Lieux Réels Dans Germinal

Plassans (1874) • La Faute de l'abbé Mouret (1875) • Son Excellence Eugène Rougon (1876) • L'Assommoir (1877) • Une Page d'Amour (1878) • Nana (1880) • Pot-bouille (1882) • Au bonheur des dames (1883) • La Joie de Vivre (1884) • Germinal (1885) • L'Œuvre (1886) • La Terre (1887) • Le Rêve (1888) • La Bête humaine (1890) • L'Argent (1891) • La Débâcle (1892) • Le Docteur Pascal (1893) Les Rougon-Macquart : La fortune des Rougon, La Curée, Le ventre de Paris

particulier, la misère du prolétariat, le désespoir de l’enfance pauvre ou la vie étriquée de la province. Chaque film de cette série – qui comporte quatre vidéocassettes - fait alterner la mise en situation de l’écrivain ou d’un comédien qui l’incarne, les lieux et parfois les paysages où celui-ci vécut, des extraits de ses œuvres lus ou joués par des comédiens quand il s’agit de théâtre, [CNDP] des interviews pour les auteurs contemporains, la reconstitution historique et la présentation de manuscrits

humaine est un roman noir, sorte de thriller du XIXe siècle qui a choqué les contemporains de Zola. On ne décompte pas moins de deux viols, plusieurs meurtres, au moins un suicide, et deux catastrophes, dont beaucoup sont inspirés de faits-divers réels. On a même soutenu que cette sombre et terrible avalanche, digne du grand Guignol, a nui à Zola, dans son éventuelle élection à l'académie française. C'est aussi un roman sur l'hérédité, comme tout le cycle des Rougon-Macquart, Jacques souffrant

lecture analytique ← L.A n°1 : « Le portrait du père Grandet », Eugénie Grandet (1833), Honoré de Balzac ← L.A n°2 : «La mort de Gavroche », Les Misérables (1862), V, 1, Victor Hugo ← L.A n°3 : « La découverte du Voreux », Germinal (1885), Émile Zola, I, 3 Documents complémentaires : ← Extrait de Le Rouge et le noir, Stendhal, 1833, II, 19 ← Extrait de l'avant propos de 1842 à La Comédie humaine, Honoré de Balzac ← Extrait de William Shakespeare, Victor

L’Assommoir - Incipit Situation initiale (incipit) du roman L’Assommoir : le romancier doit tenir compte de certaines contraintes : fournir les informations et les repères nécessaires au lecteur. Mais Zola veut donner l’illusion de créer des personnages réels et faire de son roman « une tranche de vie ». Comment s’y prend-il ? Ier axe : Un incipit réaliste : - Début « in medias res » : « Gervaise avait attendu Lantier » →: les deux personnages ne sont pas présentés, comme s’ils étaient connus du lecteur

œuvres importantes de Maupassant (romans et nouvelles, à part Bel-ami). Corrigé rapide du questionnaire : I. Réalisme cherche à représenter la vie telle qu’elle est, de la manière la plus authentique possible. Procédés : référence à des lieux ou personnages réels, description des aspects de la vie généralement masqués par la littérature, travail de documentation, narrateur omniscient. Flaubert : Madame Bovary et L’Education sentimentale ; Balzac : Le Père Goriot et Illusions perdues ; Stendhal :

l'intérieur d'un wagon, un homme qui en tient un autre, et lui plante un couteau dans la gorge. Mais il ne distingue pas les visages. Il revient chez sa marraine. Misard arrive, et déclare qu'un corps est tombé du train. Les deux hommes se rendent sur les lieux. Misard part chercher de l'aide, tandis que Jacques est chargé de surveiller le corps. Flore, qui a entendu la conversation de sa chambre, survient, et retourne le cadavre : elle reconnaît Grandmorin, le président de la compagnie de chemin de fer.

les événements, d’observer les changements de décor, d’interpréter les descriptions des lieux, des choses, des paysages. C'est-à-dire de répondre à la question : qu'est-ce que cet élément de décor (inventé par l'auteur !) va apporter de plus à l'histoire, au récit ? D' établir des liens avec la suite de l'histoire, avec le sens du récit. Décrire c'est choisir On peut décrire un fait (description des lieux et des faits : un accident, par exemple), une action (description du déroulement d'une

manières de composer un roman : « Les premiers sont établis sur quelques notables circonstances de l’histoire, à laquelle on ajoute ce que l’imagination y peut trouver de plus convenable pour lui donner son étendue et ses ornements ; on change les lieux et les temps pour rendre tout plus vraisemblable »  « La vérité se trouve chargée de tant d’agréables mensonges que l’on ne peut plus la reconnaître. Elle n’est pas seulement égarée, mais elle est anéantie et le peu qui nous restait de ces vieilles

l'intérieur d'un wagon, un homme qui en tient un autre, et lui plante un couteau dans la gorge. Mais il ne distingue pas les visages. Il revient chez sa marraine. Misard arrive, et déclare qu'un corps est tombé du train. Les deux hommes se rendent sur les lieux. Misard part chercher de l'aide, tandis que Jacques est chargé de surveiller le corps. Flore, qui a entendu la conversation de sa chambre, survient, et retourne le cadavre : elle reconnaît Grandmorin, le président de la compagnie de chemin de fer.