Liste des ducs de Normandie

juridiquement émancipée, soumise aux nouvelles lois imposées par la Révolution. Lois contestées en particulier dans l’Ouest, le Sud, le Sud-Est : refus de payer l’impôt, de partir à l’armée. Poches de résistances armées : les Chouans en Bretagne, en Normandie, en Vendée. Eté 1799 jusqu’en février 1800, ils tentent une insurrection, mouvement qui échoue néanmoins. Campagne qui a une certaine autonomie par rapport au centre parisien. A l’inverse, cette prise de distance s’est accompagnée par une mobilisation

société. Les canonistes, notamment Gratien ( auteur d’un Décret ) font du droit canonique un droit à la fois savant et d’application pratique. Les coutumes font l’objet de rédaction par les soins de princes territoriaux ( la Très ancienne coutume de Normandie ), de villes ( d’Italie, du Midi de la France, d’Allemagne ), d’auteurs qui en donnent en même temps des commentaires ( La coutume de Beauvaisis de Philippe de Beaumanoir, mort en 1296 ). La rédaction des grandes coutumes, sur ordre du roi, est suivie

devant le juge. Le préteur va vérifier si les prétentions des partis correspondent aux actions en justice qu’il avait promise à son entrée en charge.Toutes ces actions qui sont promises sont rassemblées dans une liste appelée « l’édit du préteur ». A partir du 1er siècle après JC, la liste l’édit a tendance à peu évoluer et il va se figer, on l’appellera ainsi plus tard, « l’édit perpétuelle ».Au début du IIème siècle (entre 125 et 138), l’empereur Hadrien a demandé à l’un de ses fidèles, le juriste

je m'apercevais des fautes communes à MM. Du Bois et Duméril, qui avaient rangé parmi les mots patois des mots admis dans le Dictionnaire de l'Académie française, et qui semblaient avoir ignoré une foule d'expressions usitées dans toute la Basse-Normandie. J'écrivais celles qui me revenaient à la mémoire; je doublais certaines pages du manuscrit; j'ajoutais des mots nouveaux sur les épreuves; je regrettais, en voyant les feuilles tirées, des omissions fort graves; je me résignais enfin à provoquer

et l’Aquitaine, fortement romanisée, ou la Bretagne qui a un peuplement spécifique, profitent des difficultés du pouvoir central pour s’en affranchir. La Normandie naît d’un acte officiel de 911 par le traité de Saint-Clair-sur-Epte, le roi carolingien Charles le Simple permet au chef normand Rollon de s’installer dans la région de Normandie, à condition qu’il se convertisse. La formation des grandes principautés et ses conséquences Dès le xe siècle, les princes territoriaux agissent

voir passer le pouvoir de commandement de leurs mains à celles de puissants seigneurs qui se sont constitués des principautés, vastes territoires quasi indépendants. Pour stopper la menace viking, le roi Charles le Simple est obligé de céder la Normandie au chef Rollon par le traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911. Le titre de roi redevient électif et les Carolingiens doivent céder leur couronne à Eudes, comte de Paris entre 888 et 898, à Robert Ier de 922 à 923, et à Raoul en 923 à 936. En 987

annuler son mariage sous prétexte qu’il y avait un degré de parenté entre eux. Elle épouse ensuite le roi d’Angleterre et emporte ses provinces en Angleterre (Henri Plantagenêt). Il possède des territoires en France (L’Anjou, la Touraine et de la Normandie) Il est vassal du roi de France. Il récupère donc l’aquitaine en se mariant avec Aliénor. A cette époque le roi d’Angleterre est maître de presque toute la France maritime (=35 de nos départements actuels) Ces possessions françaises représentent

rédacteur de la loi divine : Le roi doit mettre en pratique les préceptes qu’il va recevoir, par exemple dans le code d’Ur-Namu la rédaction est faite simplement, il s’agit d’une liste de compensations qui est faite au fur et à mesure des différentes infractions envisagées et aussi dans ce recueil on trouve toute une liste d’infractions pour coups et blessures => réduire la vengeance, que l’on traduit également par la loi du Talion = lorsque l’on reçoit un mauvais coup, on est en droit de mal se comporter

du Parlement (8 janvier). Du côté parisien, la résistance s'organise. Le Parlement confie le commandement des troupes au prince de Conti, frère de Condé, qui est désigné comme le généralissime de la Fronde (11 janvier). Les autres chefs sont les ducs de Bouillon, de Beaufort et d'Elbeuf ainsi que le maréchal de La Mothe et le prince de Marcillac. La duchesse de Longueville (sœur de Condé et Conti) et surtout le coadjuteur de Paris, Jean-François Paul de Gondi (futur cardinal de Retz) jouent également

d'angleterre, prince d'aquitaine entre en conflit avec l'un de ses vassaux et enlève sa fiancée. Ce dernier va se plaindre auprès du roi de france. P A cite à comparaître le duc d'aquitaine, qui refuse au prétexte qu'étant à la fois duc d'aquitaine et de normandie, il bénéficie d'un privilège : il ne peut rencontrer le roi qu'à la frontière de son duché. Il ne se rend donc pas à la convocation. Le roi de france le condamne par défaut et à titre de sanciton prononce la commise des fiefs de Jean. Il exécute