Liberté Intérieure

folie actuelle des nations qui ne pensent qu’à produire le plus possible et à s’enrichir le plus possible ? Votre tâche serait de leur présenter l’addition négative : quelles énormes sommes de valeur intérieure sont gaspillées pour une fin aussi extérieure ! Mais qu’est devenue votre valeur intérieure si vous ne savez plus ce que c’est que respirer librement ? si vous n’avez même pas un minimum de maîtrise de vous-même ?” Nietzsche. .Aurores (1881), Livre III, § 173 et § 206, trad. J. Hervier,

humaine, la plus évoluée des espèces vivantes. L’homme est un être « doué de raison » (/homo sapiens/) qui vit en société. * _Liberté : _Avant tout, la liberté désigne l’absence de toute contrainte étrangère et extérieure. A l’origine : libre condition de l’homme qui n’est pas esclave, qui dispose de sa personne et participe à la vie de la cité. La liberté est un statut, une condition sociale et politique, puis elle devient une caractéristique individuelle et morale. Est libre un homme indépendant et

par Arrien. Pensée stoïcienneAtteindre le bonheur par une ascèse fondée sur la connaissance. Etre philosophe, c’est méditer pour nous transformer et nous aider à réaliser le bien. Quant au destin, il ne pose pas le problème de la liberté (pour les anciens, la liberté est d’abord un statut socio-politique). Pour les stoïciens, seul le sage est libre car il n’est pas prisonnier du désir, de la peur. Les autres, les « pas grand-chose », ne sont pas libres, néanmoins ils sont responsables (c’est nous

La Liberté. Introduction. - Dans l’Antiquité: conception de l’homme libre par opposition à l’esclave. Contexte influencé par la réalité historique. Homme libre: pas de domination physique d’un maître. Pour le stoïcisme: celui qui s’affranchit, en privilégiant une liberté spirituelle dans laquelle le corps et son traitement sont choses étrangères. - Désormais: liberté = libre arbitre (pouvoir de choisir) ou capacité d’agir en connaissance de cause (obéissance consentit à une loi). - La liberté

les uns des autres, nous dispensant ainsi de nous decider et de choisir, la conscience que nous en avons diminue et disparaît. Quel sont d’autre part les moments où notre conscience atteient le plus de vivacité?Ne sont-ce pas les moments de crise intérieure, où nous hésitons entre deux ou plusieurs parties à prendre, où nous sentons que notre avenir sera ce que nous l’aurons fait? Les variations d’intensité de notre conscience semblent donc bien correspondre à la somme plus ou moins considerable de

d’un homme  et affirme sa liberté morale ; - La clarté de ses réponses le montre : « Non, monsieur », « J’y tiens fort peu », « Je le crois » ; - Elle montre que le colonel n’y peut rien sur sa volonté : « sur ma volonté (…) vous ne pouvez rien », « vous n’êtes pas moralement mon maître », « parce que telle est mon intention ». _ Le retournement de situation : l’affirmation de la liberté intérieure : elle montre à son mari qu’elle conserve toute sa liberté intérieure : - Elle se voit contrainte

| | |I ) La liberté extérieure. Sommes-nous aussi privés de liberté qu’on le dit ? | | | |    A ) En quoi notre liberté est-elle limitée ? | |

contradictions dans lesquelles tombe la raison pure (= coupée de l'expérience) quand elle cherche à trancher certains problèmes métaphysiques (le monde a-t-il/n'a-t-il pas commencé ? Y a-t-il/n'y a-t-il pas dans le monde des événements produits par liberté ?, etc.). Remarquons, pour finir, que Bergson n'abuse quand même pas des références aux auteurs du passé non plus que du vocabulaire technique de la philosophie (sa conférence s'adresse à des non-spécialistes, c'est de la vulgarisation). La difficulté

(Montaigne, Balzac, Freud …) -Z. est fasciné par le suicide. Il demande à sa 1ere épouse de l’accompagné ds la  mort : elle refuse. P.90 : «  La plus volontaire mort est la plus belle » Montaigne, phrase  écrite en français . C’est « la dernière liberté devant la mort. La vie dépend  de la volonté des autres, la  mort de notre propre volonté ». - Est obligé de se réfugié : devient  un « juif errant ». - Il rend visite à Freud (exilé lui aussi) et parle de l’horreur du monde hitlérien et de

dissertation très classique : “Laliberté est-elle une illusion ?” (courant pour les terminales littéraires) La liberté est-elle une illusion ? Travail préparatoire A) L’analyse des termes du sujet : 1) La liberté : Il s’agit de toujours partir de la conception spontanée, immédiate que l’on se fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun