Liberalisme Contre Marxisme

nécessitent un travail coordonné d’un certain nombre d’individus. On peut ainsi estimer que ces travaux là nécessitent des outils et donc un savoir-faire technologique. Il faut également mettre en place un système de sécurité afin de protéger le groupe contre les assauts éventuels du groupe voisin. Les rôles distribués de ci et de là dans la société conduisent à une réorganisation totale. La sédentarisation conduit à la production d’un surplus agricole qui permet de nourrir l’ensemble de la population

l’éducation des enfants, voire la simple relation d’altérité dans le couple ou la vie sociale.  Rôle libérateur de l’individualisme Pour mesurer la nouveauté de l’individualisme moderne, il faut se remémorer l’organisation sociale et les valeurs contre lesquelles il s’est construit. La famille offrait des repères plus solides. Elle pouvait, mieux que l’individu, respecter des engagements et donc conclure des contrats. L’existence de l’individu était ainsi soumise à celle de la famille : chez les

guerre peuvent disparaitre au profit de la guerre totale. Ainsi des réalistes soutiennent que la seule conduite morale d'un Etat consisterait en fin de compte à ne rechercher que sa puissance nationale1. L'insistance faite sur la notion de puissance contre celle de loi conduit, comme le constate Raymond Aron, à définir toute politique comme puissance (même la politique intérieure où les conflits sont pourtant tranchés par la loi et d'autres règles), plutôt que définir l'ordre international comme celui

riche en utopie. Marx oppose le socialisme utopique à son socialisme qu’il qualifie de scientifique. C’est à partir du milieu du 19è s. que l’utopie en vient à désigner un projet politique ou social qui ne tient pas compte de la réalité. Mais le marxisme n’est-il pas lui aussi une utopie ? * De toutes ces théorisations de l’utopie, on en retire bon nombre de ressemblances et de similitudes telles que : * A l’origine : critique de l’ordre existant et volonté de le réformer en profondeur

Histoire du libéralisme économique classique L’histoire du libéralisme économique classique (à ne pas confondre avec le social-libéralisme et le courant économique qui lui est associé) est la doctrine selon laquelle les libertés économiques (libre-échange, liberté d'entreprise, de consommation, de travail, etc.) sont souhaitables et que l’intervention de l’État doit être aussi limitée que possible, nait au xviiie siècle en parallèle avec l’émergence de la définition de ce qu'est l’État par les

électrochoc. Ont comprends à ce moment là que le législateur n'est pas infaillible que le parlement peut se tromper, que la loi peut porter atteinte à la liberté et aux droits fondamentaux des individus. Il est donc nécessaire de ce protéger contre elle et pas seulement contre les actes du pouvoir exécutif ce qui signifie que la loi n'est plus au centre du système normatif. le développement du constitutionnalisme (mouvement d’apparition des constitutions, c'est un mouvement qui mets la constitution en haut

: La classe productive : tous ceux qui travaillent la terre La classe des propriétaires fonciers qui perçoivent des profits La classe stérile : les artisans, les manufacturiers et les marchands La philosophie de base repose sur le libéralisme : la liberté, à tous les niveaux, est le fondement de la propriété. La règle du jeu économique étant le laissez faire, laisser passer. 3 – les théories classiques La publication en 1776 des Recherches sur la nature et les causes de la richesse

altermondialiste. Si le marxisme officiel a longtemps été l’inspirateur ou le compagnon de route de la sociologie, sa fossilisation dogmatique et son discrédit lié à la faillite du stalinisme, du maoïsme et du castrisme ont rendu suspects tous les “grands récits” émancipateurs, toutes les utopies des lendemains qui chantent puis déchantent. Or, et c’est une thèse qui mériterait d’être amplement développée, la sociologie a toujours accompagné, directement ou indirectement, le socialisme ou le libéralisme, les mouvements

du politique | |2.1 Les théories | |2.1.1 Le libéralisme (qualifié par les réalistes d'idéaliste) | |2.1.2 Le réalisme

le socialisme? A. Doctrine suivant laquelle on ne peut pas compter sur le libre jeu des initiatives et des intérêts individuels, en matière économique, pour assurer un ordre social satisfaisant. Ainsi le socialisme veut se substituer au libéralisme dans le but d’aboutir à des résultats plus équitables et plus favorables au développement de l’individu. On peut ainsi parler d'une doctrine d'organisation sociale qui entend faire prévaloir l'intérêt, le bien général, sur les intérêts particuliers