Liberté Obstacle Bonheur

la modernité est appréhendée comme un progrès individuel, social et politique vers la raison, le bonheur, la liberté et le bien-être matériel, elle est habitée par la possibilité de la dégénération, par le spectre de son échec, par la possibilité de buter sur des obstacles imprévus. D’ailleurs, en même temps que les philosophes des Lumières allaient chanter les victoires du progrès et décrire le bonheur qui nous attendait une fois le négatif épuisé, Morel produisait le premier traité sur la dégénérescence

prônons notre liberté alors même que ceux qui osent la prendre sont montrés du doigt et critiquées. Il y a d’un côté la recherche de soi, la liberté d’être qui l’on veut être. Et d’un autre côté, nous nous ressemblons tous, nous portons les mêmes vêtements, achetés aux mêmes endroits et agissons plus ou moins de la même façon. Finalement, peu de choses nous différencient les uns des autres, nos personnalités et nos valeurs, tout au plus. Pourtant, que ce soient nos personnalités ou notre liberté, tout est

L'animal est rivé à l'immédiateté des besoins et de la vie instinctive. b) L'homme = être raisonnable, être de la transcendance. 3. Le courage de penser par soi-même ("Il n'y a point..... >fin). a) le manque de confiance en soi, premier obstacle à l'exercice de la philosophie. b) désir d'élévation de la vie intérieure: la quête du bien. "C'est proprement avoir les yeux fermés, sans tâcher jamais de les ouvrir, que de vivre sans philosopher B)

INTRODUCTION GÉNÉRALE – 18e siècle (l'époque des Lumières → prosvjetiteljstvo) l'esprit de liberté, progrès; moins de guerre, peste, famine; le mortalitet diminue les objectifs intellectuels: plus de gens apprennent à lire; l'Encyclopédie, les manuels téchniques; humanisation → humanisme → les droits le développement de commerce, colonies → la France est le pays le plus prestigieux et puissant de l'Europe profession de l'écrivain → écrire pour vivre (littérature devient industrie) la noblesse

Zadig est un conte philosophique dans lequel le héros, un jeune Babylonien en quête de bonheur, démontre au fil de ses péripéties son courage, sa liberté et sa sagesse. Durant son voyage, Zadig rencontre divers personnages, il connaîtra différents sentiments tels que le désespoir et la souffrance et devra faire face à l’injustice et à la superstition, ainsi qu’aux dangers qui peuplent son errance à travers le monde, en espérant un jour retrouver Astarté. Il cherche à mettre en avant l'injustice qu'il

une personne qui avait de la beauté et de la naissance ; mais elle lui faisait voir aussi combien il était difficile de concerver cette vertu, que par une extrème méfiance de soi-même et par un grand soin de s'attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d'une femme, qui est d'aimer son maris et d'en être aimée. » Situation : début de roman , mise en place du portrait de la jeune fille, le cadre dans lequel elle à grandit Axe 1: portrait de la jeune femme - champ lexical beauté supériorité

optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur). Nietzsche lui, la critique

la démocratie qu’est l’égalité des conditions va affecter tant les institutions politiques que les pratiques et les mœurs sociales, et ce, pour le meilleur (la liberté) ou pour le pire (l’oppression). Le défi relevé par Tocqueville consiste à déterminer à quelles conditions, dans une société, l’égalité pourrait coexister avec la liberté, c’est-à-dire à quelles conditions les hommes pourraient être à la fois libres et égaux. Tocqueville est en un sens un « pessimiste » : il ne croit pas que le développement

reprend du service dans l'Intendance et accompagne l'armée de Napoléon en Allemagne, où la petite ville de Stendal lui fournit son futur pseudonyme. La chute de Napoléon et le régime de la Restauration mettent fin à sa carrière et il retrouve sa liberté. 1810-1820 => Il s'installe à Milan où il eut une relation orageuse avec une belle Italienne, Angela Pietragrua et s'éprit de Métilde Dembowska, sans voir sa passion payée de retour. Il fait paraître « Vie de Haydn, de Mozart et de Métastase » en

LA MORALE : LA LIBERTÉ , LE DEVOIR, LE BONHEUR. | I- Le bonheur comme fondement de la morale. → Aristote constate que toute activité est finalisée, a lieu par rapport à buts. Différence hypothèse déterministe car causes motrices/finales. → Le but = un bien. Le désir = réaliser un certain nombre de buts. Parmi activités, deux grands types : praxis et poesis. Mais : lorsqu'un fabrique est-ce qu'on ne s'améliore pas ? Oui mais pr réflexion, on utilise deux aspects. → Hiérarchie entre les