Liberté Orwell 1984

Selon la définition proposée par Perec, l'utopie est un monde parfaitement ordonné, dans lequel tout est à sa place et rien ne doit être laissé au hasard. Cette vision du monde se retrouve dans de nombreux exemples de la littérature, tels que "1984" de George Orwell, où le régime totalitaire instaure un contrôle absolu de la vie privée et de la pensée des individus, ou encore "Le Meilleur des mondes" d'Aldous Huxley, où les êtres humains sont conditionnés dès leur plus jeune âge pour correspondre à des

1984 1984 est plutôt une contre-utopie, pessimiste et réaliste, une apologie de la liberté d'express° contre toutes les formes de dominat°, y compris celles des sociétés démocratiques. Partie 1 : Chapitre 1 : Par une journée d’avril froide et claire (4 avril), Winston Smith (p12)39 ans : employé du Parti Extérieur, au Ministère de la Vérité, rentre chez lui (=Londres appartenant à l’Océania). Dans Londres : affiches de Big Brother : 45 ans, moustaches et traits accentués. Dans son appartement

PERDRE SA LIBERTE ? Problématisation : - Dans la déclaration des droits de l’homme et du citoyen la résistance à l’oppression est présentée non seulement comme un droit mais également comme un devoir : lorsque notre liberté est menacée nous avons le droit et même le devoir de résister. Si donc la liberté apparaît comme un droit pour lequel les hommes sont autorisés à se battre c’est bien qu’elle nous apparaît comme quelque chose qui peut se perdre. - Que l’homme puisse perdre sa liberté, cela

Albert Camus: Révolte dans les Asturies. b) Camilio José Cela: Visperas, festividad y octava de San Camilio del año 1936 en Madrid c) Maté Zalka: Doberdo d) Pablo Neruda: Espagne au coeur e) André Malraux: L'Espoir (livre/cinéma) f) Georges Orwell: Hommage à la Catalogne (étude approfondie) g)Film de Joris Ivens et de Ernest Hemingway Terre d'Espagne. h)Georges Bernanos: Les grands cimetieres sous la lune i) Henri Cartier Bresson: L'Espagne vivra (documentaire) j) Arthur Koestler: Un testament

d’autre part, refusant de faire face aux problèmes auxquels nous sommes confrontés. Néanmoins, peut-on pour autant se permettre de tout dire, socialement et moralement ? Sur un plan idéologique, par respect pour ces valeurs de transparence et liberté d’expression, la réponse semble naturellement tendre vers le « oui ». Mais à coté de ces valeurs prônées dans notre société, il existe depuis toujours une forme de pression sociale qui empêchera chaque individu d’exprimer ses véritables ses opinions

été aussi importante. Cette révolution est source de nombreux fantasmes notamment dans la science-fiction. Certains y voient le risque du développement d'une société totalitaire s'appuyant sur la technologie numérique pour dominer le peuple (1984, Georges Orwell). D'autres y voient l'avènement possible de sociétés plus évoluées où la technologie sert à répandre le savoir et à protéger l'Homme sans l'opprimer (The Minority Report, Philip. K. Dick... Elle est également source de préjugés (isolement

Révolution Industrielle en Europe occidentale dès la fin du XVIIIème siècle. Les penseurs de l’époque, parmi lesquels Ernest Renan ou Auguste Comte, voient alors dans l’avènement de la science un chemin vers davantage de liberté. Cette connexion entre science, progrès, esprit et liberté propre aux positivistes se retrouve dans l’œuvre de Renan, qui a aussi bien écrit sur la science que sur la vie de Jésus ou la définition de la Nation. Pourtant très porté sur la religion – il a fait ses études au séminaire

industriels, scientistes, politiques. Et, la magie de la chose, c'est que cela fonctionne parfaitement bien. Le peuple adhère à la théorie officielle et n'a pas forcément les moyens, l'envie et le temps de chercher d'autres réponses. À l'époque où Orwell écrivait "1984" la radio était déjà bien installée dans les foyers, pour véhiculer la propagande souhaitée par nos dirigeants. Mais aujourd'hui, c'est encore plus facile : l'image retouchée, le faux témoignage, les larmes des victimes en « prime time », le

Quant aux Enfers, lieu des sentiments, l'architecture se caractérise par des références au mouvement romantisme. Cette contre-utopie est une critique du monde contemporain. L'essentiel de ce film se place dans la ville de Libria, ce nom vient de liberté. Elle est créée suite à une troisième guerre mondiale,éclatant au début du XXIé siècle, qui décimât une partie de la population. Une sorte de secte religieuse prends la direction de celle-ci et oblige ces habitants à prendre une dose de Prozium, cette

testés en 1976[15]. A Paris en 2009, le maire Bertrand Delanoë et son équipe acceptent le « Plan de vidéoprotection pour Paris » proposé par la Préfecture de Police, qui renforce la vidéosurveillance. Les Big Brother Awards lui remettent le prix Orwell localités 2009 pour la vidéosurveillance. [16] En Suisse [modifier] Répartition par secteur de la vidéosurveillance à Genève[réf. nécessaire] Un système de vidéosurveillance est présent dans les trains sans contrôleurs ainsi que dans les bus