Libreville

capitaux à travers les pays d’implantation du groupe. Elle gère des sociétés de courtage sur les trois places boursières en Afrique de l’Ouest (Accra, Lagos, Abidjan) et a obtenu un agrément pour intervenir sur la Bourse de Douala et la Bourse de Libreville en Afrique centrale. C’est en 2006 que les actions d’ETI sont introduites sur les trois places boursières en Afrique de l’Ouest. Quant à eProcess, crée en 2002, filiale spécialisée en technologie et systèmes intégrés, elle consiste en l’harmonisation

"Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple". La République gabonaise adopte le français comme langue officielle de travail. En outre, elle oeuvre pour la protection et la promotion des langues nationales. La capitale de la République est Libreville. Elle ne peut être transférée qu'en vertu d'une loi référendaire. La fête nationale est célébrée le 17 août. Article 3 La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce directement, par le référendum ou par l'élection, selon le principe

1964 et remplacée deux (2) plus tard, par l’O.C.A.M (Organisation Commune Africaine et Malgache). C’est à l’U.A.M qu’on doit la création en 1962 de l’Office Africain et Malgache de la Propriété Intellectuelle (O.A.M.P.I). Ce traité a été signé à Libreville le 13 Septembre 1962. Il est devenu 15ans plus tard l’O.A.P.I (l’organisation Africaine de la propriété intellectuelle) qui dote les Etats membres d’une administration et une législation uniques de la propriété intellectuelle. Toutefois, on peut

l’Afrique Centrale (CEMAC); Conférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement (CNUCED); Organisation Maritime Internationale (OMI); Organisation Mondiale du Commerce (OMC). Les autres ports de la sous-région CEMAC tel que le port de Libreville (Gabon),le port de pointe noire (Congo Brazzaville) et le Port de Malabo (Guinée équatoriale) qui est en cours de construction. Cette liste non exhaustive nous montre que tout intervenant dans la chaine logistique du transport maritime international

| | |Louis MAPANGOU | | | | | | |BP 1 Libreville (GABON) | | | | | | |Tél. : -

1943-1948 »Africa, 56 (4) : 417-440. Ortner, S. B.2001 « Specifying Agency : The Comaroffs and their Critics », Interventions, The International Journal of Post-Colonial Studies, 3 (1) : 76-84. Rich, J.2001 « “Leopard Men”, Slaves, and Social Conflict in Libreville (Gabon), c. 1860-1879 », The International Journal of African Historical Studies, 34 (3) : 619-638. Ricœur, P.1985 Temps et récit, t. III : Le temps raconté, Paris, Éditions du Seuil. Sanders, T.2004 « Reconsidering Witchcraft : Postcolonial Africa

à l'intention des Professeurs, pour chacune de ces classes. Enfin , des séminaires de suivi HPM ont lieu chaque année pour mettre en commun les expériences de chaque pays concernant les Programmes Harmonisés et les manuels CIAM Avril 1993 : LIBREVILLE (Gabon) Juin 1994 : N'DJAMENA (Tchad) Juin 1995 : YAOUNDE (Cameroun) Juin 1996 : ANTANANARIVO (Madagascar) Mai 1997 : DAKAR (Sénégal) Mai 1998 : NIAMEY (Niger) Mai 1999 : NOUAKCHOTT (Mauritanie) Mai 2000 :

l’Afrique du Sud, le Botswana, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Kenya, Ile Maurice, le Malawi, le Mozambique, la Namibie, le Nigeria, l’Ouganda, la Tanzanie, le Swaziland, la Zambie et le Zimbabwe. Des bourses comme celle de Douala (DSX) et de Libreville (BVMAC) étant déjà créée mais n’ayant pas encore eu de première cotation.

monetary transmission led to important differences between the countries with short and long-term. . JEL Classification : C32, E52, E58, F47, P24 Keywords: CEMAC, monetary policy, VAR models. *1Département d’économie de l’Université Omar Bongo (Libreville – Gabon). Email : mezui@univ-nancy2.fr 2 Introduction Le débat sur l’interaction entre la sphère monétaire et la sphère réelle, qui a longtemps opposé keynésiens et monétaristes2, s’est progressivement mué en clivage plus subtil depuis l’apparition

juridiction compétente dont fait allusion l’article 49 de l’AUPSRVE. La haute juridiction communautaire s’est d’ailleurs prononcée dans le même sens lorsqu’elle a été consultée le 13 janvier 1999 par le Président du Tribunal de Première Instance de Libreville sur la compétence du juge de l’urgence OHADA à connaître des cas de nullité affectant un acte de dénonciation de saisie avec assignation en validité. La Cour Commune de Justice et d’Arbitrage (CCJA), après les observations de la République du Sénégal