Littérature Pour But Distraire

faut attendre la fin du 16e siècle pour retrouver la caricature dans son sens initial, qui implique les notions de ressemblance, d’exagération et de charge. Annibal Carrache (1560-1609) est l’auteur des premiers portraits-charges, exécutés dans le but de divertir, de faire rire. Ils représentent des personnages de la rue. On ne peut cependant pas tout à fait parler de caricatures, car Carrache se contente de saisir et de reproduire fidèlement le ridicule de certains traits. Le Bernin sera le premier

s'en prennent à des excès contemporains de l'écriture de la pièce, ou bien, plus largement, aux injustices qui sévissent dans toute société.  II. a) Fonction première du théâtre => divertissement. Emouvoir le spectateur, sans d'autre but que de le distraire. C'est le cas du vaudeville par exemple. Mais n'te promène donc pas toute nue de Feydau, se moque de la bourgeoisie parisienne, sans autre dessein que de divertir. Rire pour rire, sans volonté de dénoncer quoi que ce soit. On rit du personnage

autrui à ses thèses?   Apologues, contes, dialogues, fables, romans,... ne sont pas écrits dans le seul but de distraire le lecteur, il arrive parfois qu'ils soient dotés d'une visée argumentative ; On parle alors de formes indirectes (ou implicites ) de l'écriture argumentative. Beaucoup d'écrivains ont mis leur plume au service de leurs idées et ont utilisé les atouts de la littérature pour défendre leurs causes. Au 18éme siècle, les penseurs des lumières utilisent aussi bien ces formes d'écrits

Dissertation Le genre théâtral représente une grande partie de la littérature, et ce, depuis l'Antiquité en passant par le Moyen-Age, la Renaissance, et jusqu'à aujourd'hui. Le théâtre est considéré, non seulement comme un moyen d'éducation morale et civique. Il sert à faire passer un message, une idéologie, il est le miroir de la société et il permet au spectateur de purger ses passions et de corriger ses mœurs. Mais il a aussi pour but de divertir les spectateurs, de les détourner momentanément de

plus tardif, on l’attribue à Stendhal vers 1825. Le seul terme d’époque était « atticisme », qui renvoie bien à l’antiquité gréco-latine. Il fallait d’abord imiter, puis égaler, enfin dépasser ce modèle. A ce but fondamental des écrivains classiques s’ajoute la volonté de définir la littérature, de s’imposer des règles et des contraintes et de tout codifier. Les principes du classicisme C’est en effet aux XVIème et XVIIème siècles que notre français moderne s’est formé et a atteint ses formes lexicales

Le mot littérature, issu du latin »litteratura », apparaît au début du XIIème siècle et avait premièrement un sens technique, c’était une « chose écrite ». Le terme évolue au Moyen-Age vers un nouveau sens : « savoir tiré des livres ». Enfin, à partir du XVIIIème siècle jusqu’à aujourd’hui le sens principal de ce mot est : « ensemble des œuvres écrites comportant une préoccupation esthétique ». Tout au long de l’évolution de la littérature, les écrivains se sont toujours interrogés sur l’humanité

sollicite une participation accrue du lecteur. On trouve le refus évident contre l’analyse psychologiques et la description exhaustive des personnages pour montrer un but complètement différent à celui de l’époque de Sarraute ; XIXème siècle est la proposition des nouvelles formes d’écritures pour les romans nouveaux. La littérature au niveau de manière d’expression n’est pas le seul beau art qui souffre ces changement type trompe l’œil. Le cinéma et la peinture sont des bons exemples pour montrer

policier, science-fiction, fantastique et encore bien d’autres qui nous propose une excellente diversité du genre. Dans Les Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos ou notamment dans Harry Potter de Rowling se sont tous deux des romans qui ont pour but de détourner le lecteur de sa réalité, donc de le dérouter. Lorsque qu’un lecteur a un coup de cœur pour un livre en particulier celui-ci devient marquant et lui permet de ressentir du plaisir à lire. Ainsi un roman nous propose la possibilité

SOLIDARITE 2-b LA QUESTION DE LA JUSTICE 2-c LA QUESTION DU SACRE -CONCLUSION INTRODUCTION De nombreux intellectuels comme Canu Gaston, Eno bilinga, Calame Griaule ont essayé durant leurs travaux de définir la littérature orale. Nous retiendrons celle de Kam Sié Alain qui en fait une synthèse qui a retenu notre attention. Il l’a définit comme : « L’ensemble de tout ce qui a été dit, généralement de façon esthétique, conservé et transmis verbalement par un peuple

Justification morale de la littérature (les mots doivent d’abord passer dans le creuset du réel.) la Chine est le pays du Réel par excellence. Quelques réflexions religieuses, surtout des sarcasmes contre le Catholicisme. Leçon de relativisme : exotisme et variété du réel ne se laissent pas mesurer par les normes occidentales. Le li chinois qui varie selon la morphologie du terrain, la sandale et le bâton : l’Imaginaire est comme ressuscité par le Réel et la littérature s’en trouve rajeunie. Inversement