Liberté De Penser Kant

pas même de cultiver la science. - Boutroux * Plan du site - Flux RSS - BlueBiz * Renoncer à sa liberté c'est renoncer à sa qualité d'homme, aux droits de l'humanité, même à ses devoirs. Il n'y a nul dédommagement possibles pour quiconque renonce à tout. Une telle renonciation est incompatible avec la nature de l'homme, et c'est ôter toute moralité à ses actions que d'ôter cette liberté à sa volonté. - Rousseau Les degrés du croire sont les suivants au plus bas, croire par peur ou par désir

si la vérité n’existe pas, le fait de sa non-existence est vrai, et s’il est quelque chose de vrai, la vérité est » Thomas d’Aquin, Somme de Théologie, partie I, question II, article1.3 Dans l’entre-deux guerres, Alain écrivait : « Penser le mal, c’est penser mal » , formule doublement paradoxale puisqu’elle émane de quelqu’un qui s’employa à dénoncer la guerre et à prôner le pacifisme, et qu’elle paraît en outre comporter une contradiction logique : comment dénoncer une faute, un défaut de la

cours des générations. De plus, selon la théorie de Kant, dans un homme, il y a deux hommes, et dans un moi, il y a deux moi : l’un est phénoménal et l’autre est substantiel. Le premier moi et le réel ne se connaissent qu’en pensant sous la forme des principes rationnels. Il se doit de prendre conscience de sa propre personne, de même que pour la causalité. De ce fait, il se transforme. Le second moi, étant réel (nouménal primitif), se doit de penser sous la forme du temps et de concepts de cause. En

existe une limite à son autorité, au-delà de laquelle il ne peut légitimement ni intervenir ni légiférer. On peut en effet penser que l'État a tous les droits parce qu'il en est l'origine et la caution, même s'il décide ensuite d'en transférer une partie à ceux qu'il gouverne, ou de répartir son pouvoir entre différentes instances pour en prévenir l'abus. Mais on peut aussi penser que les individus sont la véritable source du droit. L'État n'a donc pas tous les droits, car il existe une autre source

dire qu’il peut ne pas être moral ? Le devoir selon Kant englobe l’impératif catégorique et l’impératif hypothétique. Il énonce une maxime d’impératif catégorique :  « Agis de telle sorte que la maxime de ton action puisse être erigée en loi universelle de la nature. » , ainsi que « traite ta personne comme celle de tout autre : jamais seulement comme un moyen, mais toujours comme une fin en soi » au sujet du respect de la personne. En effet, Kant montre que l’action morale ne vise pas à me rendre

théorie de la mimesis - Hegel : le beau est une création de l'esprit - De Vinci : la peinture doit imiter la nature - Kant : le jugement esthétique a une portée universelle - Bergson : L’Art est révélateur / l’artiste voit mieux que nous “la multiple splendeur du monde” (Han Suyin) - Albert Camus: servir ceux qui subissent l'histoire : assigne à l'artiste une mission morale - Kant : La nature inspire le génie “Génos” = né ainsi - Nietzsche: le génis s’acquiert par le travail et l’effort et les deux

humaine. Si on se fie au sens commun, on peut alors penser que le bonheur consiste à assouvir tout ses besoins et désirs. Le bonheur est ce qui nous comble. Si nous acceptons une telle définition, n’allons-nous pas être condamné à ne jamais être heureux ? En effet, la satisfaction de certains désirs sont impossible, certaines raisons y font obstacle. Depuis longtemps l'Homme veut le bonheur, mais qu'est-ce que le bonheur réellement ? Pour Kant le bonheur c'est le pouvoir, la richesse, la considération

la liberté - : La Liberté 13 novembre 2011 1 la liberté - : Sommaire I. MISE II.LE EN PLACE DU DU PROBLÈME : QU 'EST CE QUI ME FA I T AGIR ? .5 SENS DÉTERMINISME ....................................................................7 A - S e n s d u m o t d é t e r m i n i s m e ............................................................7 B - S p i n o z a : l ' i l l u s i o n d u l i b r e – a r b i t r e .................................

échangent, évoluent. Le groupe animal est statique alors que la société humaine est dynamique. Quelles sont donc les conséquences de cette vie sociale chez l’homme ? Sommaire ← Aristote: « L’homme est par nature un animal politique » ← Kant: « L’insociable sociabilité humaine » ← Rousseau: « Le premier qui, ayant enclos un terrain, s’avisa de dire : « Ceci est à moi », et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. ← Rousseau: «

singulières -> Liberté de penser ->; réflexion logique , coérante, continue, argumentée Etudier les thèses des auteurs : paradoxe ? But : -> remise en question -> pas de vérité fondamentale -> donner à penser -> permettre d'ouvrir le "champ des possibles" -> poser ensuite une thèse Kant : " Il faut oser penser " a priori -> penser par soit même : simple => difficile de se remettre en question -> insécurité d'avoir du recul du aux préjugés (confort) penser : renoncer au confort