Liquidité du marché

de la concurrence, la réglementation des marchés et internationales (accords internationaux). - prélever les impôts et redistribuer (Les dépenses publiques représentent à peu prés la moitié du PIB dans les pays développés). - émettre et gérer la monnaie : (Banque centrale qui définit et met en œuvre la politique monétaire, elle est responsable du maintien de la valeur de la monnaie et des taux d'intérêt et est responsable de la disponibilité de liquidité des banques.) -produire des biens publics :

de moyen d’échange, de réserve de valeur ou d’unité de mesure (unité de compte). - Moyen d’échange : la monnaie est une « créance sur l’économie »,, c'est une double coïncidence des désirs, elle permet d’acquérir des biens ou des services. Sa liquidité est parfaite, fluidifie les échanges ; - Unité de compte : mesurer la valeur relative des différents biens ; - Réserve de valeur : la monnaie peut être conservée (thésaurisation) pour être échangée plus tard, avec le risque de se déprécier

avant tout pédagogique. Il s'agit pour nous d'analyser le marché, le fonctionnement et l'utilisation des « Collateralised debt obligation » (CDO) et le lien entre la titrisation et la crise des créances hypothécaires à risque « subprime ». Nous présentons l'évolution du marché de ce produit financier, fruit d'innovations financières relativement récentes et les sophistications croissantes qu'il a connu au fil du temps. La croissance du marché des CDO est surtout caractérisée par le fait qu'ils sont

Banques et Marchés Financier Il existe une certaine réglementation concernent les banques, les marché mais on peut penser qu'elle n'est pas suffisante face au contexte actuel. Concernant les banques on partira du fait qu'il s'agit d'entreprise spécifique avec une fonction de création de monaie qui leur confère ce statue spécifique. Cette capacité de création va être limité par la banque centrale qui organise et prend des décisions en matière de politique monétaire. Il faut tenir compte de la

La crise financière I- INTODUCTION La crise financière qui s’est développe depuis l’été 2007, part du marché des Sub-primes Américaines qui a d’abord eu des conséquences sur la sphère financière aux USA entraînant ensuite les chutes des valeurs boursières et les pertes colossales des certaines banques américaines comme non américaines. II- CAUSES DE LA CRISES FINANCIERES MONDIALES A- LES SUB_PRIMES Les crédits sub-primes sont des prêts immobiliers accordés à des ménages américains

Hansen est un modèle de synthèse, c′est à dire qu′on y retrouve l′analyse néo classique, et il dit que le modèle keynésien ne serait qu′un cas particulier du modèle général néo classique. Section 1 – L’équilibre sur le marché des produits et la courbe IS On s′intéresse ici au marché des biens et des services, en considérant au départ une économie sans relation avec le reste du monde et sans interventionnisme public. La demande globale c′est la consommation + l′investissement, et la condition d′équilibre

économiques de sortie, septième et dernière d'une série d'auditions organisées par la commission CRIS du Parlement européen, comprenait également deux tables rondes sur, respectivement, les aspects financiers et monétaires, et la création d'emploi, le marché intérieur, l'innovation et la croissance verte et durable. À la première table ronde, William Nicholas Hutton, de The Work Foundation, a estimé qu'au lieu de se focaliser sur les fonds alternatifs, il vaudrait mieux renforcer la réglementation des

Lorsque la crise de liquidité concerne le secteur bancaire, elle se traduit, pour ces établissements, par un manque de fonds, ne leur permettant plus d'assurer les emprunts, ni les retraits d'argent, ni même les paiements de leurs clients. Lorsque cette situation se généralise à l'ensemble du système interbancaire, un resserrement du crédit peut se produire, aboutissant à la diminution des prêts consentis aux particuliers. Lorsque la crise de liquidité touche les marchés financiers, elle se traduit

financière, d’autre part, a montré ses limites pendant la crise financière. Cette distinction tend à s’estomper tant dans le suivi que dans la réglementation prudentielle. en matière d’analyse de risques, les interconnexions entre institutions et marchés financiers et le rôle spécifique joué par les banques systémiques dans les phénomènes de contagion entraînent de fortes interactions entre les dimensions micro- et macroprudentielles. en matière de réglementation, le nouveau dispositif de Bâle iii

L’évaluation du risque de marché à travers les méthodes de la VaR et du Stress Testing: La quantification du risque est un souci majeur des acteurs financiers car elle leur permet de répondre à des interrogations comme « Combien pouvons-nous perdre avec notre portefeuille dans des conditions de marché normales ou anormales pour un horizon de temps donné ? ». La VaR (Value at Risk) et le Stress Testing constituent les deux méthodes les plus courantes de quantification du risque ; elles sont généralement