Liste des ducs d'Aquitaine

des Francs" sont un ouvrage historique rédigé dans le cadre de la monarchie carolingienne, concernant les événements survenus entre les années 741 (mort de Charles Martel) et 829 (début de la crise du règne de Louis le Pieux). La tenue d'annales (liste des grands événements de l'année écoulée) est courante au cours du VIIIe siècle dans les monastères d'Europe occidentale. Les annales ont eu plusieurs auteurs, dont on ne connaît pas le nom. Le premier auteur entreprend la rédaction entre 788 et 793

Reims qui continue les annales d’Hincmar. Sa chronique couvre la période 882-998. De moribus et actis primorum Normanniae ducum de Dudon entre 1015 et 1026 : chanoine de Saint-Quentin et chapelain du duc Richard II de Normandie. Ce récit favorable aux ducs rapporte des légendes issues de la tradition orale. Chronique d’Adémar de Chabannes au début du XIe siècle : moine à Saint-Cybard d’Angoulême qui écrit une histoire des Francs à partir de leur prétendue fuite de Troie jusqu’en 1029. Elle est particulièrement

avait obtenu la plus grosse part du pouvoir), restaurent leur père déchu en 835. En 840, Louis le Pieux meurt, laissant derrière lui une succession qui s'annonce délicate. ------------------------------------------------- Les trois frères Pépin d'Aquitaine, second fils de l'empereur mourut en 838. A la mort de Louis le Débonnaire, l'Empire est donc partagé entre ses trois autre fils : Louis le Germanique, Lothaire et leur jeune demi-frère Charles le Chauve. Seulement, Lothaire décide de s'approprier

sous l'Ancien Régime [modifier] Parler d'Orléanisme sous l'Ancien Régime est anachronique dans le sens où la notion n'apparaît qu'en 1830. Cependant, pour certains historiens, l'orléanisme puise ses fondements dans les rapports qu'ont entretenus les ducs d'Orléans, premiers princes du Sang, et la haute aristocratie confrontée aux affaires du royaume depuis la Régence. Depuis la mort de Louis XIV en 1715, suivie de la Régence confiée à Philippe, duc d’Orléans, une coterie s’était organisée autour de

faibles, maintient la paix, lève les impôts et a la mission de justice (préside le mallus, en tant que judex publicus). Il est aidé par des auxiliaires, des centeniers (Nord) et viguiers (Midi). Les ducs nationaux sont des petits chefs héréditaires de peuples vaincus (disparaissent au 8è), et les ducs officiers du roi sont des chefs militaires nommés pour des expéditions militaires, poste permanent à partir du 8è. Sect. 2 - L’église à l’époque mérovingienne ⁃ ⁃ Elle a permis la transition entre

siècle voient refleurir les initiatives réformatrices (Cluny, Fleury) qui s’inscrivent dans le prolongement de la réforme carolingienne. Le contexte politique est néanmoins bouleversé et dans la plupart des cas, ces réformes sont l’œuvre des grands : ducs, contes où évêques, désireux de disposer de monastères modèles afin d’accroitre leur pouvoir et leur prestige. Aussi, nous pouvons penser que somme face à une passation de l’emprise des monastères du souverain aux grands. Prenons l’exemple de la fondation

de la fin de l'Antiquité. ------------------------------------------------- L'Auvergne féodale[modifier] Au viie siècle, l'Auvergne est disputée entre Francs et Aquitains. Conquise par les Carolingiens, elle est intégrée un temps au royaume d'Aquitaine, sauf un alleu formant le comté d'Aurillac qui est donné au père de Géraud d'Aurillac et qui ne relèvera plus du comté d'Auvergne, mais directement du roi. Les comtes d'Auvergne, les Guilhemides vont lentement acquérir leur autonomie. Au xe siècle

(dans le Nord de la France) et de viguier (dans le Sud de la France). 7 Ces contes ou vicomtes sont peu à peu harmonisés, parfois par des personnages plus élevés qu’eux dans la hiérarchie, ce sont les Ducs. (Duc= celui qui dirige, en romain). Aux frontières du royaume du royaume, on a les ducs de la marche, qui deviendront les marquis. (Aux marches de la France, c’est-à-dire les frontières. Et enfin, le baron. Ils sont pour le moment des subordonnés supposés du roi et ils prendront le pouvoir

vassal reste debout ou mieux, à genoux. Symbole de la réciprocité : des paroles sont échangées, et s’embrassent. Les variantes de l’hommage : certains hommages se prêtent à la frontière quand ils concernent des personnages importants (ex : duc d’Aquitaine roi d’Angleterre et roi de France). La frontière, c’est la marche, on parle d’hommage en marche. Le fief devient de plus en plus central, ce qui compte le plus pour le vassal, c’est d’avoir un fief. Donc les vassaux multiplient les hommages, pour

provinces tres eloignees dans lesquelles le roi ne peut pas se rendre, il va donc confier ladministration de ces provinces a des hommes de confiance, des proches qui vont porter differents titres : (de noblesse) les comtes (lation : comes – compagnon) les ducs (Latin : ducere – conduire) et les marquis (latin : Marchio – la marche, province qui a besoin dune admnistration speciale). Ces proches representent laristocratie carolingienne. Ce sont des hauts fonctionnaires et initialement ils sont soumis au roi