Liste des monarques d'Angleterre

rédige une pétition des droits qui contient une liste de libertés que le roi Charles 1er est obligé d'accepter pour pouvoir prélever ses impôts. Le non respect de cette pétition par le roi a provoqué une révolution en 1640, au cours de laquelle Charles 1er a été exécuté. A la suite de cette exécution, les rois d'Angleterre vont devenir beaucoup plus dociles à l'égard du Parlement. En 1689, soit 100 ans avant la Révolution française, le roi d'Angleterre, Guillaume 3, a accepté un nouveau texte élaboré

Louis le Pieux meurt en 843 : l’empire carolingien est divisé en 3morceaux (Partage de Verdun) Le royaume est divisé mais le titre impérial est conservé sur une seule tête. Ex : 1 fils de Louis le Pieux est empereur, les 2 autres sont rois. Les monarques carolingiens, on recours systématiquement au serment de fidélité (tradition barbare) : • Celui des « leudes », les hommes libres du royaume • le « commendatio », celui des grands du royaume, des proches. Il est plus précis, plus personnelle (se

de cohabitation. Le mode de désignation a toujours animé la doctrine afin d’éviter une éventuelle politisation excessive. On peut citer celle visant à offrir au président de la république la possibilité d’élire les membres du conseil à partir d’une liste établit par les plus hautes personnalités de l’ordre judiciaire et administratives comportant le double des noms des poste à prévoir. Il s’agissait de l’obligation de nommer des juristes professionnels un certain nombre de juges par les assemblées

anglais connaît 2 révolutions politiques successives en 1640 et en 1688. Ces révolutions amènent une reconstruction du régime politique en revendiquant une imitation du pouvoir royale qui existait dans l'Angleterre médiévale. En 1215, le roi d'Angleterre, Jean Sans Terre, est obligé d'accordé des droits politiques à ces aristocrates. Il signe la grande charte qui créer un conseil de l'aristocratie. Ce conseil doit être consulté avant de lever un impôt. Quelques décennies plus tard, le même roi

ce qui lui donnait un aspect sacré. Les religions servaient alors le pouvoir. Son détenteur est le représentant de Dieu ou Dieu lui-même. Comme par exemple, l’empereur de Chine ou du Japon considérés comme des dieux vivants. L’obéissance au Roi/Monarque est un principe absolu. Les individus devaient obéir aux lois comme s’ils obéissaient à Dieu. Mais, parfois, la religion, tout en servant de support, pouvait être un obstacle pour le pouvoir politique. Hors, de nos jours, il n’existe presque plus

raison des risques de politisation excessive de l'institution. Parmi les propositions faites afin de désigner le mode de désignation on peut citer celle visant à offrir au président le droit de nommer l'ensemble des membres du conseil à partir d'une liste établit par les plus hautes personnalités de l'ordre judiciaire et administratif comportant le double de noms que de postes à pourvoir. Autres hypothèse : Il s'agissait de l'obligation de nommer des juristes professionnels, un certain nombre de juges

Grande Charte de Jean sans Terre, 1215Introduction: Le texte que nous allons étudier est l’un célèbre traité de paix civil connu par la suite comme la Grande Charte ou Magna Carta en latin, rédigée en 1215 par 25 barons anglais signataire puis adopté par le roi Jean sans Terre, fils du roi Henri II (1133-1189), frère d'Henri Coeur de Lion, qui tentera de lui usurper la couronne en 1194 puis qui deviendra roi en 1199 jusqu'à sa mort en 1216. Jean devient

réapproprier les prérogatives royales. En effet, à mesure que le régime féodal se systématise, la logique oblige à reconnaitre que la pyramide féodale a un sommet : la hiérarchie aboutit alors à ce que Beaumanoir appelle « le souverain par-dessus tous », le monarque. On peut donc dire que l’unité monarchique s’est formée lentement sur les ruines de la féodalité. Nous avons choisi de limité notre étude sur le cas de la France entre l’avènement des Capétiens (98 7) et la fin de la guerre de 100 ans 1453. Le

prosélytes que la raison. Comme, en général un long et violent abus de l’autorité conduit à en examiner les bases, (et cela par rapport à des objets auxquels on n’eût jamais pensé si une inquisition sévère n’eût multiplié ses victimes,) comme le roi d’Angleterre a entrepris, sur la foi de sa prérogative, de soutenir le parlement dans ce qu’il appelle ses droits, et comme la nation trop indulgente est cruellement opprimée par cette coalition, elle est indubitablement fondée à scruter les prétentions de

trouve son origine dans la volonté populaire. Le serment prêté à la Charte remplace le sacre. C’est un véritable régime constitutionnel inspiré du modèle anglais (qui a conservé le sacre) et qui remplace un régime dominé par l’autorité du Roi en monarque absolu. L’orléanisme s’appuie dès lors sur le Parlement avec une formation en système bicaméral. Avec les répressions des insurrections ouvrières, comme celle des canuts de Lyon en 1831, et en assurant les intérêts de la bourgeoisie d’affaires, l’orléanisme