Liberté Freud Déterminisme

d'echapper  aux nombreuses responsabilités qui lui appartiennent. Il refuse d'assumer une liberté qui l'angoisse. Mais l'homme est pourtant condamné à être libre selon Sartre. Le moi s'identifie non pas à la conscience mais à l'inconscient en cherchant à determiner mes choix. Autrement dit, c'est l'inconscient qui cherche à determiner nos choix tout en nous rendant responsable de ceux-ci.   Pour Sartre et Alain, ce que Freud nomme "censure", pour eux il s'agit de  "mauvaise foi". Malgré cette mauvaise foi

interprétation, expérience et démonstration) la Politique (société, justice et droit) ou la morale (liberté, devoir et bonheur) permettra à l’élève de comprendre la portée philosophique des textes pour mieux les traiter. Par exemple, les notions telles que la culture comprenant l'art et la technique ainsi que les échanges, la vérité comprenant la raison et la croyance ainsi que l'expérience, la liberté comprenant la justice et la loi ainsi que le bonheur font appel aux repères qui suivent : Absolu

Mais il désigne également le corps humain dont les propriétés physique font l'objet d'étude. Il peut de même être un espace occupé par la pensée de chacun. Il se peut que le corps soit un instrument pour la liberté, mais de quel liberté parle-t-on ? Que l’on accepte la conception de la liberté comme libre-arbitre que l’on trouve chez Descartes ou celle des stoïciens comme acceptation de la nécessité, on doit, si la définition est bonne, retrouver et chez Descartes et chez les stoïciens, les mêmes

lui-même, parce qu'il est un être inachevé qui ne sait rien de son avenir, qu'il s'intéresse à son passé. Par l'histoire, l'homme construit et maintient son identité dans le temps. Chaque individu est donc le résultat à la fois du déterminisme social et du déterminisme psychique qui influencent sa vie, et forgent son identité. Le passé s'introduit dans notre présent et notre avenir pour défénir une partie de ce que nous sommes, et de ce que nous devenons. Mais le passé aide t-il et apprend t-il vraiment

négativité et de manque ? Spinoza va tout au contraire considérer le désir comme producteur de valeur, ce que Deleuze reprendra, en soulignant le caractère ingénieux et industrieux du désir. La psychanalyse ouvrira aussi de nouvelles perspectives et Freud en articulant désir et interdit, figure le désir comme producteur de fantasmes. Le désir désire moins l’objet de son désir que le fantasme inconscient de celui-ci. En fait le désir n’est-il pas au fond, que désir de désir ? Nous verrons comment pour

cognitive : elle rassemble savoirs et savoir-faire, - synthèse personnelle : elle unifie tous ces états et les rapporte au Moi. - Dire que l’homme est une conscience ou un sujet ou un existant, c’est dire qu’il échappe en partie au déterminisme du biologique ou du monde matériel, qu’il ne se réduit pas à sa dimension d’animalité. C’est parler de ce qui caractérise l’homme, de ce qui fait sa grandeur. (Cf. texte de Bergson) - La conscience, c’est la connaissance ( spontanée ou

contrainte constituant une faculté innée pour chacun de nous. Dans son texte, l’auteur va au-delà de la critique du traditionnel dogme de la volonté cher à de nombreux philosophes depuis l’Antiquité. On retrouve la remise en cause de l’idée même de liberté, l’illusion d’être maître de ses choix et l’impossibilité d’échapper à sa finitude mais la fatalité chère à Nietzsche est ici doublée d’un certain cynisme selon lequel la notion même de libre-arbitre aurait été créée pour endiguer encore davantage

Acte spécifique de l’humanité = la pensée, recul entre soi et soi-mm, nous dégage de tte immédiateté, impossible prégnance du corps, interdit l’inconscience, distingue hme/nature - Double existence de l’hme : matérielle, phénoménale (facticité, déterminisme physique) Nouménale : pour soi (Hegel)= réflexivité, être doté d’esprit, capacité d’introduire entre lui et tte autre chose la pensée (Pascal) ➢ Analyse du pouvoir de dire JE (Kant) - représentation de l’hme à lui-mm (dématérialisation

Autrement dit si nous ne sommes pas libres de former nos désirs ou nos impulsions inconscientes, ne nous appartient-il pas en revanche de les réaliser dans l’action ? Par ailleurs, l’inconscient dont nous subissons l’emprise, est-il une forme de déterminisme ou bien le produit d’un refoulement que la conscience provoque en jugeant les faits inacceptables ? Si tel est le cas n’est-elle pas responsable de se laisser déterminer par ce qu’elle a choisi de refouler ? Si l’homme semble être responsable

identité. Or je peux modifier mes pensées et me concevoir, je peux agir sur moi. Il en résulte d’emblée que l’Homme sujet dispose d’un libre arbitre, d’une volonté propre, qu’il peut exercer. je peux donc faire autre chose que d’obéir à des déterminismes instinctifs, naturels à l’instar de l’animal. J’ai la capacité d’évaluer avec raison une situation, et d’après l’identité morale que je me suis conférée, de prendre consciemment une décision en en mesurant les conséquences . J’ai la possibilité