Ligne de fuite

premier plan, le radeau et au deuxième, le paysage), c'est une structure pyramidale sur une base instable (la mer). Le regard est entraîné par la ligne ascendante qui part du cadavre en bas à gauche, dont les jambes pendent en dehors du radeau, pour aboutir au marin qui agite un linge en direction du navire salvateur. Le sens ascendant de la ligne marque une succession dans les sentiments qu’éprouvent les naufragés, du désespoir à l’espoir (même les nuages fort sombres, les couleurs et la lumière

L'info en ligne Éditorial Sahara : La 3e voie et la seule Les pourparlers informels de Manhasset sur le Sahara se sont achevés sur l’habituelle note ambiguë. A quelques semaines de la réunion du Conseil de sécurité, ils ne nous indiquent pas avec précision leur teneur, ni l’objectif atteint. Syrie Le massacre des civils continue à Homs ● Des dizaines de femmes et d’enfants à Homs été retrouvés poignardés ou égorgés dans la ville poussant à la

Gustave Flaubert, madame Bovary Question 1 : Ligne 1-15 : rêve -> la lune de miel parfaite L16-37 : réalité -> le doute et le malaise L38-40 : rêve -> l’homme rêvé L40-55 : réalité. -> Le mari et la vie d’Emma. Question 2 : Le narrateur restitue les pensées d’Emma Bovary par l’utilisation du pronom personnel « on », les verbes « songeait, semblait » et l’utilisation du passé antérieur avec « il eut fallu » Question 3 : Emma Bovary se représente la lune de miel comme un moment de douceur avec

et journalistes semblent attendre, ils ne fuient pas. Tout à fait à droite un photographe baisse la tête vers son appareil, il s’agit de David Burnett qui va prendre quelques secondes plus tard la seconde photographie. La ligne de la route forme un triangle dont le point de fuite se situe en haut dans l’axe de l’image. Cette forme triangulaire dessine une composition très classique. La présence de la fillette nue intrigue, de même que sa posture, les bras écartés du corps. La jeune Kim Phuc a été

double système de redoublement : 1)Mathurine répète Charlotte et Charlotte répète Mathurine 2)D.J. répète D.J. : à la fois le D.J. de la scène de séduction dont il redit toujours le même texte et le D.J. de la scène avec Elvire dont il reproduit la fuite. => la symétrie repose sur le comique de répétition de la même idée sous une tournure différente : « elle s'est mis dans la tête » // « vous ne lui ôterez pas cette fantaisie » ; « je gage qu'elle va vous dire que je lui ai promis de l'épouser » //

humaine Auteurs romantiques : Victor Hugo ( 1802-1885 ) Chateaubriand (1768-1863) La peinture romantique : 1) Liberté guidant le peuple => Delacroix • Les couleurs : 3 couleurs dominantes: bleu, blanc, rouge • La composition: =>Tracer une ligne dans la largeur : partage du tableau avec les vivants en haut et les morts en bas => Tracer l’autre médiane dans la hauteur : position des personnages (la Liberté …à gauche, les 3 combattants … à droite)

a servit à réunir l’assemblée nationale . En juin 1940 : La France est défaite militairement . La drôle de guerre s’achève par l’invasion de l’armée allemande . La ligne Maginot a été inefficace . Le général allemand va donc encercler les troupes françaises et les troupes britanniques . Le gouvernement français est en fuite , et Paul Reynot et Albert Lebrun vont faire appel au Maréchal Pétain . Philippe Pétain est un héros de la France , il l’a sauvé pendant la première guerre mondiale à

et courbes rythment le tableau. Elles se croisent, se coupent, se brisent souvent en un réseau complexe. Nous pouvons penser qu’elles symbolisent les combats, les pays et les hommes qui se déchirent. Malgré la perspective, il n’y a pas de point de fuite dans l’œuvre, cela montre sans doute le fait que la guerre n’offre pas d’issue. 4) Composition La chronologie impliquée dans le tableau implique également un cercle vicieux, infernal : à gauche les soldats partent au front, au milieu, ils subissent

retour brutal au réel avec l’expression « en enfer » ligne 3 qui marque une rupture avec l’harmonie initiale. Le sarcasme est souligné par la subordonnée « telle qu’il n’y en eut jamais en enfer » qui indique qu’il s’agit d’une antiphrase. Le bel ordre du combat participe aussi de l’ironie. En effet, l’ordre quasiment protocolaire des opérations successives « les canons d’abord » lignes 3-4 « ensuite la mousqueterie » lignes 4-5 « la baïonnette » ligne 6 relève du sarcasme. La rigueur prêtée aux affrontements

solaire frontal, et nous ne tiendrons pas compte du mouvement du soleil. Pour définir une ombre, que se soit d'un point, d'une droite ou d'un objet il faut définir une ligne d'horizon, l'angle avec lequel les rayons de la source lumineuse frappent et une ligne de terre. Les rayons du soleil frapperons tous les points de l'objet, ligne, face avec le même angle. Comme le soleil est une source lumineuse étendue et non ponctuel ( rappel sur les source lumineuse étendue et ponctuelle en annexe) ils seront