Libertinage Au 18ème

C’est catégorie sont représentées à l’excès. Ce sont logiquement les puissants qui ont les rôles principaux. Les valets dans les pièces de Molière ne sont là que comme ressort de l’histoire, ils la font avancer en bien on en mal. À partir du 18ème siècle, les références sont Marivaux et Beaumarchais. Les personnages sont moins caricaturaux, ils gagnent en consistance psychologique. Le valet a un caractère plus nuancé et peu très bien devenir le héros d’une pièce Remarque : Au départ le titre

charnels. Le libertinage date du 18° siècle, c’est le siècle de corruption morale. La monarchie française est bâtie sur une légitimité divine ce sui nous permet de mieux comprendre la menace que représente le libertinage. De plus, les libertins voulaient l’apparition d’une société reposant sur le mérite avec l’esprit de justice et d’entente sociale. Pendant ces monarchies absolues et le despotisme, l’art libertin est l’acte de la conscience libre. Diderot et d’autres auteurs, exprime le libertinage par la

les arguments de Juliette et donne de la valeur au discours de Juliette en dépit de celui de Justine qui est quasiment inexistant (renforce l'idée de l'absence de dialogue) La discussion est a sens unique → mise en valeur de Juliette et donc du libertinage Lecture analytique n°3 : Lettre LXXXI (81) des liaisons dangereuses, Pierre Choderlos de Laclos, 1782 Le « on » dans le texte ne désigne personne en particulier (sa famille, la société dans laquelle elle évolue, ceux qui sont chargés de son

société. » Clémence Camon. Au 18ème siècle, à l’époque des Liaisons dangereuses, la société change avec la fin de l’Ancien Régime. Grâce à l’émergence des Lumières, l’homme va utiliser librement son savoir afin de pouvoir critiquer la tradition de l’élite intellectuelle. La libération de l’individu va fonder une société plus juste. La société du 18ème siècle qui est dirigée par un pouvoir totalitaire et qui prône l’aristocratie, voit un relâchement des mœurs, le libertinage au sens de liberté d’actions

impossible ; le jeu mondain devient tragique et le poète invoque une femme aimée mais inaccessible. L'amour de Lancelot pour la reine Guenièvre, l'épouse du roi Arthur dans Le Chevalier à la Charrette (1186) de Chrétien de Troyes et Le Roman de la Rose (18éme siècle) de Guillaume de Lorris, qui est une œuvre allégorique sur l'art d'aimer, s’inscrivent dans cette tradition. Le 16éme siècle : L'Humanisme : Le mot Humanisme vient du latin humanitas qui désigne « l'ensemble des qualités intellectuelles, morales

fortes (fidélité). Ce personnage est un modèle sociale dans une société hiérarchisée du 17eme siècle. -Pierre Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses (1782) Cette extrait fait appel à un courant de penser né au 17eme siècle qui est le libertinage. Il parle aussi de la marquise de Merteuil qui est jalouse, et tant le tous pour le tous afin de récupérer son mari Gercourt. Cette femme rejette toute forme de moral de la part du vicomte de Valmont. Elle est aussi une femme hypocrite mais courageuse

Fontaine, Fables, 1668 La Bruyère, Caractères, 1688 Une Corneille perchée sur la Racine de La Bruyère boit l'eau(Boileau) de La Fontaine Molière. 3. Préciosité / libertinage Mme de Lafayette, La princesse de Montpensier, 1662 Molière, Don Juan, 1665 Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac, 1897 Nicolas Vauquelin C. 18ème siècle 1. Libertinage de mœurs Claude Crébillon, Les lettres de la marquise de M au comte de R, 1732 Choderlos de Laclos, Les Liaisons Dangereuses, 1782 Marquis de Sade, La philosophie

Les liaisons dangereuses est un roman épistolaire écrit par Choderlos de Laclos en 1782. Cet auteur connu pour être un écrivain à scandales inscrit son roman dans l’idéologie des Lumières. Les liaisons dangereuses est ancré dans la tradition du libertinage des mœurs et défend l’émancipation de la femme à travers plusieurs personnages dont Madame de Merteuil. Comment Madame de Montreuil, par cette lettre, incarne-t-elle la révolte des femmes contre la société ? Pour répondre à cette question nous

même autorité : La revendication sociale, psychologique et philosophique dont témoigne la poétique de Laclos.Puisque les personnages semblent jouer un rôle que leurs classes,réputation leurs ont assignés sur cette grande scène qu'est la société du 18ème ; Valmont est-il le meilleur comédien,capable d'incarner à la perfection différents rôles, est-il le metteur en scène comme le souligne René Pomeau ou une simple marionnette que son orgueil et sa prétention occulte ? Afin donc d'expliciter

comédie, l’intrigue est au centre. Les auteurs, au travers de leurs pièces, nous permettent d’observer les marques de l’amour dans les divers milieux sociaux qui caractérisent le 18ème siècle. Il faut noter le caractère de l’amour dans la comédie avec le style  « coup de foudre ». On y trouve un amour naturel, par contre au 18ème siècle, l’amour est codifie par la société.Il y a une distance entre maitres et serviteurs, une distance impossible  à franchir, surtout dans le domaine de l’amour et du mariage