Libertinage Extreme Perversion Liberté

roman…………………………………………........ 21 B) Brassage de l’oral et de l’écrit……………………………………......... 27 C) Expression polyphonique…………………………………………........ 51 Conclusion ………………………………………………………………… 55 Chapitre 2) : Le désordre suggestif du récit………………………………….. 57 A) Liberté romanesque…………………………………………………..... 65 B) Envahissement idéologique………………………………………........ 69 C) Appropriation de la langue……………………………………………… 92 vii Conclusion………………………………………………………………….. 118 DEUXIEME PARTIE : Écriture et Pouvoir………………………………

guerre aux vertus reconnues grâce à la paix : le temps de la paix est celui de l’énergie, de la création, de la justice qui sait reconnaître les « vertus » (v. 10) et les « mérites » (v. 11). Le temps de la guerre apparaît alors comme celui des perversions, des lâchetés, des injustices, d’une perte de maîtrise qui expose « jusqu’aux derniers hasards » (v. 9) et n’est nullement le temps de l’héroïsme. Les vertus sont tout entières du côté de la paix. Dans la quatrième strophe si justement célèbre,

du texte comporte aussi une série de mots rendant compte de l’opinion de l’auteur : - la honte - des hommes assez aveugles ou assez impudents - la plus funeste démarche - mauvais citoyens - les ennemis de toute liberté Par ce vocabulaire, l’écrivain ne fait pas de concession. Pas la moindre excuse ne leur est accordée. • Quand il va présenter les conséquences d’un tel comportement, il continue à ne pas mécher ses mots. Ces persécutions vont priver la France

char du vainqueur défilait dans les villes en fête, où l’ennemi était jeté aux bêtes devant le peuple assemblé, devant des crimes si candides, la conscience pouvait être ferme, et le jugement clair. Mais les camps d’esclaves sous la bannière de la liberté, les massacres justifiés par l’amour de l’homme ou le goût de la surhumanité, désemparent, en un sens, le jugement. Le jour où le crime se pare des dépouilles de l’innocence, par un curieux renversement qui est propre à notre temps, c’est l’innocence

législateur ne peut pas pousser les mœurs. En revanche, il est parfois obligé de suivre les mœurs. On constate que souvent l’intervention du législateur a un but restrictif. Par exemple, pour la loi de 1975, le législateur voulait canaliser la liberté qui s’exerçait malgré lui. * L’existence de deux types de conflits au sein de la famille Le premier type : le conflit entre le foyer familial restreint (le mari, la femme et l’enfant), et un groupe plus vaste, la grande famille, la famille

sur l’origine des passions humaines et la question de la responsabilité. Les discours tragiques, selon les modes d’appréhension, mettent en scène le conflit passion/raison, qui permet d’orienter la réflexion sur la question de la volonté et de la liberté par rapport au développement de la passion, qui intègre le suicide et donc la mort à un moment de son évolution. Le fatalisme antique se transforme, atténué par un sens chrétien de la grâce divine. Les tragédies chrétiennes de la faute humaine et

son linge p 77 on prend K pour un peintre en batiment - des mœurs corrompues : débauche sexuelle p 261 K relève « justice où l’on ne trouve guère que des coureurs de jupon. - les contradictions de la justice : le surveillant laisse K en liberté ; les gardiens voulaient le mener en prison; procédures de l’instruction secrètes mais l’arrestation est faite devant témoins.(p 39-40) ; K dirige le procès au lieu du juge devant l’assemblée. Mélange de gentillesse et d’agressivité selon les représentants

l'esprit philosophique et des conquêtes de la raison. Dans tous les domaines, en effet, qu'il s'agisse de la monarchie absolue, des dogmes religieux, de la morale sociale. des sciences et de la littérature, les philosophes des Lumières vont faire de la liberté « éclairante » et « rayonnante » le mot d'ordre et le principe de leur réflexion et de leur action. la fin du règne de Louis XIV (1700 – 1715 ) Cette époque est marquée par les intempéries terribles du mini-âge glaciaire. La famine fait rage

que projettent les écrans africains, ces comportements révèlent en tout cas la désinvolture des personnages plutôt attachés à donner libre cours à leurs désirs. Beuveries, adultère, prostitution et pornographie seront donc les marques de ce libertinage qui se manifeste aussi dans le cinéma occidental. Les chapitres quatre et cinq se focaliseront principalement sur les phénomènes d’identification, de transmutation et de dépersonnalisation des différents personnages 1 http://sociocritique

les deux est de nature à souligner à quel point l'Inquisition fait peu de cas de la vie humaine, au profit d'un cérémonial impressionnant. Relève également du détournement la manière d'insister sur les commodités des cachots (" appartements d'une extrême fraîcheur ", " on n'était jamais incommodé du soleil ", 1,10), ce qui permet de reléguer au second plan, en apparence, leur nature réelle. Enfin, l'ironie passe par l'effet de rupture des lignes 24-25 Sur un ton très détaché, et comme en passant