Limites Principe De Juridicité

1848 : SU pour les hommes. 1945 : Suffrage réellement universel (pour les femmes). GB : 1918 ; Dan : 1915 ; Belgique, Pays-Bas, Italie : 1919 ; Suède : 1909 ; USA : 1870 avec adoption du 15ème amendement de la Constitution Américaine qui pose le principe que «  le droit de vote ne peut être refusé aux citoyens des Etats-Unis ni restreint à raison de la race, de la couleur, ou de l’état antérieur de servitude ». Ne trouvera vraiment d’application complète qu’au milieu des années 60 (Illustration de

chose (du latin res, rei = la chose ; par exemple : le droit de propriété). 2. Un lien de droit Dans une perspective positiviste et étatiste, c’est un lien de droit car il est assorti d’une sanction étatique. Cette sanction va insuffler sa juridicité au lien. On peut demander : * l’exécution de l’obligation (exécution assortie de la contrainte mise en œuvre par la force publique)  * on peut également demander réparation de la conséquence d’une violation de l’obligation. 3. Un

LA JUSTICIABILITÉ DES LIMITES AU POUVOIR CONSTITUANT SOUS LA CINQUIÈME RÉPUBLIQUE Propositions pour un contrôle du pouvoir de révision détenu par le Congrès Didier Blanc Maître de conférences en droit public Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines Ce n’est pas l’une des manifestations les moins étranges du droit constitutionnel contemporain que de relever qu’aucune des multiples réflexions engagées à l’encontre de la Constitution du 4 octobre 58, en particulier celles conduites à l’approche

adm doit etre strictement encadré par le droit. Titre 1 : le principe de légalité Ce principe signifie que les actes de l’administration doivent respecter toutes les normes qui leur son supérieur. Il faut noter que cet expression « principe de légalité » date d’une époque a laquelle la loi apparaissait comme la seul norme supérieur et ceux, en raison de l’absence de contrôle de constitutionnalité des lois. Aujourd’hui le principe de légalité va bien au-delà du simple respect de la loi puisqu’il

construction n'est pas dépourvu d'unité ( concepts, principes, valeurs) ni de facteurs de cohérence, qui permettent d'ententer une apréhension d'ensemble, celle ci nécessite toutefois l'adoption d'une méthode, la méthodologie juridique. Concept: Un acte de pensée aboutissant à une représentation générale et abstraite, en quelque sorte une idée, mais à la diff de l'idée, il y a derrière le concept, des principes, des valeurs. Principe : un principe est une proposition, une notion particulièrement

la vie sociale de se soumettre a but pacifique et prospere, les deux allant de paires. Pour ce but pratqiue, le droit doit instaurer un ordre qui doit etre respecté ( pas ce qu'il peut faire, mais ce qu'il ne peut pas faire ! ) Ou sont les limites de la liberté ? Le droit est un cadre nécéssaire à la liberté, celle ci etant laliment de la prosperité. Mais tous les ordres ne se valent pas. Le droit vise un ordre que le citoyen considère juste. L'ordre est le présupposé de la justice. L'ordre

Cette doctrine aura un héritier très infidèle qui est Hans Kelsen dans la mesure où il est le penseur par excellence du droit en tant que système. Il a une approche dynamique du droit qui consiste à s’intéresser sur la validité des normes, leur juridicité, c’est la pyramide des normes. Chez Kelsen, la norme suprême (terme allemand à chercher) est la norme dont on suppose son existence c’est la toute première constitution originaire dans l’histoire dont il est difficile d’en rapporter la preuve de

administratif, à la tête duquel se trouve le Conseil d’État. Le droit privé se définit comme la branche du droit qui régit les rapports des particuliers entre eux. Ses règles, davantage orientées vers la satisfaction d’intérêts individuels, sont en principe supplétives: elles sont proposées et non imposées (cf. infra, nº 39). Ces règles sont sanctionnées par les tribunaux de l’ordre judiciaire, à la tête duquel se trouve la Cour de cassation. 7/ Une distinction malaisée Non seulement la distinction

administratif, à la tête duquel se trouve le Conseil d’État. Le droit privé se définit comme la branche du droit qui régit les rapports des particuliers entre eux. Ses règles, davantage orientées vers la satisfaction d’intérêts individuels, sont en principe supplétives: elles sont proposées et non imposées (cf. infra). Ces règles sont sanctionnées par les tribunaux de l’ordre judiciaire, à la tête duquel se trouve la Cour de cassation. Une distinction malaisée Non seulement la distinction n’a pas

§2. Sources. A. sources nationales. B. sources internationales. C. sources non-étatiques : la lex mercatoria. 1. les auteurs de la lex mercatoria. 2. l’objet de la lex mercatoria. Section 1 : Le caractère international du contrat. Section 2 : Les principes fondateurs de la résolution du Conflit de lois. §1. La détermination du droit applicable au contrat. A. la détermination de la loi applicable par le juge étatique. 1. l’étendue du pouvoir reconnu aux parties. 2. le problème du contrat sous loi. B