Locomotive électrique

l’écluse – le dock – le bassin Quitter le port – amarrer – accoster Les transports terrestres La gare – la station – le passage à niveau – le viaduc – la voie – les quais – le tunnel – les rails Le chemin de fer – le train – le wagon – la locomotive – le convoi – le trafic ferroviaire – le TGV l’express – l’autorail – le rapide Le cheminot – le chef de gare – le contrôleur Aiguiller – l’aiguillage – dérailler – signaler – les signaux – le terminus – l’arrêt – la motrice L’automobiliste –

de la gare, une locomotive à vapeur, un cheminot venant vers moi. Ensuite en arrière-plan, je devine une partie de la ville de Paris. Ce que je vois d’autre : Plusieurs nuages de fumée qui emplissent la gare et le tableau : cette fumée résulte de la combustion du charbon qui fournit l’énergie permettant à la locomotive d’avancer. La gare est assez sombre. Il y a des rails qui semblent venir jusqu'à nous et qui nous invitent au voyage. Un wagon à l'arrêt contraste avec la locomotive qui part. La peinture

des locomotives. Il cherche à restituer fidèlement l’atmosphère de la gare, notamment l’air chaud autour des locomotives. Il fixe sur le vif les “ impressions ” qui se dégagent du lieu. D’abord, on voit premier plan l’armature d’acier de la gare, une locomotive à vapeur. Ensuite en arrière plan, on voit un bout de Paris. Il y a aussi plusieurs nuages de fumée qui emplissent la gare et le tableau : cette fumée résulte de la combustion du charbon qui fournit l’énergie permettant à la locomotive d’avancer

loin, on contemple la scène, le cadrage est donc large. Les arbres au premier plan sont des éléments qui compose la tableau : Notamment l’arbre le plus en avant qui délimite le train : d’un côté nous voyons les wagons, de l’autre nous devinons la locomotive grâce à la fumée. Il n’y a pas de point de fuite ou de perspective, le cadre est ouvert et notre regarde (donc notre lecture du tableau) suit le chemin du train. INTERPRETATION : Le genre paysage et le genre scène de genre se confonde un peu

lancent dans la colonisation du monde pour en exploiter les richesses agricoles et minières. La révolution industrielle va aussi changer les moyens de transports. La machine à vapeur va être placée sur des roues et donner ainsi les premières locomotives du chemin de fer. La machine à vapeur va actionner des roues à aubes puis des hélices et donner naissance aux à bateaux à vapeur qui vont progressivement remplacer les bateaux à voiles. On va faire rouler sur les routes des automobiles à vapeur

Organisme de recherche et d’information sur la logistique et le transport LES TYPES DE VEHICULES FERROVIAIRES (LOCOMOTIVES ET WAGONS) Locomotive Véhicule ferroviaire muni d’un moteur et utilisé pour le remorquage de rames de voitures ou de wagons Wagon Véhicule ferroviaire normalement sans moteur et destiné au transport de marchandises. Les wagons servant pour le transport de passagers sont communément appelés « voitures » Wagon isotherme Wagon couvert dont la caisse est construite

Dans cet extrait on peut noter que Zola tente d'associer la locomotive à une image humaine, pour ce faire, il lui donne des qualités et des défauts d’une femme du moyen âge. Tout à bord, la locomotive possède une douceur féminine, Zola utilise d’ailleurs un champ lexicale de qualité qui sert à la décrire: «beauté souveraine», «propre», «douce», «obéissante», «brave», et «élégance fine». On peut comprendre que la Lison est une machine vivante pour Jacques, qui possède tout les qualités d’une femme

des pluriels de généralité, par exemple "les employés", "tous les cœurs" ou "les victimes". Avec cette scène finale, Emile Zola semble orienter le sens du train et de la machine vers une vision nuancée du progrès et de la civilisation. La locomotive est devenue elle-même la bête à laquelle elle semblait jusqu’ici opposer sa modernité. En ce qui concerne la dynamique narrative, c’est aussi la symétrie thématique, sémantique et structurelle de la bestialité et du progrès qui paraît se fissurer

voir une personne s’avançant sur les rails. Deuxième plan : Une locomotive entre en gare .On peut apercevoir la gare et quelque personnes sur les quais. Au premier plan comme au deuxième la fumée est présente. Arrière-plan : Des pâtés de maisons et une locomotive sont aperçus entre des nuages de fumées. Le tableau donne une impression de profondeur grâce à la toiture, le changement de couleurs des fumées et l’espace entre la locomotive et le wagon. Monet utilise un point de vue frontal qui permet

préparation de la locomotive « un chauffeur du dépôts venait de charger le foyer »(l.3) puis, nous décrit le démarrage « si elle démarrait avec tant d’aisance » (l.17), ensuite Zola nous montre qu'après chaque arrivé Jacques nettoie soigneusement sa machine « il profitait de ce quelle était chaude pour la mieux nettoyer des taches et des bavures » (l.40). Zola nous décrit le travail des cheminots, de avant le démarrage de leur machine jusqu'au nettoyage complet de leur locomotive. Il nous éclaire