Littérature grecque

d'expression française, Clermont-Ferrand, Presses Universitaire Blaise Pascal, Centre de recherche sur les littératures modernes et contemporaines, 2002. Guiomar Michel, Principes d'une esthétique de la mort, Paris, Corti, 1967. Gusdorf Gorges, « Pourquoi des professeurs ? », Paris, Petite bibliothèque Payot, 1963. Niderst Alain (Textes réunis par), L'animalité : Hommes at animaux dans la littérature, Tübingen, Gunter Narr Verlag, 1982. Jakobson Roman, Huit questions de poétique, Paris, Seuil,

recherche du bonheur est une idée omniprésente dans la littérature et de nombreux héros en font leur graal. Leur échec ou leur réussite dans cette quête détermine le genre de l’œuvre, de la tragédie à la comédie. Les péripéties qui les amènent à accomplir leurs destinées met en évidence une question cruciale : si tout le monde a la chance ou la capacité d’obtenir ce dont il rêve ou espère. 1) L’idée du bonheur est explorée dans la littérature depuis des siècles. Ce n’est pas une simple mode mais

véritablement à leur terme. C'est une sorte de géométrie labyrinthique des possibles dans laquelle on se perd avec délice. Alessandro Baricco noie son lecteur sous une avalanche de signes et de symboles plus ou moins ésotériques renvoyant à la mythologie grecque et égyptienne, aux différents rituels initiatiques de l'antiquité ou de la franc-maçonnerie, aux tarots divinatoires et à la symbolique des nombres et des couleurs, comme aux livres de Calvino, de Borges (6) ou d'autres, et aux siens. Ses personnages

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joue aussi un rôle puisqu’à plusieurs reprises, on voit la forme magique d’un cœur dans la percée de la forêt voisine de la propriété de MSC. Qu’elles soient fantastiques ou non, elles peuvent aussi se rattacher à l’esthétique du songe propre à la littérature du XVII° siècle. Ces scènes sont racontées avec simplicité. Elles deviennent familières et presque normales et n’inspirent aucune frayeur et c’est toujours la musique qui est à l’origine de ces apparitions. Cette musique permet de retrouver ce

Le mythe d’Orphée est l’un des poèmes des « métamorphoses », écrit par Ovide, grand poète de l’Antiquité. Ce dernier s’est inspiré de la mythologie Grecque pour écrire son œuvre. Orphée, fils du roi de Thrace, est un héros voyageur épris de la belle Eurydice. Le jour de leur mariage cette dernière, mordue au mollet par un serpent, mourut et descendit aux Enfers. Cette extrait de ce mythe nous dévoile comment Orphée est descendu aux Enfers pour tenter de sauver sa bien-aimée. Nous verrons que cet

novembre 1912, il se lance dans la rédaction de La Métamorphose, Franz Kafka est un jeune écrivain peu connu du grand public pragois. Certes depuis ses années de lycée, ce jeune homme, qui discerne en lui-même « une concentration au profit de la littérature », selon les termes de son Journal, ne cesse d’écrire en allemand – sa langue maternelle – de courts récits. En 1904 ou 1905, Kafka rédige Description d’un combat, le premier texte qui nous soit parvenu de lui ; en 1907 ou 1908, il compose Préparatifs

en un lieu écarté, Œdipe s’entretient avec une jeune fille de dix-sept ans qui tente de le séduire. D’abord, il ne reconnaît pas en elle le Sphinx. Puis, celle-ci se présente : Œdipe se retrouve bien face à face avec le monstre de la mythologie grecque. Tous les éléments du mythe se retrouvent donc dans la pièce de Cocteau et une « voix », rappel du chœur antique, vient rappeler au début de chaque acte les éléments du mythe permettant au spectateur de situer l’action. La rencontre entre le protagoniste

(354-430). Les Confessions est une œuvre autobiographique de Saint Augustin, écrite entre 397 et 398. Pierre de Ronsard (1524-1585) est l’auteur des Discours des Misères de ce temps (1562), cet adepte de l’épicurisme est une figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance. Jacques le Fataliste, a été écrit par Denis Diderot (1713-1784) entre 1778 et 1780. Nous n’étudierons que l’incipit de cette œuvre (Diderot ne cesse de nier qu’il écrit un roman). Cet écrivain et philosophe marque par

Introduction : Charles Dantzig à publié en 2005 un dictionnaire qui est le dictionnaire égoïste de la littérature française où il écrit ce que bon lui semble. Il exprime ses opinions, il explique les mots qu’il souhaite, des notions littéraires, des genres, des œuvres, des figures de style, il critique et analyse même des auteurs. Il l’a écris sous forme d’articles rangés comme dans un dictionnaire c'est-à-dire par ordre alphabétique. A la lettre R il a choisit de parler de Rabelais, qui est un