Libertinage Amoureux

esprits forts. Il voue un culte à la beauté physique. Le regard compte beaucoup pour lui «plus d'yeux pour personne», «frapper les yeux», «les yeux pour voir», «tout ce que je vois d'aimable».... on a un libertinage des mœurs: Dom Juan aime le jeu séduction «par cent hommages», «transport amoureux», «larmes et soupirs». La tactique de Dom Juan est décrite dans l'acte I, scène 1 par Gusman et Sganarelle. C'est une passion espagnol citée dans Don Quichote. Ce jeu de séduction est légèrement pervers

enceinte, et réussit à conquérir la présidente de Tourvel). - La quatrième : c'est le dénouement : Merteuil va intervenir dans la relation Valmont / présidente de Tourvel et cela va aboutir à la chute des deux personnages : Valmont :  * il est tombé amoureux de la présidente de Tourvel, donc il n'est plus libertin * il perd Merteuil car elle refuse de revenir avec lui et elle prend le Chevalier Danceny comme amant * il perd la présidente de Tourvel, et Merteuil lui interdit de réessayer de la reconquérir

Etude d’ensemble : Le libertinage de Don Juan I.Le libertinage amoureux : A.Les principes d’un libertin - Le principe de plaisir : il obéit absolument à ses désirs ce qui le pousse à mépriser les lois de la morale *I,1 Sag fait de son maître « un pourceau d’Epicure » : « tu me dis qu’il a épousé ta maîtresse ( …)Un mariage ne lui coûte rien à contracter » *I,2 DJ confirme les propos de son valet : « Il n’est rie qui puisse arrêter l’impétuosité de mes désirs ( …) étendre mes conquêtes

appartient à la noblesse. Les sentiments qui lient le chevalier à sa dame sont appelés le «fin'amor» -> opposition des sentiments amoureux purs et réicproquye. Les mariages sont organisés par les familles et l'épouse qui était livrée a son mari était totalement dépendante de lui. Le «fin'amor» peut aussi être une raltion hors-mariage qui se traduit par un jeu amoureux par étapes. La littérature courtoise: Oeuvres lyriques et romanesques du XII au Xveme siécle reflètent cet idéal. Exemple: Chrétien

l’épousasse, mais je lui dis que c’est vous que je veux” (À Charlotte). Dom Juan ment aux deux paysannes afin de pouvoir les séduire toutes les deux. Pour cela il leur promet le mariage. Mais il collectionne d’autres défauts, en commençant par le libertinage “je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit”, (III, 1) défaut partagé par Octave. L’inconstance “j’ai une pente naturelle à me laisser aller à tous ce qui m’attire” (III, 5), et le pire défaut d’après Molière

d’être dépendant. Les libertins refusent de dépendre sentimentalement, la plus redouté des faiblesse est de tombé amoureux. Mme de Merteuil le sous-entend dans sa lettre 33, écrite à Valmont en lui démontrant que la lettre d’amour ne sert à rien, puisqu’elle s’est rendue compte que Valmont été tombé amoureux de Mme de Tourvel et il va se voir demandé de rompre. L’amour et le libertinage sont incompatibles. Ensuite, nous allons voir que les libertins prennent du plaisir en atteignant leur but et leurs

Molière crée une pièce baroque sur le sujet du libertinage. Tout comme Tartuffe, Dom Juan subit rapidement la censure après quelques représentations. (accroche avec informations sur l’oeuvre) L’extrait présenté ici est la scène 2 de l’acte I de Dom Juan, durant laquelle le héros apparaît. Constituée d’un dialogue entre Sganarelle et son maître, cette scène se termine par une longue réplique de Don Juan sur l’infidélité. Il expose son libertinage en faisant un éloge de l’adultère, afin de répondre

qu’il est obsédé par la penser de la femme qu’il aime et donne presque l’impression qu’elle le hante jours et nuits. Au début de chaque paragraphe, la répétition de « J’ai tant rêvé de toi », qui est une anaphore, exprime l’envahissement du rêve amoureux. On peut comprendre qu’en l’absence de son grand amour, le poète cherche a l’évoquer, a lui donné un corps : il l’a matérialise. Le poète donne aussi l’impression qu’il perd sa réalité, qu’il est totalement fou. De plus, les citations comme « je

classique, Molière crée une pièce baroque sur le sujet du libertinage. Tout comme Tartuffe, Dom Juan subit rapidement la censure après quelques représentations. (accroche avec informations sur l’oeuvre) L’extrait présenté ici est la scène 2 de l’acte I de Dom Juan, durant laquelle le héros apparaît. Constituée d’un dialogue entre Sganarelle et son maître, cette scène se termine par une longue réplique de Don Juan sur l’infidélité. Il expose son libertinage en faisant un éloge de l’adultère, afin de répondre

toujours d’actualité avec « vos ordres » l2 ; termes antithétiques associés à « ordres charmants » ; « chérir », « despotisme » =) on sait que Merteuil sait très bien manipuler. {text:list-item} Les deux anciens amants restent liés par le libertinage ce que Valmont désigne sous la périphrase ironique : « mission d’amour » l17. Longue phrase l9à19 proposition soit juxtaposée soit coordonnée. Le mot mission signifie qu’ils sont obligés de faire =) ils sont obligés d’être libertins. L10 « nous