Libertinage Religieux

imaginaire, atteint d’une grosse toux. 2. Résumé Dom Juan a épousé Done Elvire après l’avoir enlevée d’un couvent. Il lui est cependant infidèle et vit ses passions sans remords. Ainsi il abandonna Done Elvire en invoquant de faux scrupules religieux. Lors de son voyage, Dom Juan fut sauvé avec son valet Sganarelle par Pierrot, un paysan fiancé à Charlotte, également paysanne. Dom Juan n’hésita pas à séduire Charlotte, puis se confronta Pierrot pour ensuite charmer Charlotte et Mathurine au

Le Libertinage I. La revendication du plaisir:   1) Le libertin: un séducteur Le mot "libertin" vient du latin "libertinus" qui signifie à la fois "affranchie" et "esclave libéré". Le mot « libertin » a plusieurs significations : il qualifie un libre penseur dédaignant toutes autorités religieuses et rejetant toutes contraintes morales. On parle aussi de libertin pour désigner quelqu'un qui mène une vie dissolue mais raffinée. Dom Juan est le plus célèbre des libertins, c’est un très

de DJ : -> On a du vocabulaire religieux « Qui ne croit ni Ciel, ni Enfer » L9-10 -> On a du vocabulaire animaliers « pourceau » L11 --> Ce qui caractérise surtout DJ, c’est sa débauche, c’est un personnage immoral « Un mariage ne lui coûte rien à contracter ; il ne se sert point d’autre pièges pour attraper les belles, et c’est un épouseur à toutes mains » L16-19 Son comportement en société -Il ne respect pas le mariage religieux, il considère les femmes comme

(scène 2, l. 128-135). Le libertinage au cœur de l’intrigue Dom Juan est un jouisseur et un libre-penseur. En vous intéressant notamment à la scène 2 du premier acte, relevez les éléments qui mettent en évidence d’une part son libertinage amoureux et de l’autre son libertinage intellectuel. La première longue réplique de Dom Juan dans la scène 2 (l. 40-77) est un plaidoyer en faveur de l’inconstance amoureuse et du libertinage amoureux, fondé sur le plaisir. Le libertinage intellectuel apparaît, en

L'argument qui tue : « Dom Juan est un impie qui défi Dieu » La pièce de Molière est à l'origine d'un énorme scandale. Écrite juste après Tartuffe, où Molière fustigeait l'hypocrisie de certains dévots, elle semble aux yeux des religieux de l'époque une apologie du libertinage. Molière qualifie d'ailleurs son héros de « grand seigneur méchant homme ». Personnage complexe et révolté, il affiche une luxure débridée. A la fin de la pièce, dans un ultime défi, Dom Juan refuse de se repentir et subit le

qu’il est, et non tel qu’il devrait être. Or il est corps et esprit, passions et raison, sensualité et méditation. 3. Le libertinage est l’amour entre amants, époux, ou parents et enfants, les plaisirs et la vie privée, la jouissance éprouvée devant l’art ou la nature acqui-rent une dignité nouvelle.* 4. Le peinture se détourne des grands sujets mythologiques et religieux pour montrer les personnage les plus humble, saisis dans leurs activités communes. Ce sont les classes moyennes qui s’intéresse

dans cette euphemism du libertinage que Don Juan ne cherche pas à s’amender, pas plus qu’à se réformer.Dans la phrase suivante le terme «capable renvoie au monde du théâtre et rappelle des faux témoins.Devant les menaces de la societe, don Juan se place sous la protection des hpocrites L’égocentrisme de Don Juan explose quand il dit «tout ce que je voudrai, «que de moi», qui touche à la mégalomanie. Ce qui nous renvoie un sentiment de puissance.Le champs lexical du religieux avec « des intérêts du

Commentaire Comparé : Séquence Théâtre Molière est un dramaturge classique. Il écrit Dom Juan en 1665, une comédie en cinq actes. Celle-ci porte sur le libertinage d'un noble, Dom Juan, et plus généralement sur le thème de l'opposition entre la noblesse dominante qui possède tous les droits, et la roture encore impuissante et soumise du 17éme siècle. On se situe à l'acte I scène 2, après que Dom Juan ait fait sa grande tirade de l'inconstance, son valet essaie tant bien que mal de critiquer

I Intro : Introduction : - Dom Juan, 1665, au terme d'une période difficile marqué par les attaques du partie des Dévots et l'interdiction de Tartuffe (1664) : pièce qui s'attache à un phénomène social et culturel du XVII ème siècle : le libertinage - scène d'ouverture : * traditionnelle : délivre des informations ,personnalité du maitre « mise en « appétit » * originale : car ces informations sont présentées par des personnages secondaires et se mêlent à une digression en apparence inutile

CLASSIQUE BAROQUE Régulier Sobre Statique Dépouillé Rectiligne Modéré Prévisible Convenable Raisonné Intellectuel Invraisemblable Réservé Symétrique Mesuré Froid Limité Homogène Universel Simple 1 personnage Peu de décor Position peu naturelle Religieux Irrégulier Bariolé Dynamique Orné Biscornu Excessif Surprenant Choquant Fantaisiste Émotionnel Vraisemblable Expansif Asymétrique Exubérant Pathétique Illimité Hétérogène Pas simple Végétal Chargé B. Baroque et Classicisme dans les arts plastiques :