Liberté contractuelle

il y a une liberté contractuelle, chaque personne est libre de contracter ou de ne pas contracter. Toute rupture abusive entrainera une responsabilité délictuelle, article 1382 du code civil. Cour de cassation, chambre civile 1 du 6 janvier 1998 Court délai entre la date de réunion et celle pour la signature. Rupture des pourparlers la veille de la date de la signature. Réticence dolosive Cass. 3° civ., 28 juin 2006 Sté A  (négociations) SCI consorts Si la liberté contractuelle permet à chacun

THEME 14 : Les relations contractuelles entre professionnels Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs personnes à donner, faire ou ne pas faire quelque chose. C’est donc un accord de volonté destiné à créer un engagement juridique. Les parties concernées  Parties contractantes. Les parties extérieures  Les tiers. Si le contrat se fait entre deux personnes (vente)  contrat synallagmatique. S’il n’y a qu’une personne qui

temps   pour   suivre   précisément   les   différentes  mutaGons  dont  notre  société  a  fait  l'objet. SecGon  1  :  le  fondement  humaniste Le   contrat   est   l’expression   même   de   la   liberté,   de   l’égalité   et   de   la   jusGce.   Or   l'époque   humaniste   est   animé   par   ces   principes.  Le  C ode  civil   est  la  marque  d'un  compromis  d'un  droit  individualiste.  Développée

qui le veut, peut s’engager Conséquences : * La liberté contractuelle : chacun est libre * de contracter et de choisir son cocontractant * de déterminer le contenu de son contrat * de choisir la forme de son contrat Toutefois des restrictions limitent cette liberté contractuelle : * atteinte à la liberté de contracter : certains contrats sont obligatoires (ex : assurance voiture) * atteinte à la liberté de déterminer le contenu du contrat : respect de l’ordre public

autres à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose. Il existe à ce titre plusieurs classifications du contrat, à savoir : la classification légale et les classifications doctrinales faites pour prendre en compte la diversité des relations contractuelles existantes. En ce qui concerne tout particulièrement la classification légale, l’on y trouve les contrats à titre onéreux, qui sont des contrats par lesquels chacune des parties recherchent un avantage, notamment une chose, un service ou un prix

relations contractuelles se nouent et se dénouent en permanence entre personnes physiques ou morales. Pour arriver à la création d'un ordinateur, par exemple, il a fallu la conclusion de milliers de contrats, de sa conception à sa vente au magazin . Le droit des contrats a été codifié dès 1804 selon la théorie des Lumières1 sous l'emprise philosophique de l'autonomie de la volonté. Dès lors, le droit des contrats en France est soumis à trois grands principes fondamentaux : la liberté contractuelle

présente une certaine liberté(I). Toutefois, le juge peut apprécier les circonstances dans lesquels le contrat a été révoqué par l’une des parties et peut ainsi condamner celle-ci en cas d’abus(II) I. Une révocation unilatérale libre du contrat à durée indéterminée A. Une liberté de rupture mesurée La partie qui met fin à un contrat à durée indéterminée « n’a pas à justifier d’un quelconque motif ». Chacune des partie est libre de rompre unilatéralement le lien contractuel. Cette règle est issue

peut prétendre à une sorte de supplément, une « indemnité » du fait de la survenance d’événements anormaux lors de l’exécution du contrat. Ainsi, hors le cas ou les indemnités résultent de l’usage par l’autorité contractante de ses prérogatives contractuelles, deux jurisprudences sont traditionnellement envisagées : le fait du prince et l’imprévision. Le fait du prince est le nom donné à la théorie jurisprudentielle, propre aux contrats administratifs suivant laquelle le cocontractant de l’administration

un déséquilibre et peut même s'avérer dangereuse pour la sécurité contractuelle. II- La cause de l'obligation: un instrument de lutte contre les contrats dépourvus de tout intérêt concret Outre la notion classique attribuée à la cause, celle-ci apparaît en l'espèce comme un réel instrument du juge afin de contrôler le bon équilibre du contrat (A) mais cette approche peut sembler dangereuse quand à la sécurité contractuelle (B). A- La cause : un instrument du juge de contrôle de l'équilibre

origines, l’âge, le physique, le handicap… Tous ces termes sont des motifs de discrimination à l'embauche. Comment lutter contre la discrimination à l’embauche ? L’étude portera sur la discrimination à l’embauche comme ses motifs interdits, la liberté d’embauche de l’employeur, les recours, les sanctions puis comment lutter contre la discrimination à l'embauche. I - Les motifs interdits pour la Non discrimination à l'embauche Il existe des motifs de discrimination à l’embauche interdits