalité ? Pouvons-nous tout de même tirer profit du temps ? Tout d’abord, nous verrons que nous sommes prisonniers du temps pour ensuite préciser que nous sommes libres dans le temps

l'autonomie, qu’il est la source de tout progrès humain et historique. Le travail forme et éduque, il transforme le monde et civilise. Mais Hegel va plus loin, en disant que le travail permet aussi de se libérer de l’angoisse de la mort, ce que dit aussi Weber, bien que ce ne soit pas pleinement pour la même raison. Selon Weber, le travail n’est autre chose qu’un élément contre l’angoisse de la mort. En effet, pour les protestants, le salut n’est jamais sur dans la mesure où l’on ne peut pas l’acheter (contrairement

texte .............................................. 41 3. Les chemins de la liberté .................................................... 43 La liberté du sage ....................................................................... 43 Liberté et raison......................................................................... 44 Libération et aliénation ............................................................. 45 Texte 10 : Ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous, Épictète (50-130

dissertation 1) Amorce : Il nous faut partir de ce constat de départ que le sentiment commun et immédiat éprouvé par tout homme est de se sentir libre : en effet, chaque homme peut faire l’expérience, du moins intérieure, d’une liberté de penser et d’agir, indépendamment de toute contrainte extérieure. Cette conviction intérieure est donc profondément ancrée en chacun de nous. 2) Annonce du sujet et problématisation : Cependant, la liberté ne serait-elle pas une illusion ? Ou pour le dire autrement

plus profond : elle relève de la science des mœurs, (l’on peut douter qu’il puisse s’agir ici d’une science) et cherche la dimension universelle de la valeur pouvant être donnée aux actes humains, dans le repérage bien/mal. L’on pourrait dire avec raison que la morale s’occupe des lois universelles de la morale, en tant que l’interdit du meurtre, tandis que l’éthique s’attacherait au particulier, ou que la morale ne prescrit que des lois générales qui doivent avoir un sens précis dans l’action, ce

et les actions, pour nous même et pour les autres. La Justice en tant que telle, doit « rendre la justice » et « dire les règles », au sens philosophique il s’agit d’un idéal, individuel ou collectif. La justice fixe des limites et permet a chacun d’agir librement, dans ces limites, pour rester en cohésion dans une société. Cependant, ces règles fixées sont elles toujours juste pour les individus ou l’ensemble d’une population ? La liberté est le pouvoir de l'individu de faire ce qu'il veut,

que la mort est un mal alors qu’elle est dénuée de toute sensations? La craindre est donc une absurdité car il ne peut y avoir de douleur dans la mort. C’est en prenant conscience de la réalité de cet état d’absence de sensation que l’homme peut se libérer de sa crainte et vivre heureux. La mort d’un proche procure de la peine mais il est plus douloureux encore que de l’attendre. Elle ne frappe qu’une fois un être. La crainte de la mort est le trouble de l’âme qui agite les hommes. Car c’est encore

économiques, politiques, religieuses… Elle sert de cri d’indignation et de sonnette d’alarme au peuple. • La liberté, c’est l’état opposé à la contrainte, à la captivité, à la servitude. C’est le pouvoir d’agir ou de ne pas agir, de choisir. C’est l’état de l’homme qui se gouverne selon sa raison en l’absence de tout déterminisme. • Toute révolution que l’homme entreprend, hier, aujourd’hui ou demain, est menée par des personnes aspirant à la liberté et ayant des avis contraires au gouvernement

Introduction : Bien souvent, en contexte de travail, nous sommes confrontés à des situations qui remettent en question nos valeurs, nos croyances et nos perceptions. Parfois, il arrive même que certaines situations nous amènent à remettre en question les raisons pour lesquelles nous oeuvrons auprès de cette clientèle, nous adhérons à l’équipe et collaborons avec le milieu. Le fait d’être aux prises à l’intérieur de ces situations teinte notre regard de subjectivité. Afin d’analyser cette situation et de départager

l'enchaîne à mesure qu'elle augmente son avoir. » ( François de Closets ) Avant d'entrer dans le vif du sujet, il nous faut éclaircir le sens, et certain termes de cette citation. « La forme libératrice d'abondance » signifie qu'il existe une façon de libérer l'homme de son manque ( considéré ici comme une souffrance ), en le comblant par des quantités dépassant ses besoins. Cependant, au moment même où il satisfait ce besoin, il est frappé par le désir de ce qu'il ne possède pas, on y retrouve cette idée