Limites Relation Soignant Soigné

unités qui se déclinent de la manière suivante :Hospitalisation complet (HC): 21 lits qui sont répartis en 2 secteurs, l’équipe soignante est composée de 2 IDE et de 3 AS en journée, et de 2 IDE pour la nuitUnité de soin intensif de cardiologie (USIC) : 8 lits, qui accueille des patients nécessitant d’être scopés 24h/24h, sous vidéo surveillance avec une équipe soignante composée de 2 IDE et de 2 AS en journée et 2 IDE pour la nuitHospitalisation de jour (HDJ) : 4 lits dont le suivi est assuré par

L’aide-soignante 3) Moi-même II. Présentation de la situation relationnelle 4 A. La conversation III. Analyse de la situation 6 1) Points positifs 2) Points négatifs 3) Facteurs favorisants 4) Facteurs défavorisants IV. Mes solutions éventuelles. 9 1) La transposition de la vie personnelle au travail 2) Madame B. face à son « anxiété», sa « dépression » et sa « souffrance » V. Mon ressenti 10 VI. Mon devenir professionnel 10 Conclusion 11 Introduction Dans le cadre du module 5 « relation-communication »

sera réciproque, tant mon incapacité à insister sur le fait qu'elle doit manger sera flagrante. Je me rends compte à ce moment de la difficulté d'entrer en relation avec cette patiente quand il s'agit d'intervenir sur un objectif aussi important que peut être son alimentation. Après cet "échec", une analyse critique fait suite avec l'équipe soignante. Qu'est-ce qu'il s'est passé? Ou plutôt qu'est-ce qu'il ne s'est pas passé. Cela me confirme la toute puissance dans laquelle peut parfois se trouver une

Cette note de recherche est la première étape du mémoire de fin d’études. Elle nous permet de mener une réflexion à partir d’une situation vécue et ainsi nous familiariser avec la recherche en soins infirmiers. En effet, quand j'étais aide-soignante exerçant dans un hôpital, j'ai eu à prendre en charge des patients qui refusaient des soins mais j'arrivais toujours après négociation à obtenir leurs consentements. Quitte à revenir plus tard pour le soin. Ce qui rend cette situation unique c'est

.......... 9 sur le plan juridique : ............................................................................. 10 Quelle attitude adopter face au refus de soins ? ........................................... 12 pour le médecin et l’équipe soignante : .................................................... 12 pour la famille et les proches .................................................................. 14 P. 2 ©EREMA Mars 2011 Le consentement aux soins La notion de refus de soins convoque

« La raison en est sans doute qu’il n’y a pas de consentement véritable que lorsqu’est reconnue concrètement l’éventualité d’un refus, et que tout refus de soins crée un malaise dans les équipes soignantes » [1]. Le refus de soins recouvre des situations complexes et très disparates. Les soignants rencontrent des personnes qui ont conservé leurs facultés intellec- tuelles intactes mais aussi d’autres qui souffrent de troubles cognitifs. Les questions qui se posent sont alors : quels comportements

chambre de Mr M afin de procéder à l’administration des thérapeutiques. Il me semblait effectivement très fatigué (yeux très cernés, visage crispé et fermé). Comme au quotidien, il est déjà installé dans son fauteuil roulant, attendant l’arrivée des soignants. Je m’étais positionnée à sa hauteur en lui demandant comment avait-il passé la nuit. Il m’a répondu sur un ton bref « bien ». Mais, ses propos ne reflétaient pas l’image qu’il projetait. Habituellement, il m’accueillait avec beaucoup d’enthousiasme :

Medicine [EBM], déclinée en Evidence-Based Nursing [EBN]), la justesse d’un soin se découvre dans une relation à l’autre toujours unique et singulière. Nous pourrions, comme le fait la psy- cho-dynamique du travail, évoquer l’écart qui ne cessera d’exister entre le travail prescrit et le travail réel, ou entre “ce que l’on me demande” et “ce que cela me demande”. La réalité du tra- vail soignant dépasse donc forcément l’applica- tion stricte des “bonnes pratiques”. Comme le souligne avec raison

une relation de confiance * Répondre aux interrogations sur le déroulement de la prise en charge * C’est jouer un rôle d’accompagnement et de soutien psychologique * Sa demande du tact * Une capacité de gestion des émotions et des réactions de l’entourage * Un acte de rencontre entre un soignant et un soigné * Une attitude qui nécessite un savoir être II. Qui accueille ? * En neurologie, tous les soignants sont concernés et les aides-soignants sont

Cadre théorique3.1.1. Les odeurs 33.1.2. L’odorat 43.1.3. Odeurs et société 53.1.4. Odeurs et émotions 5 3.2. Les odeurs dans les soins infirmiers3.2.1 Cadre législatif 73.2.2 Stratégies d’adaptation des soignants 73.2.3 Les odeurs : Un frein dans le « prendre-soin »  83.2.4 Les odeurs : Un outil infirmier 94. Conclusion 11 Bibliographie INTRODUCTION Je me doutais, lorsque j’ai commencé mes études d’infirmière, que mes sens allaient