Libido

Dans ce premier chapitre, Lili Boisvert va s’attaquer au rapport hétérosexuel typique. Celui-ci étant que l’homme est un chasseur et que la femme est une proie, elle va décrire cette théorie comme étant un rapport actif-passif entre les deux sexes. Elle nomme ce type de rapport « le principe du cumshot  » . Selon elle, les hommes et les femmes doivent se conformer à certaines règles de conduite stéréotypées, c’est-à-dire des comportements qui sont

culturellement et concerne la question de l’idéal. En grande parti inconscient et plonge dans le Ça. La théorie des pulsions. Description de la sexualité infantile. C- La sexualité au cœur de la vie psychique. (Sexualité infantile, concept de libido, la pulsion : poussée, but, source, objet) L’appareil psychique est traversé par des excitations qui constituent sa source énergétique. La mission de l’appareil psychique serait d’éliminer ces excitations. Il faut en distinguer plusieurs types

de la libido objectal à la libido narcissique. Ce que F repère c’est que dans la pathologie notamment psychotique, on peut observer un désinvestissement massif du monde objectal doublé d’un investissement massif du moi, cette observation clinique va l’amener à fonder le concept de narcissisme. Ellis, une proportion chez certain à trouver une jouissance génital à trouver leur propre vue dans le miroir. F va pointer à partir de là une opposition entre deux opposition de la libido. Libido objectal

nos agissements sans qu'on en ait conscience. Les 3 instances du psychisme A l'époque de Freud il y a deux tendances : Inconscient cérébral & psychologique; Le psychisme est une sorte de long tunnel, lieu des pulsions (ensemble thanatos eros libido) -le CA : pulsions inconscientes = Inconscient (satisfaction/plaisir) forces primitives dont ns avons un capital à la naissance (forces de vie) somatisation forces impersonnelles, elles sont décousues ne connaissent ni le bien ni le mal ni la

si le mal est voluptueux et qu’il est recher-ché pour cette raison, n’est-ce pas parce que la volupté elle-même est le mal ? Dans son traité Du Libre Arbitre51, saint Augustin, qui prend l’exemple de l’adultère, montre que « c’est la pas-sion (libido) qui est le mal ». 51 Texte 9, p. 172. En effet, si l’on cherche en quoi consiste le mal de la mauvaise action, on trouve : premièrement, que la mau-vaise action n’est pas telle parce que la loi l’interdit – c’est au contraire parce que l’adultère

très longtemps le pôle principal de la psychologie clinique, aujourd'hui ces deux disciplines sont bien distinctes. Actuellement, des termes comme libido n'ont plus tout à fait le même sens que leur donnait Freud. La libido est une pulsion, une énergie mais pas forcément sexuelle, c'est une recherche de plaisir. Tandis que de nos jours, on associe la libido à la sexualité. La différence majeure entre les travaux de Freud et la psychanalyse aujourd'hui se situe dans la connaissance des pathologies, elles

(1920) Freud montre que les liens unissant les membres d’un même groupe social sont de nature libidinale, la libido étant désexualisée, déviée de son but sexuel. Libido : désigne l’énergie sexuelle, la force avec laquelle se manifeste l’instinct sexuel. L’énergie sexuelle, pour Freud, ne se confond pas avec la génitalité. Il y a donc pas synonymie entre le sexuel et le génital. La libido désigne l’énergie psychique du plaisir. Les foules gardent leur unité sous l’effet d’une illusion : « c’est ainsi

autres avec lesquels il rivalisait. 3. Suggestion et libido Nous avons vu que les effets de la formation en foule, souvent nos désirés, sont éclipsés, au moins partiellement par une organisation supérieure des foules, mais on n’a pas pour autant contesté le fait fondamental de la psychologie des foules, à savoir les deux axiomes de l’exaltation des affects et de l’inhibition de la pensée dans la foule primitive. Libido est un terme emprunté à la théorie de l’affectivité. Nous désignons

[…] les autres suent dans leur cabinet pour montrer aux savants qu'ils ont résolu une question d'algèbre qu'on n'aurait pu trouver jusques ici. » Ainsi, Pascal condamne toutes les formes de concupiscence dénoncées par St Augustin : libido sentiendi, libido sciendi et libido dominandi. Pour montrer la force du divertissement, Pascal illustre sa thèse par deux exemples, celui du roi, l’homme qu’on ne cesse de divertir, et celui de l’homme en deuil qui oublie sa peine en chassant le sanglier. Mais ce

complexe. Les rêves et leur interprétation. L’analyse des rêves. Actes manqués, lapsus , actes symptomatiques. Quatrième lecon:Les complexes pathogènes. Les symptômes morbides sont liées à la sexualité. La sexualité infantil. L’auto érotisme. La libido et son évolution. Pervertion sexuelle. Le complexe d’OEdipe Cinquième lecon:Nature et signification des névroses. La fuite hors de la réalité. Le refuge dans la maladie. Relation entre les phénomènes pathologiques et diverses magnifestations de