Liberté Freud Déterminisme

radicale : il s’agit de défendre l’idée que l’homme est d’une autre nature que la nature. C’est un être à part : il y aurait des « propres de l’homme » qui attesteraient de l’étrangeté radicale de l’homme dans la nature. Seul l’homme par son esprit (liberté et raison) accéderait à un mode d’être transcendant la vie biologique. La rupture ontique désigne la différence de nature qu’il y aurait entre l’homme d’un côté et tous les autres vivant d’un côté. C’est l’idée d’une discontinuité entre l’homme

serait absolue, universelle, abstraite, sans considération pour l'individualité, c'est à dire juste pour tous les individus. On voit mal cependant comment la pure raison pourrait être un moteur à l'action. L'homme n'est que passion. Pour Freud, au contraire « notre conscience, loin d'être le juge implacable dont parlent les moralistes, est par son origine, de l'angoisse sociale et rien de plus » Les hommes ne seraient que des être de passions régis par leurs désirs inconscients. La moralité

pas la richesse de la nature elle-même ? Les monstres effrayants →La liberté de l’imagination Les monstres témoignent d’une richesse de l’imagination par leur nombre, par leur forme, leur apparence. Doit on considérer que ses produits de l’imagination sont formé à partir de la réalité ou devons nous considérer que l’imagination est créatrice ? Les personnages extraordinaires de nos rêves sont des procédés inconscients. Freud parle peu des monstres car ils ne sont pas une catégorie à part car grâce

dans le but d'agir de la manière la plus appropriée. inconscient : Ce terme désigne l'ensemble des processus psychiques qui échappent à la conscience. L'inconscient désigne l'ensemble des processus psychiques qui échappent à la conscience. Chez Freud, l'inconscient est fait de tous les contenus psychiques, c'est-à-dire des pulsions, des désirs ou encore des souvenirs qui sont refoulés hors de la conscience mais qui demeurent cependant actifs. En d'autres termes, selon la psychanalyse freudienne

une métaphysique naïve faisant de l’image mentale une chose, une chose amoindrie, une quasi-chose. Imaginer n’est pas quelque chose d’aussi simple que d’ « avoir des images. » Il voit en elle un signe de liberté [T6-p.503]. Elle est capable de tous les possibles et permet d’échapper au déterminisme naturel [A.2]. Par l’imagination l’homme se dégage de l’ « en-soi. » L’imagination, c’est du « pour-soi » à l’état pur. Il y a donc une valeur positive de la fonction ‘imageante’. Sans elle, l’homme serait

l'expression d'un manque (tension) visant un but (la satisfaction) au moyen d'un objet. Il s'agit d'une sorte de pulsion.Le désir est illimité et propre à chacun. Il faut le distinguer du besoin, qui lui est déterminé par la nécessité et qui obéit au déterminisme du corps cherchant à se maintenir en vie (le besoin est vital). Le désir, quant à lui, implique la conscience.Cruel constat d'une privation: nous désirons ce qui nous manque (état d'insatisfaction).Il est contradictoire car il veut et ne veut pas

rhétorique latine. Épictète (v. 55-v. 135), philosophe grec, une des principales figures du stoïcisme de l’époque impériale. L’enseignement d’Epictète a marqué le développement du stoïcisme en posant les fondements de sa doctrine morale sur la liberté et l’humanisme. Marc Aurèle, de son vrai nom, en latin, Marcus Aurelius Antoninus (121-180), empereur romain (161-180) et philosophe stoïcien. Sextus Empiricus (IIe-IIIe siècle), philosophe et médecin grec. Plotin (205-270 apr. J.-C.), philosophe

...2 • 2. Un climat brûlant en France......................................................................................3 • 3. Aux origines de la pensée philosophico-politique de Marcuse: tentatives de synthèse entre les maîtres Hegel, Marx et Freud..........................................................8 • 4. Pars destruens: l'individu est asservi, les désirs sont refoulées: la société unidimensionelle.........................................................................................

la liberté. Le monde de la nature est tout ce qui s’impose à nous par la nature (les instincts, les passions, tous les déterminismes) Le monde de la liberté représente le fait que l’on peut se détacher de tous ces déterminismes. La dignité de l’Homme selon Kant est sa possibilité à quitter le monde de la nature pour se libérer. Le concept de droit permet à chaque individu de quitter la nature pour la liberté, de s’arracher à ces déterminismes, de se donner une Loi morale, fonder une liberté individuelle

magique et délicieux de réfléchir une image de l’homme deux fois plus grande que Nature ». Le regard masculin réduit donc la femme aux deux mythes dont nous avons parlé : Madone ou Prostituée, elle se situe soit dans le Bien, soit dans le Mal. Freud avait analysé cette attitude répandue au XIXème siècle comme d’un « mal culturel », nécessaire à l’époque. L’homme juge la femme selon ses actes ou son apparence, ne lui laissant aucune chance de justifier ses actes. Elle ne peut être que pure ou coupable