Liste des évêques de Chartres

baptême de Clovis. Celle-ci donne au roi une forme de grâce divine, l’aide de dieu, le don de dieu pour l’aider à accomplir son conseil royal. Puis arrive le serment prêté par le roi, en 1059, le roi jure de protéger les droits des églises et des évêques puis le droit du peuple des laïcs. Le roi est ensuite accepté par les grands, puis acclamation des grands dans l’église, puis par le peuple. Symboliquement indispensable. La cour royale continue d’accueillir les catholiques et laïcs, avec une forte

nomme un juge, simple citoyen. Quand ce juge rend ça sentence, il fini sa fonction (il n’est plus juge). Le censeur (sont d’anciens consuls) n’a pas de pouvoir de direction ni de pouvoir d’imprerium. Il est chargé d’établir la liste de recensement des citoyens et la liste de sénateurs et les classe (fortune, famille, valeur morale). Répartition des citoyens dans des catégories pour les rassembler (les centuries : groupe de classe, le vote se fait par centurie). Ils sont répartis en tribus. Les censeurs

vers le plaisir esthétique ou le succès oratoire. Augustin n’est plus un rhéteur, mais un penseur, un philosophe ; S’ouvre donc l’époque où il se consacre aux grands problèmes métaphysiques et qui prendra fin quand il sera ordonné prêtre en 391 et évêque en 396 ; là, il n’a plus guère le temps, étant pris par sa charge. L’opposition entre la culture littéraire, oratoire, et la culture philosophique est un des caractères de l’Antiquité. Socrate luttait déjà contre les sophistes ; Platon contre Isocrate

souveraineté du XIII et XVII s’explique par la volonté des rois d’accédé a l’autonomie et de légitimisé leur pouvoir. Tous ce qui est intérieur ou extérieur à la souveraineté du roi doit être écarté en intérieur les aristocrate on va réduire l’influence des évêque en extérieur de dégager de l’influence de l’empereur. Les rois de France du XIII ne veulent surtout pas être sous le pouvoir du pape. La souveraineté est un pouvoir suprême et l’instrument de cette suprématie juridique est le pouvoir de faire la loi

que villes dépeuplées, monastères jetés à bas ou incendiés, champs réduits en solitudes... Partout le puissant opprime le faible et les hommes sont pareils aux poissons de la mer qui pêle-mêle se dévorent entre eux. » Ainsi parlaient, en 909, les évêques de la province de Reims, assemblés à Trosly. La littérature des IXe et Xe siècles, les chartes, les délibérations des conciles sont pleines de ces lamentations. Faisons, tant qu’on voudra, la part de l’emphase, comme du pessimisme naturel aux orateurs

l’administration impériale. Désormais l’administration est défaillante, les maires déconnectés, et donc le scrutin s’organise en toute liberté. Enfin, le mode de scrutin adopté est modifié : ce n’est plus le même que sous l’Empire. On adopte le scrutin de liste départementale à un tour, la majorité relative suffira pour être élu. Enfin les candidatures multiples sont admises. a) les listes en présence : La diversité des listes ne fait pas illusion. En gros, se dessine deux tendances : l’une républicaine,

l’évolution du système de Manès, mais celui de la grande tradition dualiste. Le manichéisme n’est qu’un maillon de cette tradition, née avec Zoroastre et continuée avec les gnostiques. Les pauliciens. – Ils auraient tiré leur nom de Paul de Samosate, qui, évêque d’Antioche en 260, devint le protégé de la reine de Palmyre, Zénobie, et fut déposé par Aurélien en 272, pour ses idées hérétiques. Il était donc contemporain de Manès et sa mère, Callinice, avait adhéré à la religion manichéenne. Mais il ne semble

conciliere 4-5ème S Concile: designe reunion qui regourpe les membres de la hierarchie ecclesiastique . Selon l’ampleur de l’assemblée, on distingue 2 types de conciles: les conciles généraux ou éventuellement oecumenique qui reunisse l’ensemble des évêques et archevêques de l’ensemble de la chretienté . Les décisions qui st prise ont une valeur universelle puis il y a conciles provinciaux qui se tiennent ds le cadre d’une province ecclesistique et qui st réunis sous l’autorité d’un archeveque . Ces

l’évolution du système de Manès, mais celui de la grande tradition dualiste. Le manichéisme n’est qu’un maillon de cette tradition, née avec Zoroastre et continuée avec les gnostiques. Les pauliciens. – Ils auraient tiré leur nom de Paul de Samosate, qui, évêque d’Antioche en 260, devint le protégé de la reine de Palmyre, Zénobie, et fut déposé par Aurélien en 272, pour ses idées hérétiques. Il était donc contemporain de Manès et sa mère, Callinice, avait adhéré à la religion manichéenne. Mais il ne semble

des armées mercenaires. Il est ensuite liquidé par le Sénat. * - 82 : Sylla incarne les optimates, est investi par le Sénat d’une dictature durant 4ans pour refonder les institutions républicaines Proscription (liste des personnes à liquider) il rentre à Rome avec ses légions : montre que le pouvoir politique appartient aux généraux en chef. * J César, les institutions ne fonctionne moins normalement, se mettent en place le