Livre 9 La Fontaine Plaire Et Instruire

La Fontaine : Fables (livre 1) 1 sur 16 http://damienbe.chez.com/fables1.htm (livre 1) A Monseigneur le Dauphin Je chante les héros dont Esope est le père, Troupe de qui l'histoire, encor que mensongère, Contient des vérités qui servent de leçons. Tout parle en mon ouvrage, et même les poissons: Je me sers d'animaux pour instruire les hommes. Illustre rejeton d'un prince aimé des cieux, Sur qui le monde entier a maintenant les yeux, Et qui faisant fléchir les plus superbes têtes, Comptera désormais

de tous les jargons, celui des médecins ou celui des précieux, tous objets de moquerie chez Molière. L’honnête homme, homme social, poli et mesuré, est porteur des valeurs du classicisme. La visée de l’écrivain est souvent morale. Il faut plaire et instruire (« placere et docere »). Ainsi la tragédie se doit de purifier (catharsis) les passions ; la comédie corrige le vice des hommes ; les fables délivrent une leçon. Les moralistes, par leurs portraits (La Bruyère, Les Caractères, 1687) et leurs

nôtre » présent de annonce le récit l'impératif (suggest°/invitat°) PROPOSITION PLAN I – LA FONTAINE NOUS PROPOSE DES REFLEXIONS PRELEMINAIRE LARGEMENT DEVELOPPEES a) il dénonce un défaut b) défaut récurrent → propose à valeur généralisante c) La Fontaine nous annonce son projet II – UN RECIT QUI MET EN OPPOSITION 2 ANIMAUX PERSONNAGES a) La Fontaine montre la puissance de l'éléphant qui s'oppose à la petitesse du ratb) le discours vaniteux du rat c) un dénouement

prudent et sage  De ses moindres sujets sait tirer quelque usage,  Et connaît les divers talents :  Il n'est rien d'inutile aux personnes de sens. Jean de la fontaine, Fable XIX, Livre V (17ème siècle) Le dormeur du val C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où

l’ordre générale. Les changements d’énonciation, en permettant la multiplication des points de vue, rendent l’argumentation plus efficace et la morale plus complexe. Commentaire « Une ample comédie à cent actes divers », la définition que donne La Fontaine des Fables peut également s’appliquer à l’œuvre Les Caractères de Jean de La Bruyère dont le titre semble limiter le projet à l’observation des Mœurs de ce siècle. La Bruyère qui prétend simplement imiter et poursuivre les Caractères de Théophraste

 Les deux Pigeons – Jean de La Fontaine Introduction : Ce texte est une fable qui se nomme Les deux Pigeons, qui a été publié en 1678 et écrit par Jean de La Fontaine. Ce dernier est un célèbre poète et auteur français qui est très reconnu pour ses fables, ou apologue, qui ont pour but de plaire et instruire et bien sûr, avec une morale. Justement, Les deux Pigeons, est une fable qui dénonce un défaut humain qui est la mauvaise curiosité et cette morale sera introduite par l’histoire d’un couple

Poetique de l'allegorie dans les Fables de La FontainePOÉTIQUE DE L'ALLÉGORIE DANS LES FABLES DE LA FONTAINE Alain Génetiot Presses Universitaires de France | « Revue d'histoire littéraire de la France » 2012/2 Vol. 112 | pages 315 à 334 ISSN 0035-2411 ISBN 9782130593829 DOI 10.3917/rhlf.122.0315 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-d-histoire-litteraire-de-la-france-2012-2-page-315

La Fontaine Bousfiha Adil – El Khyari Ismail – Eddriouch Mehdi – El Abassi Yassine – Radi Rassine 2011 / 2012- Mr. Kadouri – Lycée Lyautey Sommaire : I – Les fables : 1- Leurs origines  ……………………………………………………………3 2- La théorie de la fable d’après La Fontaine ……………………………...4 II- Les animaux dans les fables : 1- Définir leur image traditionnelle…………………………………………6 2- Expliquez les « qualités » de l’animal…………………………………….7 3- Expliquez l’originalité de La Fontaine…………………………………

| |- Boileau, Art poétique, Chant I |Commentaire : Hugo, « Réponse à un acte d’accusation », Les Contemplations, livre| |- Hugo, « Réponse à un acte d’accusation », Les |premier, VII. | |Contemplations, livre premier, VII. |Dissertation : La rébellion contre l’héritage des poètes précédents est-elle | |- Rimbaud, « Lettre à Paul Demeny, dite du voyant »

ai eues. Cependant je suis traité avec la même rigueur que si j'étais haï ; j'ai espéré au temps, je n'en dois plus rien attendre ; je la vois toujours se défendre également contre moi et contre elle-même. Si je n'étais point aimé, je songerais à plaire ; mais je plais, on m'aime, et on me le cache. Que puis-je donc espérer, et quel changement dois-je attendre dans ma destinée ? Quoi ! Je serai aimé de la plus aimable personne du monde, et je n'aurai cet excès d'amour que donnent les premières certitudes