Liberté Freud Déterminisme

KARL POIRIER L'être humain  340-102-MQ, gr. 00012  LA CONSCIENCE Sartre & Freud Travail présenté à M. JEAN LARIVIÈRE Département de Philosophie Cégep Limoilou Le 16 mai 2014 La conscience Depuis nombre années, les philosophes se succèdent et leurs hypothèses aussi cela va de soi. Leurs pensées sont souvent dirigées par les recherches des philosophes qui les précédaient, leur époque et les problèmes qui régnaient à cette époque. Parmi ces philosophes, des différences d’opinions sont observables

des mécanismes inconscients qui peuvent nous priver de notre liberté de choix et d’action n’est pas le plus efficace des remèdes contre la fatalité qui nous menacerait. L’une des raisons les plus immédiates qui peut conduire à associer la théorie freudienne de l’inconscient psychique et l’idée de fatalité est évidemment la place spectaculaire qu’y occupe la figure légendaire du héros tragique Œdipe. On sait l’importance qu’accorde Freud au “complexe d’Œdipe”, qu’il définit comme ”le complexe central

comparaison et étude de leurs interactions 2. L'action de l'inconscient introduit-elle une quelconque fatalité dans la vie humaine? Comment? 3. Pouvons-nous nous en prémunir ou nous en débarrasser? Depuis le travail accompli surtout par Sigmund Freud, l’homme fait de plus en plus appel à la notion d’inconscient pour expliquer des pathologies auxquelles on ne trouve pas de causes que l’on pourrait qualifier de « classiques », au niveau du corps ou de l’esprit conscient. Mais l’utilisation de la

responsable de ses actes. Transition : La conséquence sur le plan de la justice : absence de circonstances atténuantes II – La liberté n'est elle pas qu'une illusion* ? *Est ce que je fais toujours ce que je veux ? La question du déterminisme naturel : SPINOZA Social et culturel → FREUD Le déterminisme naturel ne limite t il pas ma liberté ? → SPINOZA = « L'homme n'est pas un empire dans un empire »

présentent des points de vues différents sur un mystère de l’homme. Selon Freud, l’inconscient est défini par la partie psychique qui permet le refoulement du désir. Cependant, est-ce que l’inconscient humain défini par Freud est universel? Depuis un très jeune âge, Sigmund Freud est destiné à devenir un grand homme selon ses parents qui le favorise parmi ses frères et soeurs. Sa conception psychanalytique part d’un déterminisme psychique qui implique une notion de résistance psychique soit l’inconscient

pensons pas tout le temps, donc nous n’en avons pas tout le temps conscience. En théorie, je peux douter de tout, même de l’existence du monde extérieur. Exemple : Élisabeth est tombée amoureuse de son grand frère. C’est un désir inavouable pour Freud. Le refoulement est une sorte d’oubli volontaire. Il consiste à oublier un désir du champ de sa conscience, et nous libère dans un premier temps du conflit intérieur. L’inconscient est le résultat du refoulement. Une analogie est une image qui permet

Le sujet dans ses fondements et ses limites Notion en jeu : - le sujet - la conscience - la liberté - l'inconscient Analyse de la notion de sujet et introduction du problème Être un sujet, c'est « dire Je ». « Dire on », c'est se soustraire à la responsabilité de « dire Je ». C'est se mettre à l’abri car cela permet de se cacher derrière une foule indéterminée, anonyme, de sorte qu'en disant on, le sujet n'est pas lui-même et même n'est plus personne. Personne

La liberté n'est-elle qu'une illusion   ? Présupposé du sujet   : la liberté serait une illusion. On se demande s'il n'y aurait pas une liberté réelle. Introduction   : Nous avons tendance à penser qu'il existe une réelle liberté. On parle bien d'une liberté d'expression, d'association ou de la liberté d'entreprendre. Ces exemples témoignent de libertés concrètes, structurées par le droit : il s'agit ici d'autorisations légales qui nous donnent le droit de faire certaines choses.

L'INCONSCIENT NOTIONS CONNEXES : LA CONSCIENCE, LE DESIR, LA LIBERTE. En un premier sens, l'inconscient peut se définir de façon négative comme ce qui n'est pas conscient ou comme ce qui est non-conscient. Les mécanismes du corps, les fonctions biologiques, les mouvements habituels sont des processus inconscients ou non-conscients, c'est-à-dire dont nous n'avons pas conscience au moment où ils s'effectuent. On ajoutera à cela les intermittences de la conscience comme l'évanouissement

débats, le déterminisme et la notion de liberté. Tout au long de ce texte philosophique, je tenterai de répondre à cette importante question : l’homme est-il maitre de ses pensées et de ses actions? En premier lieu, je conceptualiserai et argumenterai en fonction de la thèse principale à laquelle j’adhère se rattachant surtout au déterminisme biologique d’Henri Laborit. Ensuite, je viendrai confronter le déterminisme à l’aide des arguments véhiculés par les partisans du concept de liberté. Pour finir