Littérature antique

Le texte théâtral est-il suffisant en lui-même pour monter un spectacle? INTRODUCTION Le théâtre est avant tout une forme de spectacle particulièrement vivante qui réunit interprètes et spectateurs. A la fois littérature et lieu public, il occupe une place particulière parmi les genres littéraires et sa spécificité rend complexe la manière d'aborder le texte. Il s'agit en effet d'une écriture destinée à une représentation. Dès lors, on peut se demander si ce texte est suffisant en lui-même

prône l’imitation des grandes œuvres antiques, considérées comme des références, et qui établit des règles de composition artistique strictes. Le contexte historique : le « Grand siècle » français. La période que l’on nomme « classique » recoupe le règne de Louis XIV, soit la seconde moitié du XVIIème siècle. Le Roi Soleil encourage l’effervescence artistique dans tous les domaines et veut concurrencer le baroque italien. Le culte de la perfection antique des « classiques » rejoint donc la

donc commencé mon intro sur une généralité, en rapport avec le texte à commenter, et me permet de trouver une problématique assez finalement, vous allez voir. Démonstration sous vos yeux ébahis… La rencontre amoureuse est un topos de la littérature, du roman en particulier. Passage quasiment obligé, ou du moins attendu du lecteur, il est particulièrement soigné par le romancier qui en fait un moment intense. Le texte soumis à notre étude est extrait de Au bonheur des ogres, roman de Daniel

s’agit de deux activités entièrement autonomes : la littérature “représente” la peinture comme un moyen pour arriver à ses fins, ses enjeux propres, et réciproquement. L’hommage à Delacroix est bien un hommage rendu par Fantin à la peinture. Quand Baudelaire écrit sur Delacroix, c’est de son idée du Beau qu’il s’agit, et il va la transformer ensuite en poésie. Au-delà se pose même la question de l’incommunicabilité de la peinture et de la littérature : les mots ne peuvent pas rendre compte des images

histoire vraie, car on se rend compte quand on lit le texte qu’il n’y a pas de distinction entre les toyens et les grecs ; les historiens antiques se sont penchés sur la question et tout les 2 hérodotes et tucidite disent que la guerre de troie était moins important que ce qui était raconter dans l’Iliade. En quoi est ce que l’iliade exprime la société antique ? Au sommet de la société il y avait des rois locaux, qui étaient des propriétaires qui forment une sorte d’aristocratie minoritaire. Et leur

: LES CONTES DE FÉES.......................................................... .................4 A. DÉFINITION...........................................................................................................................4 B. UNE LITTÉRATURE MONDAINE ET FÉMININE.............................................................5 C. FÉES « MODERNES » ET FÉES « POPULAIRES »............................................................9 CHAPITRE II : AUX FRONTIÈRES DE L’ « ART » SAVANT ET DE

recherche d'une définition valent surtout dans le cadre de sa (1) Dictionnaire universel françois et latin, vulgairement appelé Dictionnaire de Trévoux, éd. de 1771, s.v. « Moraliste ». 106 LOUIS VAN DELFT monographie. La philosophia moralis antique, y lit-on, est devenue à partir de la Renaissance « une connaissance de la diversité humaine, savoir empirique et relatif, changeant avec les époques et les peuples ». On peut objecter qu'à travers l'étude de cette diversité, le moraliste classique

example, ou qui riront aux memes endroits ), tandis que dans lesecond, l’interprète-traducteur parlera à la troisième personne. LE TRADUCTEUR EST L’INTERPRÈTE Même sil’on se plaît àdire aujourd’hui que le traducteur est l’interprète de la littérature, tout comme le musicien celui de la musique, la profession d’interprète est sans doute aussi ancienne, sinon plus, que celles des traducteurs. Les écoles d’interprètes existent en France depuis 1535, plus d’un siècle avant que Louis XIV ne crée

baroque au xviiie (hédonisme, virtuosité, indifférenciation des sexes) Ces qualités, Rossini les a enrichies, selon Celletti. Quant à la notion de Beau Idéal qui puise aussi ses sources dans la renaissance italienne en ce qu'elle redécouvre le Beau antique, elle offre une palette si complexe qu'il est difficile de la dire proprement stendhalienne ou balzacienne. Issue des théoriciens allemands, de Winckelmann en particulier qui est connu en France et publié par Fréron dans le Journal Étranger, en 1756

politiques sont toujours présents. C’est pourquoi les conflits entre les personnages se recoupent presque toujours avec des conflits d’ordre politique. Sur le plan dramaturgique, la tragédie commence par une exposition (un prologue dans la tragédie antique), se poursuit par la péripétie autour de laquelle l’action va se nouer (on parle de « nœud tragique ») afin d’aboutir à la « catastrophe », c’est-à-dire au dénouement malheureux, bien qu’il y ait au moins une exception fameuse : Cinna (1639) de Corneille