Lire Pour Se Cultiver

bêtises. Il aime seulement lire et écrire. Il trouve les jeux enfantins ennuyeux. Son père l’inscrit dans un lycée commercial pour étudier la comptabilité mais il a de mauvais résultats. Il étudie aussi les lettres et va souvent à la bibliothèque Nationale. C’est sa grand-mère qui l’inspire en lui contant des histoires tous les soirs. Les personnages : Antonio José Bolivar Proaño Vieil homme au corps toujours nerveux, allant sur ses soixante-dix ans. Il sait lire mais non écrire. Dans la solitude

Après des années de refus obstiné, j’ai fni par lire un roman d’Amélie Nothomb... Ce qu’il faut savoir, c’est que j’avais un avis sur elle depuis des années sans jamais ne l’avoir lue ! Cependant avec le personnage qu’elle s’est composée dans les médias, difficile d’y être insensible, que ce soit pour le meilleur ou pour le pire, et pour ma part c’était le pire… Elle avait le don de m’énerver tant dans ses propos (sur la nourriture décomposée notamment) que dans sa façon de parler (affectée). De

auxquelles l’auteur veut qu’on réponde, c’est à un de ces moment là qu’on ressort grandit d’un livre. Mais le personnage de roman ne nous amènes pas seulement à une réflexion, il nous permet également d’accomplir des voyages, de nous faire rêver, cultiver notre imaginaire. Boris Vian dans L’écume des jours nous emporte justement dans un monde où règne une poésie surréaliste avec le piano-bar, la fameuse danse du biglemoi et les malheureux nénuphars poussant dans le poumon droit de Chloé. Du fait

officiels et religieux, un instrument de travail intellectuel, aidant à acquérir le savoir. II La lecture permet l’instruction, la connaissance du monde, l’apprentissage et l’esprit critique. Par ailleurs, la lecture permet aussi de s'informer, de se cultiver, d’approfondir ses connaissances, donc de développer sa culture générale. Prenons l’exemple du roman, « La Vague », de Todd Strasser, publié en 2009. Cette histoire est basée sur une expérience réelle qui a eu lien aux États-Unis dans les années

de ses dents, des problèmes avec sa pied ou une détérioration de sa vue. D`une part, il parle de sentir le plus possible et c`est pourquoi il est toujours très proche d’un sujet d’une souffrance physique. Dans L’apologie de Raymond Sebond on peut lire: Je suis content de n’être pas malade, mais, si je le suis, je veux savoir que je le suis; et si on me cauterise ou incise, je le veux sentir . Il est conscieux que la vieilesse et la mort sont des parties inséparables de la vie. Il accepte la vieillesse

sens. Par exemple, il avait dit que les Allemands auraient changé la France avec l'amour partagé, ou que la guerre est positive, car elle offre l'occasion de tout détruire pour permettre une meilleure reconstitution. En réalité, comme on peut lire dans le texte, l'objectif de l'Allemagne d'Hitler était la destruction de l'âme de la France. C'est à ce moment-là que l'auteur montre le grand contraste entre les grands idéaux de certaines personnes et les lâches objectifs politiques de ceux

celui-ci n'a-t-il pas d'autres fonctions ? Le divertissement : lire un livre comme aller au cinéma, plaisir de lire des histoires inventées ou réelles avec des péripéties...permet de vivre par procuration de nouvelles vies...permet de s'évader / voyager intérieurement/ faire rêver Autres fonctions : le roman peut servir à défendre une cause, à soulever des problèmes, à faire réfléchir à des faits de société./ à nous cultiver/ peut se suffire à lui-m^me pour la beauté du style Exploitation

à ouvrier d’usine et finalement, il devient un petit commerçant. Il ne peut pas finir ses études car son père le retire de l’école à l’âge de douze ans comme conséquence de sa vie de pauvreté, mais malgré de cette situation, il apprend à écrire, à lire et à dessiner car il aime l’étude, car il ne veut pas être ignorant. Pendant toute sa vie, il travaille très dur afin de satisfaire ses besoins. Dans son enfance, il travaille dur pour aider économiquement à son père, et après, dans son adultisme,

de Saint-Brieuc dans les Côtes-du-Nord où il meurt le 17 octobre 1914. De son père, Camus ne connaîtra que quelques photographies et une anecdote significative : son dégoût devant le spectacle d'une exécution capitale. Sa mère est en partie sourde et ne sait ni lire ni écrire : elle ne comprend un interlocuteur qu'en lisant sur ses lèvres. Avant même le départ de son mari à l'armée elle s'était installée avec ses enfants chez sa mère et ses deux frères, Étienne, sourd-muet, qui travaille comme tonnelier, et Joseph

conditions de vie des prisonniers, par exemple dans la scène du ferrage des forçats. Il exprime ses sentiments sur sa vie antérieure et ses états d’âme.... Le personnage du roman est un être ordinaire, ni un héros, ni un truand. Il semble cultivé, il sait lire et écrire et connaît même quelques mots en latin. La richesse de son vocabulaire fait contraste avec l’argot parlé par le friauche ou chanté par la jeune fille. Mais on ne décèle en lui aucune grandeur particulière, il est le jouet de sentiments