Liberté Paul Eluard Figure De Style

des effets symétriques et de parallélisme qui manifestent l'opposition et l'affrontement comme le au vers 9-10 où l'auteur fait un chiasme parfaitement symétriques car les deux vers sont séparés en deux hémistiches. L'utilisation fréquente de figure de style telles que l’hyperbole, la métaphore, la comparaison et l'antithèse. Par exemple au douzième vers « Autre fureur qu'amour reluit en mon visage » l'auteur utilise l'antithèse car la fureur guerrière vient à l'encontre de la passion amoureuses :

respecter ► selon le sujet, se reporter au corpus dans son ensemble et / ou au texte qui doit servir de modèle. Bien analyser les éléments à imiter (par ex, on identifie bien tous les éléments qui caractérisent le registre du texte-modèle : lexique, figures de style, procédés d'écriture). Bien définir ce qui doit faire l'objet de transformations et bien prendre en compte tout ce qu'implique les transformations (par ex, si on vous demande de changer un registre, on réfléchit aux éléments qui permettent de

l’ironie est probablement la forme la plus plébiscitée. En écrivant le contraire de ce qu’ils pensent les écrivains parviennent à tourner au ridicule les propos de leurs adversaires. Les artistes des Lumières sont particulièrement friands de cette figure de style qui leur permet d’éviter la censure. Voltaire l’adopte d’ailleurs sans cesse dans son conte philosophique Candide. Cette ironie transparaît à plusieurs passages tels que la description du château de Thunder-ten-tronckh, si grandiose, avec sa porte

l’autre. Il y a des photos. Et reterdement avant l’entrée en un scène. II. < Nous > partie: Une interrogation sur la figure d’énigmatique de Nadja. L’histoire journal de Nadja. III. < JE (un sujet plein) et tu (la femme, la beauté, l’amour) Partie: commence par la photo de Breton. Il s’adresse à un “tu”, c’est la femme qu’il aimait, il ne veut pas dire le nom parce que c’est la figure éternale pour lui qui donne sens à toute la vie. C’est la vrai vie. Au début il y a l’interrogation de la valeur de

que leur retour alors qu'ils incarnent l'épopée, l'aventure. > la nostalgie domine/ contamine ses reprèsentations. II) Un poème entre éloge et blâme 1) La figure structurante de la comparaison - comparaison initial au débat dans quatrain 1 qui est une comparaison traditionnelle avec l'outil comme, du Bellay introduit déjà les figures mythologiques - comparaison dans Tercet 1 et 2 > avec outils de supériorité qui se développe sur 5-6 vers. Il est mit en valeur par l'anaphore. 2) La mise en

I/ la fonction première de la poésie semble être l’expression de sentiments 1°) C’est une fonction traditionnelle : poésie lyrique - figure du poète par excellence dans l’Antiquité grecque = Orphée, dont le chant calmait les bêtes sauvages et pouvait faire pleurer les plus insensibles - abondance des poèmes lyriques (on connaît surtout des poèmes lyriques : « Demain dès l’aube » de Victor Hugo, « je vis, je meurs… » de Louise Labé, « Spleen » de Baudelaire, etc.) - Variété des sentiments

l.6 à8. Cela peut sembler peu satisfaisant comme vie, verbe avec sens limitatif, adjectif connotation péjorative. Pour Rousseau le bonheur réside dans la simplicité des besoins et dans la modération des désirs. Notions importantes : autonomie et liberté. Représentation idyllique de l'état de nature, Rousseau mentionne la bonne santé des 1ers hommes. Bon sauvage : vie simple sans excès. -Dénaturation → Entrée des civilisations : malheur de l'humanité, évolutions des techniques, changement des sociétés

deviendra une constante de son œuvre. Ce travail crée ainsi un nouveau style avec des innovations phonétique du domaine du son, orthographique, mais aussi lexical. Il participera a la rédaction de plusieurs revues et journaux. Ses œuvres Roman : * Odile et chêne et chien en 1937 * Les enfants du limo en 1938 * Zazie dans le métro en 1959 Poésie : * Le recueil intitulé L’instant fatal en 1946 * Exercices de style pour lesquels il est très réputé en 1947 * Si tu t’imagines en

Jean de La Fontaine A travers un genre à part mineur et non codifié, La Fontaine (1621-1695) s’inspire, comme les autres classiques, dans ses fables, des Anciens mais aussi du folklore français et étranger. Il imite ses maîtres avec une grande liberté. Tout comme les personnages de Molière, ses personnages représentent toutes les couches sociales. En moraliste La Fontaine dépeint toute la société française de la seconde moitié du siècle. La recherche du bonheur, l’homme et le pouvoir sont les deux

une partie du réel qui n’existe que dans et par les mots qui constituent le texte : Balzac aurait appelé, Bianchon, le médecin de la Comédie humaine à son chevet, mais ce dernier n’est jamais venu ; aucun dossier au nom de Thérèse Desqueyroux ne figure dans les archives de la justice. — Le roman traditionnel, qui « raconte une histoire », ou, dans les années 1970, le « nouveau roman », qui privilégie la « manière de dire » et le « nouveau nouveau roman », pour qui le texte s’engendre à partir