Limites Du Pib Conclusion

4 1.1. Canal des marchés financiers 5 1.2. Chute de la croissance mondiale 6 1.3. Réduction des aides publiques au développement 9 2. Impact sur la croissance 10 3. Impact sur les finances publiques 14 4. Mesures de politique économique 15 Conclusion 16 Références bibliographiques 17 Liste des sigles |APD : |Aide Publique au Développement | |BCEAO : |Banque Centrale des

Maroc—Conclusions préliminaires des consultations de 2011 au titre de l'Article IV Le 19 juillet 2011 Une mission du Fonds monétaire international (FMI) a séjourné à Rabat du 7 au 19 juillet 2011 pour mener les discussions relatives aux consultations au titre de l’Article IV des statuts du FMI. La mission tient à remercier les autorités marocaines de leur excellente coopération et du caractère constructif des discussions. 1. Le Maroc a réussi à faire face avec succès à d’importants défis durant

financière. 2/ Panorama des échanges internationaux Le phénomène de mondialisation n’est pas nouveau : 1ère vague : mi XIXème siècle – 1ère guerre mondiale 2ème vague : après 2nde guerre mondiale – aujourd’hui Vague dynamique : croissance annuelle pour PIB mondial +3.8%/an, pour CI mondial +6.2%/an Le CI (commerce international) retrouve l’importance qu’il avait à la veille de la 1ère guerre mondiale dans les années 1970. En 2007, 1/3 des la production mondiale est vendue hors des frontières nationales

contemporain, connaît-elle différentes phases depuis 1850 ? A- Comment expliquer la croissance éco : 1. des facteurs extensifs : - évolution de la pop mondiale : explosion démographique XIX-XXè s. -évolution du PIB par hab : augmentation amorcée dès le XVIIIè s. Quand le PIB augmente fortement la croissance démographique augmente elle aussi. Même tendance générale en comparant le deux cas. La croissance de l’éco est une nécessité absolue dès lors que la pop augmente. Depuis le XIXè s nous

|p.7 | | | | |Conclusion : Conseils et préconisations |p.9 | | |

ECONOMIE MAROCAINE: AVANTAGES ET LIMITTES Présenté par Plan * Introduction * Les composantes de l’économie marocaine * La conjoncture actuelle * Les avantages * Les limites * Solutions proposées * Conclusion INTRODUCTION : Le Maroc est actuellement en plein essor économique, essor que la crise a certes freiné un peu mais qui n’en continue pas moins et même qui semble reprendre vigoureusement comme nous le verrons. Avec un PIB de 103,5 milliards de dollars, un

du monde et va provoquer une dégradation naturelle du solde extérieur (plus d’importations et moins d’exportations). Enfin, un faible taux de chômage peut contribuer à relancer l’inflation à travers les tensions sur les salaires et la demande. Conclusion Nous pouvons dire que le carré magique est un réel outil économique qui permet de mesurer les performances économiques d’un pays, de par ses éléments qui sont la croissance, l’inflation, le chômage et le solde de la balance des paiements. Cependant

croissance économique. A-Qu’est-ce que la croissance économique ? Comment la mesure-t-on ? 1-Définition Selon François Perrou : La croissance et l’augmentation soutenu et durable sur une ou plusieurs période longue d’un indicateur de dimension qui le PIB. La croissance économique mesure la richesse crée sur un territoire pendant une période donnée, généralement un an. 2- Les grandes tendances. La croissance est un phénomène de long terme mais son rythme est inégal dans l’espace et dans le temps

|57,4/57,5 | |(Maastricht=60) | | | | | | | | |RATIO : Dette/PIB | | | | | | | | RATIO : Dette/PIB : Si l’augmentation des taux d’intérêts réel est supérieur à l’augmentation de la croissance économique ( Les déficits publics La réduction des déficits publics se poursuit

passées. II – Quelques chiffres Voir dossier tableaux p.20,21 & 22 95 96 97 98 99 00 01 Déficit public -5 -4,1 -3 -2,9 -1,8 -1,5 -1,1/-1,3 Dette publique (Maastricht=60) RATIO : Dette/PIB 52,7 57,1 59,2 59,3 58,6 58 57,4/57,5 RATIO : Dette/PIB : Si l’augmentation des taux d’intérêts réel est supérieur à l’augmentation de la croissance économique  Les déficits publics La réduction des déficits publics se poursuit (156,8 milliards de F en 99) car les