Libertinage Amoureux

pleine époque classique, Molière crée une pièce baroque sur le sujet du libertinage. Tout comme Tartuffe, Dom Juan subit rapidement la censure après quelques représentations. L’extrait présenté ici est la scène 2 de l’acte I de Dom Juan, durant laquelle le héros apparaît. Constituée d’un dialogue entre Sganarelle et son maître, cette scène se termine par une longue réplique de Don Juan sur l’infidélité. Il expose son libertinage en faisant un éloge de l’adultère, afin de répondre à la contradiction

superstition, crédulité. Perso hypocrite (fin de la tirade). Sg fasciné par la liberté de DJ, à son contact il a acquis de la cullture. Sg est pédant. - met en place le couple maître/valet et leur relation -> crédulité Sg aussi condamnable que libertinage DJ. Le ton burlesque de Sg place la pièce sous le signe de la comédie ms le thème religieux annonce un caractère polémique Acte I, scène 2 : Portrait de Don Juan Don Juan est sensible à la beauté -> véritable esthète. + conception guerrière

apprend qu’il est le comte Almaviva et qu’il l’aime ; un notaire, amène par Bazile, leur fait signer le contrat ; Bartholo, arrive trop tard, n’a qu’a s’incliner. La pièce est d’abord une comédie d’intrigue par son thème : un baron dupé par de jeunes amoureux, aidés d’un valet. Et par les procèdes employés : déguisements du comte, lettres qu’on laisse tomber ou qu’on écrit en cachette et qu’on feint de laisser prendre, quiproquos (quand Bartholo s’imagine qu’Alonzo  « travaille »  pour lui), feintes (quand

prend la direction cédée par le Duc d'Epernon. Molière voyage de 1650 à 1658 en Languedoc notamment et la troupe devient Troupe de Monsieur le Prince de Conti. Molière, fier de son succès rentre à Paris en 1658. Après son succès dans Le Docteur Amoureux, Molière est autorisé à jouer au théâtre du Petit-Bourbon. Il obtient un premier grand succès avec Les Précieuses Ridicules en 1659, puis avec Sganarelle en 1660. Mais Molière veut également montrer des talents d'auteur tragique avec Don Garcie

personnages vus dans les textes du corpus, vous direz si le libertin est forcément un monstre froid et calculateur, attentif à son seul plaisir.* Intro : Au XVIIème siècle, apparaît un mouvement culturel très caractéristique de cette époque : le libertinage. Le libertin est un personnage indépendant, sûr de lui, sans craintes et revendique même ses propres pensées. Mal vu par la société, il n’écoute que lui et la philosophie de l’anticléricalisme. A l’affut de nouvelles conquêtes plus difficiles les

de Valmont et le chevalier Danceny est l'ouvrage de Mme de Merteuil" et les "deux rivaux" se sont "quittés" réconciliés (lettre 459) .Le film peut faire croire au triomphe de la vertu sur le vice car on voit nettement que Valmont tombe réellement amoureux de Mme de Tourvel et lors de sa mort ses dernières pensées vont d’ailleurs à celle-ci.     Cécile et Danceny retrouvent le chemin de la vertu après quelques mois d'égarements, mais y apparaissent avec des blessures. Cécile retourne au couvent, elle

Les philosophes des Lumières --> parvenir au bonheur par les lumières de la science roman épistolaire --> Mme de Merteuil = 1 libertine -> ↗ scandale : personnage féminin libertinage: liberté de pensée --> ensuite : liberté de comportement (ex: Dom Juan) Les raisons du libertinage: Echapper à la condition féminine de l'époque: l.1: périphrase «ds le temps où» -> référence au XVIIIème siècle l.1-2: hyperbole «silence et inaction» -> soumission des filles + «vouée»

NTRODUCTION : A) L'œuvre : Les Laisons dangereuses de Laclos est un roman épistolaire entre un groupe d'aristocrate dont le Vicomte et la Marquise de Merteuil, des libertins et des anciens amants. Dans ce roman, Laclos dénonce l'immortalité du libertinage, les jeux cyniques de séduction, les perversités du milieu privilégié se faisant un loisir de jouer avec les sentiments des autres. B) Situation du passage de l'œuvre : La Marquise de Merteuil qui passe pour une vertueuse dévote a passé

dangereuse et prête à tout pour arriver à ses fins: «il faut vaincre ou périr». -----Également, la marquise se définit comme étant une femme cynique. En effet, elle se réjouit à l'avance du désespoir de son entourage: «rien ne m'amuse comme un désespoir amoureux»; et se plait à rabaisser Valmont à plusieurs reprises. De plus, c'est une femme cruelle, voire machiavélique, comme nous le montre la lettre CXLV : «quand une femme frappe dans le cœur d'une autre, elle manque rarement de trouver l'endroit sensible

personnages qui participent à cet aspect moraliste. Celle qui a le plus interpelé mon attention est la lettre que le vidame de Chartres a perdu qui montre les risques du libertinages. Car le vidame doit mentir en disant que ce n'est pas sa lettre, pour ne pas que la reine sache qu'il l'a trompé. Nous voyons donc que le libertinage amène ici au mensonge, qui est une contre-vertu contre laquelle Mme de Lafayette nous met en garde. Puis un autre exemple qui me viens à l'esprit, qui est peut-être le