Limites Et Vertus Du Comique

recommandent l’etude d’une piece de ´ ` theatre du XIXe ou du XXe siecle ; elle permet de formuler avec les ` ´ˆ eleves une definition du genre. ´ ` ´ La sequence que nous proposons ci-apres etudie les diffe´ ` ´ ´ rentes tonalites de la piece (comique principalement, mais aussi ´ ` pathetique et tragique) et analyse les roles de l’incipit et du ˆ ´ denouement. Conformement aux instructions, elle privilegie ´ ´ ´ egalement « la relation entre le verbal et le visuel », engageant ´ ´

absence de nuance, le héros est plein de vertu, l'enfant peut donc s'identifier aisément à celui-ci. Le conte rejoint l'inconscient qui exige pour grandir que l'enfant se détache des parents et quitte le lien œdipien. Le conte est un pont entre les enfants et les adultes. En effet, ils sont aussi adressés aux adultes (ou jeune adultes), afin de leur montrer la morale qui se cache derrière ce récit féerique. S’adressant à un public qui ne se limite pas aux enfants, le conte de fées constitue

Dans le domaine de la comédie, la relève de Molière n'a jamais été assurée. La bonne comédie se doit toujours d'être en vers. En 1738, Piron obtient un succès avec Métromanie qui moque la passion de versifier. Le genre comique doit se plier au goût du public pour la vertu récompensée, les qualités bourgeoises et les pleurs. La "comédie larmoyante" romanesque et moralisatrice a les faveurs du public : on ne rit plus guère à la Comédie-Française. Celle-ci doit affronter deux concurrents dont elle

critique. En vue d’introduire la satire sociale, Proust utilise de nombreux procédés ; il entreprend de rabaisser et de critiquer le groupe de personnes qu’il décrit, grâce à de nombreux termes péjoratifs et comparaisons dévalorisantes, voire comiques. Tout d’abord, la petite société bourgeoise des Verdurin, qui cherche à surpasser tous les autres groupes mondains, se révèle être l’antithèse du monde aristocratique. Elle est très diminuée par les expressions péjoratives : « petit noyau », «

censées marquer une limite infranchissable de civilisation. Dans les écrits de l’abbé Prévost, de Rousseau et surtout de Bernardin de Saint-Pierre, cette langue se voit à l’inverse conférer la « valeur de communion » dont nous la gratifions a priori. Mais c’est, en fait, à partir de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe siècle, que la lingua franca cesse d’être un terrain neutre : les mots de cette langue réfèrent désormais à l’avidité, à la corruption. Son ressort comique n’est plus seulement

de sa pièce sur l’emboîtement du théâtre dans le théâtre et le dédoublement à vue des personnages, avec cette idée, assez pirandellienne, que le théâtre finit par déteindre sur la vie et la dévorer. De cette idée pessimiste, la pièce dépeint les limites entre une folie certaine et un jeu. Comme des enfants, les bonnes jouent à être quelqu’un d’autre, se déguisent, mais la frontière entre réalité et fiction est si vite franchi qu’il leur est à la fin impossible de la distinguer.

déroulent. De ce fait, l’espace permet à l’intrigue d’évoluer par des rencontres et des séparations. Il autorise aussi des descriptions en vue de plaire ou de faire une pause par rapport aux péripéties. Toutefois, cette dimension littéraire ne se limite pas à l’aspect fonctionnel et décoratif, elle donne, en outre, un signifié symbolique et devient par la même une exigence principale dans le tissage de la trame narrative. Nous verrons tout d’abord que ces deux textes s’inscrivent dans un courant

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 INTRODUCTION ........................................................................................................................... 1
 LE COMIQUE................................................................................................................................. 7
 DISTINCTIONS ET DIVERGENCES ......................................................................................

de vie dans la prison ne distingue pas énormément… de celles dans l'usine où l'on vole à l'homme sont individualité. Conclusion : Comme aucun autre personnage de cinéma, le vagabond interprété par Charlie Chaplin donne de manière émouvante et comique, un corps au drame existentiel de l'homme face à la réalité qui le déshumanise. Alors qu'il n'est en rien coupable, le petit homme est jeté dans une société industrialisée dans laquelle les machines ne facilitent pas la vie des ouvriers mais les transforment

|celui de la fiction (analepse, |focalisation interne = la narration se | | | | | | |prolepse). |limite au point de vue d'un personnage.| | | | | | |rythme narratif (alternance |