Lionel Messi

A. La politique en France depuis 1991 -> Jacques Chirac président en 1995 et 2002 Jacques Chirac Mandats de Jacques Chirac : - élection le 7 mai 1995 de Jacques Chirac contre Lionel Jospin, Alain Juppé Premier ministre - la Gauche plurielle l'emporte aux élections législatives de 1997, troisième cohabitation avec Lionel Jospin - passage aux 35h, 350000 emplois-jeunes dans les services publics, PACS, refus de l'AMI en 1999, accord multilatéral sur l'investissement, thème de l'exception française

soutiens parmi les cumulards. Mr Hollande n’est pas intervenu sur la question de la règle socialiste. Sensible aux remous suscités dans l’opinion par le peu d’enthousiasme de nombreux socialistes a l’idée d’appliquer la règle, il a en revanche chargé Lionel Jospin de travailler a une loi réformant les statuts des élus et instaurant le non cumul. Mais cette loi qui doit être votée avant la fin de l’année, ne s’appliquera pas avant 2014.

troisième cohabitation intervient de 1997 à 2002 après la victoire de la Gauche Plurielle lors des élections législatives anticipées. Celles ci sont provoquées par la dissolution de l'assemblée par Jacques Chirac décidée le 21 Avril 1997. C'est a Lionel Jospin (premier secrétaire du Parti Socialiste) qu'il confie le poste de chef du gouvernement.  Il s'agira de comprendre que fait le Président de la République en période de cohabitation? En premier temps , nous étudierons la position et les pouvoirs

La mémoire des« fusillés pour l'exemple » et des « mutins de 1917 » Le 5 novembre 1998, à l'occasion du 80e anniversaire de l'Armistice de 1918, cette mémoire a fait l'objet d'une reconnaissance tardive exprimée par Lionel JOSPIN à Craonne, sur le Chemin des Dames, dans un discours officiel par lequel le Premier ministre a demandé que ces soldats « réintègrent pleinement notre mémoire collective nationale » ( 1 ) . Annette BECKER a bien montré comment la mémoire de ce qu'on a appelé

de handicap. Dans un certain nombre de départements, à l’initiative d’associations, on trouve des auxiliaires de vie scolaire dont le travail est plus directement tourné vers l’aide individuelle en milieu scolaire ordinaire. Le 25 janvier 2000, Lionel Jospin a réaffirmé lors de son intervention au CNCPH (Comité National Consultatif des Personnes Handicapées) le droit à l’autonomie des personnes handicapées, et présenté un plan triennal prévoyant le renforcement de l’intégration à l’école. L’un

jamais sous la 5ème république s'est affronté au tant de candidats pour le 1er tour. Les candidats étaient les suivants : François Bayrou, Olivier Besancenot, Christine Boutin, Jean-Pierre Chevènement, Jacques Chirac, Daniel Gluckstein, Robert Hue, Lionel Jospin, Arlette Laguiller, Corinne Lepage, Jean-Marie Le Pen, Alain Madelin, Noël Mamère, Bruno Mégret, Jean Saint-Josse et Christiane Taubira. Les 16 candidats présents pour le premier tour des élection 2002. L'affiche des 3 candidats, ayant

Facteur inhibiteur de toute décision, de tout changement ; il se traduit par un immobilisme absolu des hommes politiques sans distinction de couleur politique. Le principe jaillit sous la gauche de François Mitterrand et perdure jusqu'au gouvernement de Lionel Jospin. Il va survivre aux cohabitations et ancrer l'idée d'«entracte».

Président Chirac renouvela son refus de réformer « Le quinquennat serait une erreur, et donc je ne l’approuverai pas. » - C’est alors par voie de presse, dans Le Monde du 11 mai 2000, que Valéry Giscard d’Estaing demanda au premier ministre en place, Lionel Jospin, d’inscrire sa proposition au plus vite à l’ordre du jour et d’utiliser la voie référendaire pour son adoption définitive. - Jacques Chirac engage alors la réforme : le projet de loi constitutionnelle relative à la durée du mandat présidentiel

autre. Pourtant, quelques-uns de nos dirigeants n'hésiteraient pas à aborder les eaux troubles de la sorcellerie. « Ne sont élus que ceux qui y font appel » , affirme sans sourciller Sylvie Jumel, en évoquant a contrario l'échec des réfractaires : Lionel Jospin évincé de la course à l'Elysée, comme le gaulliste Jacques Chaban-Delmas en 1974. Selon elle, ministres et présidents consulteraient des marabouts, officieusement, à l'occasion de leurs visites diplomatiques en terre d'Afrique. Comment leur

voile est une marque religieuse incompatible avec le bon fonctionnement d’un établissement scolaire. SOS racisme prend alors la défense de ces élèves et déclare : « En aucun cas, une sanction ne peut être infligée à des élèves en vertu de leur foi. » Lionel Jospin, ministre de l'éducation de l'époque, déclarera qu'il faut respecter « la laïcité de l'école qui doit être une école de tolérance, où l'on n'affiche pas, de façon spectaculaire ou ostentatoire, les signes de son appartenance religieuse. » Il