Limites Des Canaux De Transmission De La Politique Monétaire

serre négociables (dits permis ou droits de polluer) se prépare à partir du protocole de Kyoto. Or, de multiples obstacles théoriques et politiques se dressent pour empêcher que cette gestion marchande de la planète soit écologiquement efficace et humainement équitable. Les plus importants sont sans doute l’impossibilité et l’absurdité d’attribuer une valeur monétaire à des éléments naturels qui ne relèvent pas de l’économique, et la contradiction opposant la tendance à privatiser des biens communs de

POLITIQUE BUDGÉTAIRE ET DYNAMIQUE ÉCONOMIQUE EN FRANCE : L'APPROCHE VAR STRUCTUREL Olivier Biau et Élie Girard La Doc. française | Economie & prévision 2005/3-4-5 - n° 169-170-171 pages 1 à 23 ISSN 0249-4744 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-economie-et-prevision-2005-3-page-1.htm ------------------------------------------------------

Eu : durcissement dans les années 1890 France « tarif Méline » en 1892 Mais ne remet pas en cause la dynamisme d’ouverture des économies européennes => un système monétaire stable, fondé sur l’étalon or ( Gold Standard ) qui favorise les échanges commerciaux et financiers Principe de l’étalon or : Convertibilité interne et externe : tout billet de banque peut être changé contre de l’or

fois les propriétés des hardwares et les principes de développement des softwares. Les problèmes techniques, notamment dans l’organisation et la gestion des phénomènes sociaux globaux (pollutions écologiques, réformes éducation, les régulations monétaires et économiques, relations internationales), constituent des problèmes incluant un grand nombre de variables en interrelation. Des théories « globales » comme la théorie cybernétique, la théorie de l’information, la théorie des jeux et de la décision

un besoin net de financement, i.e une sortie nette de capitaux. Ex : politique budgétaire activiste ∆ IS>0. L’efficacité de cette politique se mesure en terme de croissance ∆ y>0 et le contenu en emploi de cette croissance. Dès lors si l’accroissement des motifs de transaction et précaution ∆ IS>0 se traduisent par une augmentation des importations cela diminue l’efficacité en terme d’emploi domestique de cette politique. Parallèlement l’accroissement de M (importations) entraîne une détérioration

quasi-stagnation du commerce mondial. Le ralentissement observé au printemps trouve son origine dans les conséquences du séisme au Japon et dans la hausse des prix des matières premières. Il tient sans doute également à l’orientation plus restrictive des politiques économiques : lutte contre la surchauffe inflationniste dans les pays émergents ; stratégies de consolidation budgétaire dans les économies avancées. Mais le caractère temporaire de certains de ces chocs laissait entrevoir des perspectives de rebond

environnement………...……62 Section 3 : Le marketing mix bancaire...…………………….............……..85 CHAPITRE III : LA RELATION CLIENTELE ET LA DISTRIBUTION BANCAIRE Section 1 : Les caractéristiques de la distribution…..……………....……...95 Section 2 : L’évolution des canaux de distribution...……………………..104 Section 3 : Les moyens de paiement sur l’Internet……………………….128 CHAPITRE IV : LA MODERNISATION DES INFRASTRUCTURES DE TRAITEMENT ET LA DISTRIBUTION DES CREDITS Section 1 : Les facteurs de diagnostic de la B.E.A…………

environnement………...……62 Section 3 : Le marketing mix bancaire...…………………….............……..85 CHAPITRE III : LA RELATION CLIENTELE ET LA DISTRIBUTION BANCAIRE Section 1 : Les caractéristiques de la distribution…..……………....……...95 Section 2 : L’évolution des canaux de distribution...……………………..104 Section 3 : Les moyens de paiement sur l’Internet……………………….128 CHAPITRE IV : LA MODERNISATION DES INFRASTRUCTURES DE TRAITEMENT ET LA DISTRIBUTION DES CREDITS Section 1 : Les facteurs de diagnostic de la B.E

environnement………...……62 Section 3 : Le marketing mix bancaire...…………………….............……..85 CHAPITRE III : LA RELATION CLIENTELE ET LA DISTRIBUTION BANCAIRE Section 1 : Les caractéristiques de la distribution…..……………....……...95 Section 2 : L’évolution des canaux de distribution...……………………..104 Section 3 : Les moyens de paiement sur l’Internet……………………….128 CHAPITRE IV : LA MODERNISATION DES INFRASTRUCTURES DE TRAITEMENT ET LA DISTRIBUTION DES CREDITS Section 1 : Les facteurs de diagnostic de la B.E.A…………

RAPPORT SUR LA POLITIQUE MONÉTAIRE N° 10 / 2009 Document preparé pour le Conseil de Bank Al-Maghrib du 24 mars 2009 Rapport sur la politique monétaire Document préparé pour le Conseil de Bank Al-Maghrib du 24 mars 2009 LISTE DES ABRÉVIATIONS ET SIGLES UTILISÉS AEN AV 7 j BAM BCE BTP CNS DH FBCF FD FMI HCP ICV IMME INAC IPM IPPI ISM MASI MRE OC ONE PER PIB PL RPM PME RL SMIG TIC TMP TUC TVA VA : Avoirs Extérieurs Nets : Avances à 7 jours : Bank Al-Maghrib : Banque Centrale Européenne