Limites Et Vertus Du Comique

analyse psychologique. - Action sous le règne d’Henri II, roman situé dans le temps mais la cour décrite est plus celle du Roi Louis XIV. - Intérêt majeur Analyse de la passion. - Vision pessimiste de la vie en cour et de la passion amoureuse : vertu et honneur ne sont plus garants du bonheur. - Mlle de Chartres, l’héroïne, fait ses débuts à la Cour. Très vite remarquée pour sa grande beauté, elle rencontre le prince de Clèves dans une joaillerie le lendemain de son arrivée. Il tombe amoureux

parole d’une soubrette ce voit être prise en compte, surtout quand il est question de critiquer incessamment ses maitres. Mirbeau donne alors à une femme de chambre qui n’est « rien » une importance étonnante, et un pouvoir de critique presque sans limite que l’on retrouve tout au long du texte pour dénoncer le travail « des gens de maison » comme elle, qu’elle qualifie d’esclavage : « On prétend qu’il n’y a plus d’esclavage... Ah ! Voilà une bonne blague, par exemple... Et les domestiques, que sont-ils

genres (cinéma, roman, théâtre) dans lesquels l’histoire d’Harold et Maude a été écrite permet de cerner aisément les spécificités du texte théâtral. En outre, la pièce constitue un support très heureux pour l’étude des registres : essentiellement comique, Harold et Maude emprunte aussi aux tonalités pathétique et tragique. Enfin, elle est l’occasion d’initier les élèves aux rapports entre un texte théâtral et sa mise en scène (ceux-ci 1. Disponible dans la collection « E´tonnants Classiques ».

ocratesocrates ocratesocra tesocrate socratesoc ratesocra socra tesocratesocratesocratesocratesocrat esocra « Apollon Délien et Artémis, enfants illustres. Ésope dit une fois aux habitants de la ville de Corinthe de ne pas juger la vertu à l’aune de la sagesse d’un verdict populaire3. » Socrate semble ne s’être pas contenté de cette éducation (en se consacrant à la philosophie, il avait dans l'idée de travailler pour la conversion morale de ses concitoyens). D’après Maxime de Tyr

enjeux implicites. Plusieurs questions littéraires surgissent alors : peut-on reproduire la réalité ? Dans quelle mesure un auteur " réaliste " peut-il échapper à la tentation du romanesque ou du fantastique ? S'agit -il d'un conte gaillard (ton comique et farcesque) ou plutôt d'une histoire tragique ? Pré-requis : -fonctionnement et rôle de la description, points de vue narratifs et organisation du récit

tribu, du groupe linguistique, parfois même du village »(l.35-36) : gradation qui montre les limites du monde des primitifs - opp. entre les termes mélioratifs pour se désigner eux-mêmes (« les bons, les excellents, les complets »(l.38-39)) et les termes péj. pour désigner les étrangers «mauvais, méchants, singes de terre, œufs de pou[…]fantôme, apparition »(l.38-43)  gradation : - on les prive des vertus « mauvais »

œuvres sont destinées aux cours des grands seigneurs et des rois, elles sont un ornement de la vie aristocratique. Le lyrisme courtois, concerne l’amour courtois, l’amour célébré est avoué par la raison. La dame impersonnelle est douée de toutes les vertus dans ces récits d’amour. Les chroniqueurs : Les Chroniqueurs sont les "historiens" du XIIème et XIIIème siècles. Ils racontent ce qu'ils ont fait ou ce qu'ils ont vu. Les deux principaux chroniqueurs sont Geoffroy de Villehardouin(1164-1213) et Jean

son chapeau de feutre sur la tête et sa serviette fixée à son gilet. – Nous partons, répondit-il. Cela s’est décidé tout d’un coup. A cinq heures, nous nous sommes trouvés seuls, tous les invités ensemble. Nous avions attendu jusqu’à la dernière limite. Les fiancés ne pouvaient plus venir. Quelqu’un a dit: «Si 15 nous partions …» Et tout le monde s’est apprêté pour le départ. » Meaulnes ne répondit pas. Il lui était égal de s’en aller maintenant. N’avait-il pas été jusqu’au bout de son aventure

l'Imitation de Jésus-Christ. Il regretta le théâtre, eut le malheur d'y reparaître en 1659; mais les pièces qu'il y donna dès lors sont indignes de l'auteur de Cinna, que cependant elles rappellent encore dans quelques scènes. Cachant les plus douces vertus sous une enveloppe un peu rude, Corneille avait fait de sa maison le cercle de toutes les jouissances : deux ménages y vivaient en commun; les deux chefs étaient frères, couraient la même carrière, et la même mère avait donné le jour à leurs épouses

c’est que sa force est respectée, et respectable. À cette force qui protège la paix s’ajoute la justice, « ses justes faveurs aux mérites donnés » (v. 11), qui sait reconnaître et encourager les vraies valeurs et favorise le progrès. La troisième vertu dont il doit faire preuve est le respect du dieu de ses ancêtres, « la foi de ses aïeux » (v. 13). Si le nom du roi inspire la terreur à ses sujets, le nom de Dieu est craint (et aimé) du roi. Si le roi déploie « sa puissance » (v. 16), il relève de