Livre De L Or Et La Boue

Une charogne :Introduction :Poème= 12 quatrains,hétéromètrie, rimes croisés ABABAuteur= Baudelaire, écrivain, poète français du 19ème siècle, connu pour avoir tisser des liens entre la beauté et le mal. Il s’installe dans le mouvement de la modernité poétique.Apparu dans le recueil « les fleurs du mal » en 1857, dans la section « spleen et idéal »Promenade d’un couple interrompue par le cadavre.Ce poème est de registre didactique, le poète transmet une infromation.1er mouvement= V1-V8= découverte

dames » [L109]) Grace au regard naïf des deux personnages, Voltaire fait référence aux différents aspects d’un monde idéal. + Une société heureuse et harmonieuse: Focalisation zéro: * Absence d’enthousiasme des habitants. « Or » = boue * Tout est normal et neutre, mépris du beau. Vision neutre à opposer avec l’admiration de Candide (ce n’est pas le plus important, => relativité de jugement) * La richesse n’a pas perverti ces habitants. Ils ne sont pas matérialistes

la terre entourée d'eau ... vous ne savez pas ce que c'est ? ROSE, ouvrant de grands yeux - De la terre entourée d'eau ? FOLLAVOINE - Oui ! de la terre entourée d'eau, comment ça s'appelle ? ROSE - De la boue ? FOLLAVOINE, haussant les épaules - Mais non, pas de la boue ! C'est de la boue quand il n'y a pas beaucoup de terre et pas beaucoup d'eau ; mais quand il y a beaucoup de terre et beaucoup d'eau, ça s'appelle des îles ! ROSE, abrutie - Ah ? FOLLAVOINE - Eh ! bien, les Hébrides, c'est

communiste. Elle est chantée sur l’air de « Bonsoir m’amour », chanson de Jean Sablon. Cette chanson est certainement la plus célèbre de la période. Parfois appelée « Les Sacrifiés », elle est publiée en 1919 sous le nom de « chanson de Lorette », dans le livre La guerre des soldats, qu’il a cosigné avec R.Lefèbvre. On la rencontre parfois sous le nom de « chanson de Verdun », illustration de la diffusion de ce chant dans les tranchées, où chacun a pu l’adapter à sa situation personnelle. Cette chanson montre

concerne le dernier texte, il s'agit de la préface de Cinq-Mars, roman que l'on doit à Alfred de Vigny paru en 1826. Dans cette préface, l'auteur met en avant l'existence de deux modes de lecture, le roman historique à ces yeux plus attractif qu'un livre d'histoire constitué essentiellement de faits historiques et par conséquent dépourvu de sentiment et d'émotion que le roman peut fournir grâce à l'imagination de l'auteur et à la liberté prise par rapport à la vérité. Deux des textes ont beaucoup de

Viviani de rester neutre dans cette guerre russo allemande. Mais personne croit que les Français vont rester neutre surtout face a sont vielle ennemie allemand. Surtout lorsque le chancelier Bethmann Hollweg demande en garantie Français qu’on lui livre les forteresse de Toul et de Verdun. Avec cette proposition l’Allemagne donne l’illusion de laisser une chance a la paix. Les Français on finalement pas le choix, le 1er aout il acceptent la guerre sans joie.  Page 10 Londres 4 aout 1914

              Le livre - épais et parfois touffu - du journaliste, polémiste, économiste, philosophe et sociologue Pierre-Joseph PROUDHON (1809-1865), publié en 1861, est un de ces ouvrages d'avant la première guerre franco-allemande (1870-1871), qu'il n'est plus possible d'écrire après les destructions des deux guerres mondiales. Déjà à cette époque, rares sont les ouvrages qui donnent de la guerre une vision positive, même dans le cadre d'une philosophie de l'histoire. Ce livre est un succès, une

cassées”: soldats qui ont survécus avec des blessures “attroce” (ex: livre “chambres des officiers”: réparer les visages détruits) -conditions de vie qui usent les corps, déchicté Paroles de poilus: lettres et carnets du front 1914-1918: racontent les conditions de vies dans lesquels ils vivaient: rats, poux, vermines, froid, nourriture, boue → L’hiver est froid et rude dans le nord de la France. Ils ne peuvent pas se laver → Boue → Nourriture: Maurice Pensuet: -première ligne: soupe et pain,

3. Le vin ayant manqué, la mère de Jésus lui dit : Ils n’ont plus de vin. 4. Jésus lui répondit : Femme, qu’y a-t-il entre moi et toi ? Mon heure n’est pas encore venue. 5. Sa mère dit aux serviteurs : Faites ce qu’il vous dira. 6. Or, il y avait là six vases de pierre, destinés aux purifications des Juifs, et contenant chacun deux ou trois mesures. 7. Jésus leur dit : Remplissez d’eau ces vases. Et ils les remplirent jusqu’au bord. 8. Puisez maintenant, leur dit-il, et portez-en

de la guerre : elle est combat par sa façon de toucher le langage d’une lumière qui le transforme en lui-même. Fidèle au réel extérieur dont elle ne saurait se déprendre, elle lui est infidèle selon la loi de l’alchimie verbale qui transmute en or la boue du vécu et le plomb des mots pour une fidélité du langage et de sa vocation artistique. La poésie sécrète un espace de liberté qui met tout poème de la liberté en situation de vanité. C’est dans ce climat, que l’homme parle de tous les hommes, que