Lionel Jospin

législatives, on passe d’un choix libre à un choix imposé. Ainsi, François Mitterrand a été plus ou moins contraint de nommer en tant que premier ministre Jacques Chirac en 1986 et Edouard Balladur en 1993. De même, Jacques Chirac a dû nommer Lionel Jospin premier ministre en 1997. Lorsque le président est libre de son choix, on a constaté la tendance du président à nommer au moins deux premier ministres au cours de son mandat, le premier étant souvent un personnalité politique qui d’une part symbolise

Paris. En 1993, il perd son mandat de député. Il prend la présidence du club « Témoin » de Jacques DELORS qu'il conserve jusqu'en 1997. Il devient secrétaire natonal du Part socialiste chargé des questons économiques, en novembre 1994. Et en 1995, Lionel JOSPIN le nomme porte-parole du Part socialiste. En 1997, après la victoire de la gauche plurielle, François HOLLANDE retrouve son siège de député de la Corrèze et devient premier secrétaire du part socialiste. Il se déclare ofciellement candidat à la

La loi devance-t-elle ou confirme-t-elle les évolutions de la société ? La loi des 35 heures (au lieu de 39 heures) La loi figurait, en 1981, dans le programme de François Mitterrand. Martine Aubry, ministre des affaires socialistes de Lionel Jospin, a mis en œuvre cette loi qui avait pour principaux objectifs : * D’instaurer un partage du travail afin de susciter des créations d’emplois et de lutter contre le chômage. * D’accroître la productivité de l’économie. * D’apporter du

d'infériorité. La gauche a la majorité absolue, c'est un deuxième triomphe et une première victoire aux législatives. Pierre Mauroy est nommé Premier ministre, c'est un des principaux cadres du PS et soutien de Mitterrand. Ce dernier confie le parti à Lionel Jospin qui devient le premier secrétaire du PS en 1981. Parmi ses ministres on retrouve Gaston Defferre, ministre de l'Intérieur et Alain Savary, ministre de l'Education Nationale. Des ministres communistes sont également intégrés au gouvernement.

exercice - l’ouverture des possibles - affecte inévitablement l’héritage du passé, qui doit être librement évalué par les acteurs du présent. Il n’y a donc aucun sacrilège pour des responsables politiques à pratiquer ce « devoir d’inventaire » que Lionel Jospin lui-même avait envisagé d’appliquer aux années Mitterrand. La question est plutôt de savoir quelle forme - et surtout quel sens - prend cette révision permanente du legs politique qui est à tout démocrate ce qu’était la prose de Monsieur Jourdain

Langevin-Wallon de 1947. Depuis 1990-1991, ces Écoles normales primaires sont remplacées par les instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) à la suite de la loi Jospin en date du 10 juillet 1989. Création des IUFM 1989, loi d’orientation sur l’éducation La loi d’orientation votée à l’initiative de Lionel Jospin sur l’éducation du 10 juillet 1989 crée les IUFM, des instituts chargés, dans chaque académie, de la formation de tous les enseignants, du premier comme du second degré

souveraineté et surtout pour mettre un terme aux cohabitations que, le 16 mai 2000, Valérie Giscard d’Estaing dépose une proposition de loi constitutionnelle à l’Assemblée nationale visant à réduire le mandat présidentiel. Soutenu par le Premier ministre Lionel Jospin, le quinquennat est approuvé par Jacques Chirac -qui l’avait catégoriquement refusé un an plus tôt par peur de se le voir appliquer à son mandat. La seule condition posée par le président est l’exclusion de toute autre réforme institutionnelle

Président et Jacques Chirac (en 1986) et Édouard Balladur (1993) comme premier ministre, soit, à l'inverse l’exécutif se compose d’un président de droite et premier ministre de gauche comme se fut le cas entre 1997 et 2002 sous Jacques Chirac avec Lionel Jospin comme premier ministre. Il s'agit alors d'une cohabitation. Dans de telles circonstances, le président se situe alors en peu en retrait. Conclusion : La France, sous la Ve République, correspond donc bien à un régime semi-présidentiel.

plus de ce parti politique. Il faut savoir que la gauche a acquis la majorité au Sénat depuis la première fois de l’histoire en 2011. - Manque de légitimité : Sénateurs pas légitimes (élus au suffrage indirect par les députés et élus locaux) Lionel Jospin en 1998 «c’est une anomalie parmi les démocraties». En outre, les pouvoirs du Sénat seraient disproportionnés par rapport au mode d’élection des sénateurs. Le général de Gaulle évoque certains de ces pouvoirs en 1969 en disant «le Sénat a

président Chirac nommera Premier ministre Lionel Jospin, celui-ci ayant été quasiment élu au suffrage universel direct en qualité de leader du principal parti (Parti Socialiste) de la majorité parlementaire (la gauche plurielle). E. Balladur en 1993, puis L. Jospin en 1997 choisiront librement les membres du gouvernement, lesquels seront tous nommés par le chef de l’Etat. Ces trois Premiers ministres cohabitationnistes, J. Chirac, E. Balladur et L. Jospin, feront fonction de chef de l’exécutif face