Liberté d'opinion

par soi-même » (Diderot) « Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Voilà la devise des Lumières » (Kant) Malgré certaines confrontations, les valeurs communes aux philosophes sont : la libre circulation des idées, la pensée, la liberté de l’individu et la souveraineté du peuple. Leur principes sont : les hommes, appartenant à la même espèce, possèdent des droits inaliénables ; à travers leurs actes, ils recherchent le bien-être humain. Mozart s'inscrit-il dans l'esprit des Lumières 

plusieurs réponses contradictoires en fonction du sens que l’on donne aux mots liberté et apprentissage : est-il question d’une liberté humaine ou naturelle ? De même, l’apprentissage est il considéré comme une contrainte ou comme un outil ? Dans une première partie on développera l’idée qu’il existe deux sortes de liberté et dans une seconde on s’attardera sur l’apprentissage. Si l’on considère que le sens de la liberté est la possibilité d’avoir des réactions et des choix spontanés, c'est-à-dire

LA CONSTITUTION IVOIRIENNE  (LOI N° 2000-513 DU 1er AOÛT 2000 PORTANT CONSTITUTION DE LA CÔTE D'IVOIRE) TITRE PREMIER : DES LIBERTES, DES DROITS ET DES DEVOIRS   CHAPITRE 1 : DES LIBERTES ET DES DROITS     ARTICLE 1 L’Etat de Côte d'Ivoire reconnaît les libertés, les droits et devoirs fondamentaux énoncés dans la présente Constitution, et s’engage à prendre des mesures législatives ou réglementaires pour en assurer l'application effective.   ARTICLE 2 La personne humaine est sacrée. Tous les êtres

Dans le Traité théologico-politique, Spinoza affirme le premier que la liberté individuelle constitue la valeur morale et politique suprême et, par conséquent, la fin de l’Etat. Effet, pour lui, la plénitude de la souveraineté, qui est nécessaire pour la sécurité des citoyens, n’est aucunement menacée par la liberté d’opinion. Exigeant que le pouvoir politique soit suffisamment puissant pour dissuader les particuliers de toute action criminelle, mais en même temps respectueux de leur indépendance

se servir de son propre savoir. Le mouvement des Lumières n'est pas seulement français. Il est européen. Il est également allemand, espagnol, anglais... II. La religion Pour pouvoir penser par soi-même, il faut disposer d'un entière liberté d'examiner, de questionner, de critiquer, de mettre en doute. Les Lumières était en tout premier lieu de nature religieuse. C'est donc aux institutions religieuses que vont s'adresser les critiques les plus nombreuse, visant à rendrez possible la

de suivi personnalisé. L’enseignement ne permet pas de développer les capacités de chaque élève. - bourrage de crâne : élèves doivent apprendre tout par c?ur. Ex : oie gavée (L1) : « verserait dans un entonnoir » - pas de réflexion, pas de liberté d’opinion implication de l’auteur : - verbes de volonté, impératif - propositions anaphoriques conjonctives et subjonctives à valeur de conseils - s’oppose à la scolastique et à la théologie : « je ne veux pas que... » - lui-même a été au collège

totalitaire n'est pas loin, danger permanent des idéologies et de tous les absolutismes… C'est pourquoi la laïcité, qui garantit la liberté de conscience ou d'opinion, doit être sauvegardée à tout prix. Notre monde actuel a aussi été façonné par la pensée grecque, qui a permis l'émergence d'un certain type de démocratie, le développement des sciences, la garantie d'une certaine liberté. Si l'Unité est un drapeau, elle produit automatiquement des déviations qui mènent à la pluralité. C'est la démocratie qui

Chapitre I de Thérèse Desqueyroux de François Mauriac : Plan : Introduction I- Les personnages II- Résumé du chapitre I III- La quête de la liberté IV- Le flash-back/ projection dans l’avenir. V- Analyse de l’extrait. Conclusion Introduction : « Saurai-je jamais rien dire des êtres ruisselants de vertu et qui ont le coeur sur la main ? » François Mauriac, écrivain aux attraits démoniaques, s’est vite imposé comme un observateur perspicace des milieux et

souffrances et d’épreuves. -La liberté d’opinion, d’expression : combat contre la censure (par exemple : Le Discours de Figaro) -L’égalité : les philosophes prônent un retour à l’ordre institué par la nature contre les oppressions mises en place par les hommes. Les hommes naissent égaux et doivent le demeurer. -Diffusion du savoir : On vulgarise le savoir (avec par exemple l’Encyclopédie) dans le but d’aider les hommes à exercer leur esprit critique. -La liberté de culte.

comme la sauvegarde des biens des riches et la protection des libertés des pauvres, à une véritable anthropologie de l’espèce humaine. Avec l’entrée de l’homme en société, un nouvel ordre social, comprenant des conventions et ainsi de nouveaux droits, se constitue : « Ce que l’homme perd par le contrat social, c’est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu’il peut atteindre ; ce qu’il gagne, c’est la liberté civile et la propriété de ce qu’il possède » (Contrat social)