Likoud

plus violents. Il développe un certain nombre d’organisations (1923 : BETAR, organisation de jeunesses, plutôt musclée). En 1935, les révisionnistes quittent le Congrès sioniste pour créer leurs propres organisations => JABOTINSKI est à l’origine du Likoud (droite israélienne). Création de l’Irgoun (armée terroriste). Ce sont dans les années 1920-30 que commencent les incidents avec les Arabes de Palestine. Il faut distinguer parmi eux ceux qui acceptent l’arrivée de Juifs, ce qui leur permet de vendre

premières colonies s'établissent6. L'implantation de colonies dans des zones arabes densément peuplées commence en 1974 avec la création du Bloc de la foi (Goush Emounim) qui avance le droit pour tout Juif de s'installer en Eretz Israel. En 1977, le Likoud décide que la législation israélienne sera appliquée en Cisjordanie et dans la bande de Gaza6. Malgré l'arrivée au pouvoir des travaillistes en 1992 et l'annonce du gel des constructions, et les accords d'Oslo de 1993, les colonies se multiplient

de Palestiniens, le lendemain, et leur répression, marquent le début de la « nouvelle Intifada ». 2001-2002 En janvier 2001, les négociations israélo-palestiniennes à Taba, en Égypte, s’achèvent sans accord. – Le 6 février, victoire électorale du Likoud : Ariel Sharon devient premier ministre israélien. – En décembre, série d’attentats suicide palestiniens. En représailles, opération « Rempart défensif » (mars-avril 2002) : l’armée israélienne occupe de nouveau la Cisjordanie. Le QG d’Arafat,

1973 - démontrent que le problème reste entier. Le premier ministre David Ben Gourion et le parti Mapaï (socialiste) dominent la vie politique jusque dans les années 60. La droite (Likoud), prend le pouvoir en 1977. Lui succède en 1984 un gouvernement d'union nationale dirigé en alternance par les travaillistes et le Likoud. Il doit notamment composer avec le soulèvement dans les territoires occupés (Intifada) qui exacerbe les passions. Des initiatives de paix et de nombreux reculs, dont un second soulèvement

frontières revinrent à celle du 22 octobre (l’accord du kilomètre 101). Ainsi l’essence du conflit israëlo-arabe puis israëlo-palestinien est d’origine territoriale, sa permanence a conduit à la montée des extrêmes tant au sein de la société israëlienne (Likoud, Shaas, Agoudat Israël) que par mi les mouvements palestiniens (Hamas, Jihad Islamique, brigades d’Al Aqsa). (Projection Doc) III) Les grandes négociations et accords Les années 1970 sont celles des difficultés internes aux deux grands, bien

d’une force armée. Il est important … de parler hébreu, mais malheureusement, il est encore plus important d’être capable de tirer, ou bien je termine le jeu de la colonisation.Vladimir Jabotinsky, fondateur du sionisme révisioniste (précurseur du likoud), Le Mur de fer, 1923. « La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté de la population autochtone.C’est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la protection d’une puissance indépendante de la population locale

trouvent les mosquées Al-Aqsa et du Dôme du Rocher) mais aussi les juifs car c'est pour eux le "Mont du Temple", le site de l'ancien Temple détruit par l'empereur romain Titus en 70. Cette initiative, perçue comme une provocation de la part du leader du Likoud, déclenche le soulèvement dans un contexte de surenchère entre le Hamas et le Fatah d'Arafat. En représaille, Tsahal réoccupe les villes palestinennes évacuées après l'accord de 1993. Les Israéliens sont de leur côté confrontés à un véritable terrorisme

multiplie l’offre électorale. Les listes qui s’offrent aux électeurs sont donc nombreuses. Une telle situation favorise un émiettement de la représentation nationale et donc un multipartisme exacerbé. Ainsi, les deux grandes formations qui sont le Likoud (droite) et les travaillistes (gauche) ne peuvent prétendre à eux seuls obtenir la majorité. Une vingtaine de groupes parlementaires composent la Knesset. Il est donc indispensable de constituer une coalition de plusieurs formations. Entre les formations

communautés : Israël a adopté une politique de développement systématique de l’immigration juive. Dans les territoires occupés, en dépit des condamnations internationales, une colonisation de peuplement a été pratiquée par les gouvernements de tendance Likoud surtout. Elle porte sur la moitié des terres de Cisjordanie et le tiers de celles de Gaza. En face, une nation arabe nouvelle, qui ne se confond pas avec la monarchie jordanienne, s’est incontestablement constituée au feu des luttes. Aucune des

plus la donne. Si l’eau est sous le contrôle exclusif de l’Etat en Israël, le fait qu’il s’agisse de lobbies à tendances sionistes tend à interférer avec le jeu politique notamment au niveau de la coalition actuelle dont la cheville ouvrière est le Likoud mais devant composer avec l’extrême droite favorable à la politique de colonisation et refusant toute rétrocession des Territoires Occupés. La fondation d’Israël s’est faite sur l’exploitation intensive des ressources naturelles et, parmi celles-ci